Anathorne sous la pluie tiède qui lui coulait le long des joues. Marchait d’un pas lent, irrégulier, mais pourtant assez calme. Le temps lui offrait un instant de répit et il trouva bon de songer en les bois de l’ouest. Forets des temps anciens n’ayant connu peu, voir aucunement la présence de ceux qui vont sur deux pattes, arbres plusieurs fois séculaire couvrant de leurs épais rameaux des secrets encore inconnu.
Enfin, il marchait. Faisant de temps en temps une halte, se reposant sur quelques troncs ou pierres la ou il semblait rêver. Songeur était il, non inquiet. Il se trouvait sous cette ombre seul, il le savait.
Son apparence changeait de ses habitudes. Il avait troqué sa lourde armure d’acier contre une simple et légère tunique de lin blanc. Il ne portait ni lame, ni autres armes que ce soit, seuls ses cheveux d’un noir de jais, longs à la fois bouclés contrasté avec la blancheur du personnage.
Le bas de son visage se retrouvait nue, la barbe qui avant sombre et abondante fut tout simplement rasé, ainsi l’homme retrouva un semblant de jeunesse.
Sortant de la dense masse verte, il déboucha sur une sorte de bassin ou l’eau qui venu des montagnes du nord se retrouvait en de fin clapotis. Sur cette eau semblait danser de l’or, toujours renouveler par la pluie de feuilles tombante de l’arbre dont les racines plongeait en l’eau clair et limpide.
Il s’adossa contre le tronc son arbre préféré, reposant ses pieds nue sur la roche aux mousses verte. Il venait ici méditer, réfléchir. Lui qui aimait tant la nature ce sentait ici comme chez lui, un chez sois qui depuis de nombreuses années il n’avait pu jouir.
En la paix, et le silence du temps qui passe il ferma les yeux. Il ne dormait pas, enfin presque. Sa respiration lente se fit encore plus. De ce semi-sommeil de semi-mort allait naître les songes de cette journée d’automne. Les formes se mélangèrent aux sons, les sons aux souvenirs et du floue de l’âme en doute naquit l’image d’un jour.. Au loin une tour blanche, la couleur devint plus sombre.. En regardant mieux, l’édifice devint un aigle, a la fois imposant et sauvage. Ce simple songe fit rouvrir les yeux du rêveur, une seule phrase dit il de sa voix grave et solennel : L’Aigle est de retour.
Un souffle.. Un cris.. Un battement d’ailes.. Puis rien d’autres
Songe d'un jour.
Songe d'un jour.
La stratégie est la science de l’emploi du temps et de l’espace. Je suis, pour mon compte, moins avare de l’espace que du temps : pour l’espace, nous pouvons toujours le regagner. Le temps perdu, jamais.
Profitant dans instant de paix, Yarm pris un moment de repos...
Armes à terre, adossé à un arbre il ecoutait...Il ecoutait ce silence si, nouveau ... Un soulagement impregna le coprs de Yarm qui ferma les yeux un instant...
L'aigle est de retour Fidele Yarm... Chuchota une voie..
Ouvrant brusquement les yeux Yarm comprit... Sous la douce pluit coulant le long de son visage Yarm se releva et murmura, tete baissé, ces quelques mots...
L'aigle ! Il est revenu ...
Yarm releve les yeux et observe les cieux...Puis, le silence...
Armes à terre, adossé à un arbre il ecoutait...Il ecoutait ce silence si, nouveau ... Un soulagement impregna le coprs de Yarm qui ferma les yeux un instant...
L'aigle est de retour Fidele Yarm... Chuchota une voie..
Ouvrant brusquement les yeux Yarm comprit... Sous la douce pluit coulant le long de son visage Yarm se releva et murmura, tete baissé, ces quelques mots...
L'aigle ! Il est revenu ...
Yarm releve les yeux et observe les cieux...Puis, le silence...