[BO] Regroupement de légendes et d'actes Oréthorniens.

Réservé au Roleplay, présentations...
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

[BO] Regroupement de légendes et d'actes Oréthorniens.

Unread post by Batouka »

[Note hrp : Ceci est un regroupement d'histoire Oréthorniene, aussi bien de l'ordre de la légende, ou de l'event qui c'est véritablement déroulé ig et qui est noté, ceci s'intègre avec la volonté de regrouper des traces quant à l'évolution de notre guilde, pour plus d'information lire le nouveau post sur la page de présentation des Oréthorniens sur la rubrique guilde /hrp]

... Il tourna alors une des pages de ce vieux manuscrit qu'il venait de retrouver, il était écrit en grosses lettres de beau ouvrage...


Sommaire

Premiere partie, Regroupement des récits du peuple


¤ Page une : La construction du grand canal, récit d'un ouvrier Oréthornien.

¤ Page deux : Témoignage d'un noble Oréthornien à la fin de la guerre des forets

¤ Page trois : Le temple et le Kaosh, partie un

¤ Page quatre : Le temple et le Kaosh, partie deux

¤ Page cinq : Le temple et le Kaosh, partie trois

¤ Page six : Rapport d'un garde Oréthornien sur le transport de marchandises

¤ Page sept : L'histoire d'un Oréthornien du nom de Thorgor

¤ Page huit : Masti et sa lignée

¤ Page neuf : Quand la peste se trouve sur le royaume Oréthornien



Seconde partie, Regroupement des récits de l'académie Oréthorniène.

¤ Carn la Blanche

¤ Kesh

¤ Kondron / Le Gouffre d'Arithorne

¤ Thorne

¤ L'Oeil de Carn

¤ La lame d'Oréthorne

¤ La Marine Oréthornienne
Last edited by Batouka on 22 Dec 2006, 17:43, edited 10 times in total.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

La construction du canal, lettre d'un ouvrier.

Une belle journée ... Le Soleil tapait fort dans la verdoyante Contrée. Une belle journée allait débuter ...
Mais un événement connu seulement par les plus hauts gradés nous reunit devant la grande Cité d'Avalon.
Après y être entrés, nous dûmes nous rendre sur les terres Oréthorniennes pour y construire un canal de la mer de l'Ouest jusqu'au lac de l'Est.

Après plusieurs moment d'attente, nous nous rendîmes à l'Est, aux extremités du lac.
Cette construction était organisée par Aldenyss, Seleniords et Mordred. Aldenyss nous montra la limite du canal, avant de partir.
Pendant que Seleniords nous ordonnaient à creuser pour ce Canal, Mordred, accompagné de Mellion, partît chercher les planches de bois au village.

Après maints efforts, nous arrivâmes à creuser du lac jusqu'à la Colline, d'Est en Ouest. Pendant ce temps, Mordred était revenu accompagné des planches de bois.

Un petit Canal se distinguait à présent du lac jusqu'à la Colline, mais il y avait encore beaucoups à faire ..
Seleniords partit s'occuper du groupe chargé de poser les planches, et ordonna à Magni de prendre en charge le groupe de creuseurs.
Une première pour lui. Il devait à présent montrer ses preuves.
Magni ordonna au groupe de creuseurs de couper la Colline en deux afin de la relier au lac. Après avoir montré comment faire, le groupe, en bas de cette fameuse Colline, se mit au travail.
Pendant que ce groupe creusait, Seleniords et Mordred s'occupaient du deuxième groupe, qui devait poser les planches dans le Canal.

Le Soleil tapant extrement fort, les ouvriers fûrent rapidemment épuisés, sauf un, un Nain, du nom de Lenox, qui ne s'arretait jamais. Un exemple pour les autres, et Magni le fit savoir, ainsi qu'à ses deux superieurs.

Après beaucoups de sueur versée, les ouvriers arrivèrent enfin au sommet de cette Colline, à présent separée en deux. Le deuxième groupe nous rejoignit. Les planches étaient posées. Après une pause raffraichissante grace à Seleniords, le plus long était à venir. Relier le Canal du lac, de cette Colline, jusqu'à la Mer de l'Ouest, extrement loin.
Mais rien ne decouragea les Oréthorniens, ainsi que les autres personnes d'autre Civilisations, venus nous aider.
Magni, montrant l'exemple, en ligne droite, le groupe se mit à creuser, suivit de peu du deuxième groupe qui posait des planches au fur et à mesure.
Alors que Seleniords était parti en éclaireur pour verifier le terrain, Mordred et Magni s'emparèrent d'une pioche afin d'aider les ouvriers.
Heureusement, l'Oréthornien Dragson était là, et connaissait un sort qui pouvait remettre en pleine forme un ouvrier grandement fatigué. Une grande aide.

