Lettre à Islaval, Ordre des Chevaliers d'Hibernia

[Valem]

Une lettre cachetée, écrite sur un vieux parchemin sec, dont l'encre noire dégage encore l'odeur de la créature marine dont il est issu, parvient, par l'intermédiaire d'un enfant elfe, au Commandant de l'Ordre des Chevaliers d'Hibernia, Islaval.

Islaval,

À défaut de pouvoir vous rencontrer directement, considérant les chevaliers vous environnant qui voudront probablement me faire brûler, allant des racines jusqu'aux feuilles, je vous fait parvenir un parchemin sur lequel sont écrites mes impressions récentes concernant une très fâcheuse situation qui se déroula au sein de la Grande Verte.

Par la vérité, la plus grande valeur qui soit, je vous relate ces événements pour que vous compreniez mieux ce qui risque de s'ensuivre si jamais la situation ne venait point à changer.

J'étais dans la forêt, comme l'est mon habitude depuis ma naissance, qui remonte à quelques centenaires d'ici. Un norois, disant être affligé d'une maladie transmise par les hunts, me demanda d'achever ses souffrances, ce que pour plusieurs raisons, je refusai de faire.

Je poursuivis donc ma conversation avec une amie elfe à quelques pas de l'endroit où le norois m'avait fait cette demande. Un des membres de votre organisation arriva quelques courts instants après, et avertit le soi-disant malade qui était membre de l'une des guildes bannies, par vos propres soin, d'Hibernia.

La conversation s'allongeait et s'allongeait, et le norois ne voulait pas bouger sous prétexte de maladie. Votre chevalier utilisait les mots depuis bon temps déjà, et la situation semblait stagner. Il y a une chose qui me distingue de beaucoup de sylvains: ma patience a des limites très chaotiques. J'ai donc décidé, très ouvertement, de disposer du norois intempestif sans verser de sang, ingérant ses forces vitales par la magie-même que m'a légué la mère-forêt.

Ne furent passés que quelques instants avant que je me fasse accuser d'être un meurtrier sur le territoire de la Grande Verte, une accusation dont le fondement me semble tout aussi risible que l'est la supériorité de votre légitimité sur la mienne. Je suis habitant de la forêt d'Hibernia depuis longtemps, et je la protège, tout autant que la protège votre organisation.

Le chevalier en question me donna 5 secondes pour partir avant de passer à l'acte de force. Je tiens à rappeler que de telles mesures n'avaient pas été prises contre l'homme précédemment tué, dont l'organisation avait, a priori, déjà été bannie du territoire. Je ne cacherai pas qu'à la quatrième seconde, après avoir avertie mon amie elfe que tout cela se terminerait très mal, j'ai été le premier à faire acte de violence. Je suis de nature tenace (tel que tout chêne) et je n'allais certainement pas, contre ma volonté, me faire expulser de ma propre patrie.

Plusieurs des combattants furent grièvement blessés, mais un guérisseur qui passait par là, mettant en oeuvre sa magie, fit en sorte de remettre la plupart des combattants sur pied, suite à quoi nous fûment à nouveau menacés. La seule raison pour laquelle je décidai d'obtempérer -partiellement-, c'était pour la sécurité de l'elfe qui était à mes côtés.

Sachez que ce jour, qui est aujourd'hui-même, je ne suis jamais sorti de la forêt. Je me suis éloigné de son centre, et c'est près de la lisière de la forêt que j'écris. J'ai demandé au jeune elfe qui vous a présenté cette lettre de vous la remettre en main propre. Il a d'ailleurs été généreusement payé pour cette commission.

Valem, sylvain d'Hibernia, et Étoile de la Constellation

[royalcanin]

toninn trouvant un parchemin oublié au sol

<s'adressant a talia, du service de poste>

Décidement, les gens ne savent plus faire parvenir leurs courriers.

Soit ce valem a oublier d'accrocher son affiche au mur...
Soit il ne voulait payer taxe du service postal et attendait que quelqun le fasse pour lui, moi je le ferai pas...

Faites en ce que vous voulez mais je pense que ce courrier n'atteindra jamais son destinataire de cette facon et va atterir dans la boîte rejoindre ceux qui se sont perdu...

Au revoir talia...

[Vlcak]

Islaval reçu la lettre en main propre et en commença la lecture. A la fin de la lecture, Islaval fut pris d'une colère.

Il prit un parchemin et écrit une réponse au Sir Valem

Sir Valem,

j'ai bien lu votre lettre et je dois dire qu'elle m'a mis hors de moi, je ne cautionne en aucun cas la réaction de mon Chevalier. Votre réaction va dans le sens de nos lois. En effet TOUT les Hiberniens ont le droit de faire respecter nos lois sans avoir la crainte de se faire réprimander par la Chevalerie

Une enquête sera ouverte pour trouver le Chevalier qui vous a occasionné des préjudices. Si vous désirez réparation, faites le moi savoir je réunirai dès lors le Conseil des Sages pour juger votre affaire.

Une mise au point a été faite envers tout les Chevaliers d'Hibernia, ils ne peuvent plus vous bannir d'Hibernia.

Que les esprits de la forêt et qu'Archergal vous guident et vous protègent


Islaval
Commandant en chef de l'Ordre des Chevaliers d'Hibernia



Après écriture de la lettre, Islaval fit appeller le même elfe et lui confia la mission de remettre la dite lettre à Valem.

Islaval : lorsque ta mission sera faite tu recevras cette bourse

L'elfe prit la lettre et s'en alla à la recherche du Sylvain

[tahta]

Tahta lit une dernière fois sa lettre.

Commandant,

Après ma discussion avec le Sylvain Valem, j'ai été mis au courant de la

situation, je suis confus, je ne sais quoi répondre. Si je n'étais pas

chevalier, je chasserai également les malfrats de nos terres en tant que

citoyen de ma patrie, Valem a cru bien faire, je le comprend. Mais, je lui

ai dis que c'était le devoir de nos chevaliers, en disant cela je me

demande si le peuple Hibernien avait le droit de protéger Hibernia comme

nous le faisons .. J'aimerai vous rencontrer pour en discuter d'avantage...

Tahta, Chevalier d'Hibernia.

Tahta enroula le parchemin et posa un sceau.

Tahta : Chevalier Daruzelle, faite parvenir ce parchemin à notre Commandant Islaval.

[Norec]

Erebor entendit une rumeur se répendre sur l'homme a qui il avait demandé de quitter la Grande Verte.

Il prit sa plume et écrit une lettre au Commandant de son Ordre:

Commandant Islaval

J'ai appris que vous aviez eu echos d'un evennement qui c'était passer au sein de la Grande Verte et que vous désaprouviez l'attitude du Chevalier qui avait tenté de résoudre cette situation.
Ainsi ne vous donnez pas la peine de cherché car c'est moi qui est prit la décision de demandé a cet homme de partir.
Je ne reconnait pas avoir tort et estime avoir fait se qu'il fallait.Mais comme j'ai ouie dire que vous désaprouvier ceci je serait pret a accepter les eventuel sanctions qui seront prise a mon encontre.

Sur ces derniers mots que j'ecrit je m'en retourne surveillez Hibernia


Erebor
Chevalier d'Hibernia


Erebor replia la lettre et la confia au service postal.