Les oiseaux chantaient en nous voyants, perchés sur leurs branches, les insectes s'écartant à la vue du Canal que l'on construisait, et ce beau temps ... Tout était parfait.
Le travail avançait doucement mais surement. La route de la Colline à la Mer de l'Est était extrement longue, mais nous devions le faire, pour la Gloire de notre peuple.
Lorsque Seleniords revint, il redonna courage aux ouvriers, qui augmentèrent leurs vitesses de travail.

Après plusieurs nuits de travail et de repos, nous vîment enfin la Mer, à perte de vue, au loin ... Nous sentîmes le vent de la Mer allant contre nous, nos cheveux et capes volant en arrière ... cela redonna le sourire aux ouvriers, et nous mîmes peu de temps à arriver a la Mer de l'Est.
Nous nous arretâmes à l'extremité de cette Mer, et Seleniords ordonna que le plus méritant donne le dernier coup de pioche, qui relirait la Mer de l'Est au lac de l'Ouest. Ce fût sans aucune surprise le Nain, Lenox.
Après s'être écartés, Lenox donna le coup ultime de pioche, et s'écarta vite. Nous vîmes alors ce fabuleux spectacle devant nous, l'eau entra vite dans le Canal, et s'enfonca dans la fôret, atteignant le lac à l'Est.

Après ce dur travail, l'heure était venue aux recompenses, données par Seleniords. Les ouvriers fûrent grassement récompensés pour leurs travail, et Magni donna une prime au meilleur travailleur, Lenox.

Après une bonne fête joyeuse, nous partîmes les uns après les autres à nos occupations habituelles ... Mais d'autres travaux seront à venir, et ce, très rapidemment ...
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

Témoignage d'un Oréthornien noble concernant la fin de la guerre.

Un arbre ... Des arbres ... Toujours des arbres ... Cette foret ne finira donc-t-elle jamais ?

Monté sur Asfaloth, son cheval blanc, il brillait dans l'ombre comme un éclair d'argent, la terre endormie frémissait sous ses sabots dorés.
Asfaloth était la monture d'Elessar, un cheval blanc, et des flammes jaillissaient de ses sabots d'or.

Chevauchant sans fin dans cette sombre et inquiètante foret, le jeune Duc ne rennoncait en rien, et continuait à aller de l'avant.
La pluie s'abattait ici. Le ciel, gris, ne présageait rien de bon.
Sachant l'importance de sa mission, il ne s'arretait pas.
Il se repetait sans cesse ces paroles dans la tête.

*Ils t'attendent vers le pont de Gwyddneau ...*

Mais qui ils ? Les Seigneurs des Talyons Arda Atanalë ...

Continuant son chemin sous la pluie, on pouvait sentir l'inquiètude qu'avait Magni.
C'était la première fois qu'il representerai seul tout les Oréthorniens devant les Seigneurs Talyons, leurs ennemis jurés.

Il n'arretait pas de caresser sa monture qui zigzaguer entres les multiples arbres, quand, enfin, il vit le pont de Gwyddneau à portée de vue ...

En s'en approchant, il sauta d'Asfaloth et lui murmura des paroles en Arnorien qui, apparement, voulait dire qu'il reste ici.

Décidé à en finir, il traversa le maigre pont, et s'approcha des deux Représentants des Talyons ... Un grand et mince Elfe accompagné d'une ravissante Celte.

L'Elfe prit la parole et salua Magni dans leurs langue.
Il déposa ses armes à terre et se découvra, rapidement suivi par la Celte, en signe de paix.
Voyant cela, Magni fit de même, et après un échange de regard, une grande discussion.

"Vous vous demandez pourquoi nous vous avons fait quérir, n'est-ce pas ?"

"Oui ... On ne m'a rien dit à ce sujet-la ..."

"Bien ... Vous savez tout autant que moi que nos peuples se battent à propos de petites querelles, nous n'avions pas de doute sur notre position, jusqu'à qu'un événement se produise ...

Il y a quelques lunes de cela, notre fort fut attaqué par ... Les Drowls ...
Nous pensâmes nous en sortir seul, mais il fallait se rentre à l'évidence, ils étaient bien trop nombreux et trop forts pour tous les contenirs.

Alors que nous pensions que tout était perdu, à notre grande surprise, nous fûmes aidés par une grande armée consititués d'Oréthorniens et de nombreux Guerriers venant d'autres peuple, et nous pûmes les repousser.
Jamais nous n'aurions imaginés cela ..."

"J'avais déjà essayé de prévenir vos Guerriers sur cette menace, mais en vain ..."

"Alors je vous le demande ... Doit-on nous oublier toutes querelles et combattre ensemble contre cette menace ?"

"Nos querelles sont de bien moins importance que cette menace qui grandit de jour en jour ... Bien trop de Guerriers nous avons perdu des deux côtés ... Il faut cesser cela ... Nous devons nous unir et combattre sous une seule et même bannière contre ce Démon et ses sbires ...
Combattre, et même ... mourir côte à côte, en tentant de preserver notre Royaume du mal qui la gagne ..."

Le vent sifflait contre le jeune Oréthornien, il prit une grande inspiration.

"Oui ... Nous oublirons toutes querelles et nous combattrons côte à côte ...
En signe de paix, notre tradition veut que ma Dame vous offre un bouquet de fleur ..."

La Celte s'approcha de Magni et lui tendit un bouquet de fleur.

"En esperant qu'il nous menera vers la victoire ..."

Le Duc saisit le bouquet et le regarda.

"Voici un magnifique cadeau de la Nature ... Voilà la raison pour laquelle nous combattrons côte à côte sur le champs de bataille ...
Il existait autrefois une alliance entre tout nos peuples ... Nous sommes fièr de nous battres à nouveau aux côtés de vous tous ..."

"Vous êtes sages pour un peuple qui ne vit pas plus qu'une dizaine de décénnies ..."

Après un échange de noms et de salutations, le jeune Duc saisit sa monture, et parti au loin, son ombre disparaissant au vue de la foret ...
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

LE TEMPLE ET LE KAOSH : Premiere partie du récit d'un scribe Oréthornien.

Celà ressemblait à une matinée comme les autres. Anathorne, notre Roi, ordonna un rassemblement au Village. Son visage était différent, ce jour là... Personne ne s'attendait à ce qu'il emmène ses hommes jusqu'à un temple en ruine, loin, tout à l'Est du pays.

Le temple conservait une atmosphère mystique, et tout fut clair lorsqu'Anathorne nous révela que cet endroit était très spécial: en son sein, été gardé précieusement, de tout contact humain, un des quatres Kaosh, dont les rayons soutiennent le Kosh, source de l'existence même. Anathorne nous comptait les légendes du passé et nous expliqua la mission qui nous incombait à tous: conserver intacte l'existance du Kaosh. Les soldats, illuminés par de telles révélations, ne purent que suivre leur Roi dans cette noble entreprise.

LUCINA ESPRIT D'ESPOIR

C'est alors que, contre toute attente, l'Esprit Lucina apparut aux cotés d'Anathorne. Chaque homme présent s'agenouilla face à l'honneur incommensurable de l'apparition d'un tel miracle. Lucina nous parla, nous compta comment la sagesse doit être notre destinée et la violence et la haine, drainée de nos existences. Les Albaroths avaient dès cet instant toute leur vie de changée. Une nouvelle destinée s'offraient à eux: propager la Lumière et l'Espoir dans des actes sages et sans utiliser la force, et la faire connaitre à tous, chaque etre, quel qu'il soit, étant digne de retrouver l'Espoir et la Lumière.

Dès lors, Lucina, sans le leur faire savoir, bénis Anathorne pour l'aider dans cette tâche. Si il mourrait dans un acte noble, il échapperait à la mort...


CONSTRUIRE LE ROYAUME

Lorsque la déesse de l'Espoir disparut, un long silence d'effroi et de respect envahis le temple. C'est seulement après un certain temps que notre Roi repris la parole.

- "Désormais la Lumière sera la destinée de chaque Albaroth", dit-il. "Ce temple sera notre lieu de culte afin de garder Espoir, et nous nous intallerons autour en faisant de ce lieu notre capitale."

Les soldats se prosternèrent tous devant leur Roi, acceptant de suivre sa voie et la destinée du peuple Oréthornien. Anathorne continua de donner aux hommes leurs instructions afin de pacifier la région des quelques sources maléfiques qui y trainnent, ainsi que de resituer le temple dans un état digne.


LA BATAILLE DE WOODHARLLEM

Les hommes s'exécutèrent à la tache et lancèrent les préparatifs pour accomplir leurs ordres. Tout d'abord, ils retournèrent au village oréthornien pour rassembler le plus de soldats possibles. Ensuite, sur le chemin du retour au Temple, les Albaroths rétablirent justice en réglant le compte de Woodharllem, vile créature, et sa horde de chiens-démons qui terrorisaient les paysants. La victoire fut éclatante... mais un obstacle restait pour continuer l'extension des terres du Nord, aussi nommées L'Evol, vers l'Est... en effet, les hommes avaient découverts l'existence d'une horde de Golems de Feu, tous dirrigés par un homme étrange et dangereux. Mais il fallait remettre cette mission à plus tard... le temple nous attendait... et il fallait le débarrassaient de ses serpents qui menaçaient la sauvegarde du Kaosh au sein du temple.

LE COMBAT CONTRE LES SERPENTS

L'armée Albaroth, pas trop heurtée par le combat contre Woodharllem, se prépara à lancer l'assaut contre les serpents géants. Ce fut avec courage et bravoure, mais non sans difficulté, que la troupe réussit à décimer les serpents... mais ... un phénomène étrange... les serpents revennaient... et bien que nous les tuâmes encore et encore, ils revennaient toujours plus nombreux... il fallait trouver la source de cette malédiction et l'anéantir. Après avoir cherché et cherché, nous en concluâmes que la source de la malédiction serait liée directement au Kaosh... Les armes ne résoudraient rien dans ce cas... Alors les plus pieux d'entre eux s'organisèrent pour lancer une prière tous ensembles, afin que la Lumière et l'Espoir soient avec nous et bénissent cet endroit maudit. Mais à peine la prière avait débuté que le seigneur Hakim disparut pour répparaitre aussi tôt. Lorsqu'il réapparut, il était encore sous le choque... "une voix... une voix de femme... et ... noir! tout était noir!" ... mais celà n'arreterait pas les Albaroths pour autant... mais alors qu'il entamèrent une seconde prière, ce fut au tour du seigneur Yarm de disparaitre puis réapparaitre dans les mêmes conditions... Alors que Yarm racontait, affolé, ce qu'il avait bien pu lui arriver, une autre surprise allait prendre court les guerriers...

L'ARRIVEE DE LA LEGION NOIRE

Dans l'entrée du temple, des bruits de pas métaliques se firent entendre. Des rires gras et rustres arrivèrent jusqu'aux Albaroths qui priaient la Lumière... Lorsque les soldats Albaroths se retournaient, leurs yeux s'ouvraient tout grand:

- "des légionnaire!", s'éclammait un Albaroth
- "Que faites-vous ici?", répondait un Légionnaire, "Et qu'avez-vous fait aux serpents?".
- "Célérats! Vous etes donc de mèche avec ces démons!".
- "Nous venons pour y extraire du poison, le meilleure que l'on puisse trouver! Et si vous avez détruit la source de notre petit commerce, je sens qu'il y en a un de nous qui ne finira pas la journée!", dit le légionnair.

La confrontation semblait inévitable, chaque hommes présents menaçaient celui d'en face. Mais les Albaroths refusèrent de se battre en ce lieu saint, et proposèrent de trouver une solution pacifique. Mais les légionnaires, furieux, ne voulurent pas partir sans avoir eu droit à leur dose de sang... et prométèrent de partir à une condition: que leur meilleur guerrier combatte le meilleur guerrier Albaroth présent. Si l'Albaroth gagnait, alors ils partiraient. Mais dans le cas contraire, alors les légionnaires en finirait en traquant les Albaroths présents jusqu'au dernier.

Alors que les soldats oréthorniens le supliaient de refuser cette offre, Yarm, courageusement, accepta de relever le défit pour sauver le reste de ses hommes et afin de ne pas faire couler le sang dans le temple.

Tout le monde sortit donc, et le duel commença. Yarm, implorant une bénédiction de la Lumière et l'Espoir, avant de se lancer au combat. Mais la malédiction qui flottait en ce lieu vint peser sur Yarm, et celui-ci semblait perdre du soutient de la Lumière, et le légionnaire, vif et féroce, saisit son occasion pour terrasser Yarm. Lorsque Yarm tomba, nulle ne sait s'il était encore vivant... et chacun dégaina son arme en voyant les Légionnaires, souriants, encercler les albaroths...

LA REINE SERPENT

Mais c'est à ce moment qu'autre chose vint surprendre ce petit monde...

La Reine Serpent sortit du temple maudit et arriva, furieuse, au milieu des guerriers bataillants. Chaque Albaroth aurait imaginé qu'elle prendrait parti pour les viles légionnaires. Mais ceux-ci, trops fiers et ne croyant en rien, meme pas en la Reine Serpents, lui tennaient tête hardemment. Mais la Reine Serpent, toute puissante, n'eu que faire de ces insectes qui rampaient en face d'elle. Et dans sa colère, attaqua les légionnaires. Les Albaroths s'écartèrent du combat en voyant ces deux malédictions se battre l'une contre l'autre... Alors que les légionnaires se faisaient décimer un à un, ils ne pouvaient accepter que leurs proies oréthorniènes s'en sorte indème, et on dont attaqué par derrière, profitant de la confusion, les soldats Albaroths. Les oréthorniens se défendèrent comme ils purent, mais les légionnaires étaient bien plus fort et menaient au sol les Albaroths un à un.

Mais celle qui eu le fin mot de l'histoire, c'était la Reine Serpent. Et seulement quand tous les soldats étaient au sol, alors elle repartit dans son temple, ne laissant derrière elle que quelques rares survivants blessés à terre.

C'est seulement bien après la bataille que les survivants Albaroths purent retourner, tant bien que mal, au village, et prendre du repos.

Il ne restait plus qu'à se resaisir et à reformer une armée pour en finir avec la Reine Serpent avant qu'il ne soit trop tard pour le Kaosh...
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

LE TEMPLE ET LE KAOSH : Seconde partie.

LE RASSEMBLEMENT

L'aurore éclairait les murailles de la ville d'Avalon. Des soldats s'y rassemblaient, petit à petit, sonnant cors et trompettes. Le roi était sur son cheval, aux portes de la ville, et les rangs se gonflaient rapidement devant lui. Chaque capitaine, général, chaque seigneur mettait ses hommes au garde à vous et inspectaient armes et uniformes. Des soldats Albaroths de toutes les contrées se réunirent... mages, archers, chevaliers... personne ne manquait à l'appel.

Lorsque tous étaient prets, lames affutées et armures ajustées, le roi pris la parole:

- "Albaroth, nous allons exterminer ces sales créatures qui souillent le Kosh", s'exclama-t-il. En rangs, soldats! Nous devons partir dès à présent!"

Chaque soldat releva le menton et bomba le torse, avant de traverser, en parade, la ville d'Avalon pour aller jusqu'au mage temporel qui les enverraient sur leurs terres. Dans le cortège, tout le monde avait le visage grâve, apréhendant la bataille proche...

LA FIN DE LA REINE SERPENTS

Lorsque l'armée fut arrivée devant le temple en ruines, les chefs de guerre organisèrent les formations, malgrès l'atmosphère lourde et menaçante qui pesait sur le temple. Lorsque tout fut prêt, l'assaut fut lancé... les cris de guerre résonnèrent par centaines dans le temple. Lorsque l'armée de soldats se retrouva enfin nez à nez avec la gigantesque Reine Serpent, l'heure n'était plus aux questions, ni aux doutes... mais au courage et bravoure. La puissante Reine Serpent fit couler le sang, la boucherie fut sanglante... Mais les albaroths étaient nombreux et organisés. Des hommes grimpaient sur elle, la tranchait de partout, et le temps qu'elle s'occupait des chevaliers durs comme des rocs, l'artillerie des mages ne sessaient de l'affaiblir. Le combat fut long mais victorieux. Lorsque la Reine sombra, les cris de victoires firent trembler les murs du temple.

UN NOUVEAU DEPART

A peine les blessés avaient été mis sur le coté et bandés, le roi Anathorne rassembla ses hommes à l'entrée du temple...

- "Maintenant que le mal est erradiqué de notre temple renfermant le Kaosh, il est temps de voir vers l'avenir, soldats", dit-ils à haute voix pour que chaque homme assimile chaque mot. "Nous allons enfin pouvoir établir notre fief en ces lieux sacrés. Mais avant toute chose, Klaim, Eilish, avancez-vous..."

Ces deux soldats s'avancèrent respectueusement jusqu'au roi. Anathorne, fier de la bravoure qu'ils ont montrés au combat, commença le protocole pour les faire préter serment de servitude au Roi. Les deux soldats, agenouillés et dignes, s'engagèrent sans hésitation dans la voie qui leur était offerts.

Quand celà était fini, le roi enchaina sur les priorités. Il fit s'avancer le seigneur Hakim, pour le faire parler de la mise au point concrête sur la région:

- "et bien, nos affaires vont bon train sur les terres principales", dit Hakim à son roi. "Nous avons nettoyé la région et préparé nos terres de l'Est à l'expansion... Aussi, un projet de port de pêche est en cours sur nos côtes Nord. Cependant, pour établir notre capitale en ce lieu, il serait nécessaire de nettoyer la zone des créatures démoniaques qui s'y trouvent. Je manque d'effectif encore pour y arriver."

- le roi répondit: "Quand comptes-tu finir la besogne?"

- "Et bien, avec les nouvelles recrues, je pense finir celà dans les jours à suivre", affirma Hakim. ".. en fonction de l'endurance de nos soldats. Mais nous progressons. Woodharllem a capitulé, il y a deux jours, face à mes soldats. Mais il reste un obstacle pour étendre les terres du Nords vers l'Est... En effet, un puissant fou a créé une armée de Golem dans sa forteresse de pierres. Ils sont trop puissants pour que nous en arrivions à bout par des moyens conventionnels..."

VOIR PLUS GRAND

C'est à ce moment que Treic, capitaine d'Hakim, intervient:

- "Sire, j'ai une idée... ou plutôt une requête à faire...", dit-il avant de s'élancer dans son expliquation. "J'ai une idée pour ce qui est de défendre nos terres. Il me faudrait l'aide de tous les artisants du royaume, afin de construire une grande arme de siège capable de lancer des rochers. Je ne sais si c'est possible à réaliser... Mais j'avais pensé l'utiliser pour faire s'effondrer la forteresse des golems de feu... "

A ce moment, tout le monde s'emballa et chaque soldat qui avait des talents d'artisant intervint pour apporter sa pierre à l'édifice. Mais les discussions allèrent encore plus loin: les Ablaroths avaient convenu d'installer l'arme de siège sur l'ile au centre de la région. Cet endroit serait parfait d'un point de vue stratégique. Mais il fallait encore pouvoir défendre cette place... Il a donc été décidé dans un premier temps de faire un campement militaire, puis, à plus long terme, d'établir une forteresse bien gardée sur cette l'île, afin de dominer la région, ainsi que d'offrir un abris aux paysans en temps de siège. De plus, une forteresse en ce lieu, ainsi qu'un poste tout au Nord et tout au Sud du lac offrirait une barrière imparrable pour toute menace qui voudrait s'emparrer du temple et son Kaosh. L'objectif de protéger le Kaosh était aussi important que de protéger les terres et la population... C'est pourquoi cette forteresse est d'une priorité absolue pour atteindre tous les objectifs oréthorniens.

Le roi donna à Hakim et sa seigneurie, la responsabilité de mener à bien cette tâche, en pouvant disposer de chaque architecte et artisant du royaume.

PLACE A L'ACTION

Lorsque tous les détails furent arrangés, le roi ordonna, devant le temple, de rassembler les volontaires parmis les soldats pour aller commencer dès à présent cette tâche dont dépendait la survie du royaume. Bien entendu, tous les soldats présents étaient volontaires, meme les seigneurs présents. Anathorne lança donc les opérations: le groupe partit abattre un arbre pour le couper et l'entreposer dans un campement pres du lac. La tâche fut rude, mais les hommes courageux frappaient de la hache hardemment, ne perdant jamais à l'esprit le but ultime, la raison de toutes ces goutes naissantes sur leur front: la capitale et la forteresse... le royaume...

Après des heures de travail acharné, lorsque les hommes, à l'aide de leur chevaux, eurent entreposé les morceaux de troncs dans le campement à l'Est du lac, il retournèrent au village, ayant bien mérité leur repos...

Celà ne faisait que commencer...
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

LE TEMPLE ET LE KAOSH : Troisieme et derniere partie.

FAELERES CARM

Au village, tous les soldats s'étaient levés tôt, ce matin là. Le soleil ne s'était pas encore levé, mais des haches et scies étaient parées pour retourner près du lac. Le roi, Anathorne, comme à son habitude, rassembla les hommes. Seigneurs, généraux, ou simples soldats, tous étaient dans le rang au garde à vous, déjà impatients d'oeuvrer pour ce qui sera la future capitale oréthorniene et sa forteresse.

La troupe partie du village en deux groupes qui se suivaient... le premier groupe arriva à bon port, mais le second fût retardé par quelques créatures hostiles de la forêt qu'ils n'avaient pu héviter à cause de l'obscurité... Mais ce fut plus de peur que de mal, après quelques combats, les soldats s'en sortirent indèmes, ou, au pire, avec quelques blessés légers.

L'aube se levait lors que le roi, ayant fait faire l'inspection des lieux, donna ses premiers ordres: il fallait utiliser le bois entreposé pour en faire des planches, puis construire la coque du navire qui nous conduirait sur l'île. Sans plus attendre, les soldats s'exécutèrent, sciant, clouant, rabottant le bois pendant la journée durant. Toute cette légion d'hommes au travail permis que les choses avancent plutôt vite, réussisant à finir un navire de petite taille pour la fin de la journée. Après avoir goudronné la coque et avoir attendut le temps qu'il fallait pour qu'elle sèche, les albaroths mirent le bateau à l'eau... Les hommes, fiers d'eux, purent baptiser ce premier vaisseau qu'ils avaient construit à la sueur de leur front. Fièrs qu'il étaient, ils l'eurent baptisé "Forteresse flottante"... ou plutot, en oréthornien "Faeleres Carm"

A LA DECOUVERTE D'UNE ILE SAUVAGE

Plusieurs albaroths avaient déjà été en éclaireur visiter l'île... mais les crocodiles féroces et nombreux ont toujours rebutté les tentatives d'exploration... Alors dès que le bateau fût mis à l'eau, c'est sans attendre que le seigneur Hakim, chargé des opérations, lança la troupe conquérir et nettoyer l'ile. Le nombre et la détermination est une force que meme des créatures sauvages et féroces ne pourraient pas arreter... Les coups d'épées cinglaient, les hachent tranchaient, les piques enfourchaient les crocodiles qui infestaient la zone...

Après avoir erradiqué la pluspart d'entre eux, et mis le feu aux hautes herbes de l'île, les soldats, en fin de journée, se réunirent au centre de l'île, sur les restes de vestiges anciens... ici serait le lieu où serait battit le la déjà fameuse future forteresse Albaroth. Les oréthorniens avaient déjà les ressources, les hommes, le navire et le courage nécessaire à la construction de leur royaume. Les paysans, soldats, femmes, vieillars et enfants avaient espoir en ces projets qui sauraient leur rendre la vie meilleure... et le Kaosh pourra enfin etre protégé comme il se doit, afin de garder l'Espoir en ces lieux.

LE MAGE ET SES GOLEMS

Alors que les soldats sur l'île n'eurent pas le temps de souffler un peu, qu'il y eu un éclaireur albaroth qui arrivait en courrant. Des golems flamboyants sortaient de leur fort, disait-il, la menace ne fait que s'aggrandir chaque jour, et des paysans disparaissent chaque nuit! Bien que l'arme de siège serait la solution, les albaroths ne pouvaient attendre que plus d'innocents meurent à cause du temps qui passe. Il fallait faire quelquechose! Le groupe armé de l'île repris donc son courage à deux main, en cette fin de dure journée, et se préparère à lancer un assaut afin de repousser ces golems qui prennent un peu trop leurs aises.

Quand la troupe fût arrivée plus au Nord, à la forteresse des golems de feu, celle-ci ce fit repérée par mégarde! Sans avoir eu le temps de préparer l'attaque, des golems se lancèrent sur les albaroths! A cause de cette erreure, il y eu plusieurs victimes du côté Albaroth... mais les capitaines et seigneurs, habitués à ce genre de situation, ne se laissaient pas faire... Après avoir maitrisé la situation, et tendu un piège aux golems idiots, les rapports de force s'inversèrent. Les soldats croyaient avoir remporté la bataille quand quelqu'un vint les surprendre: le mage Udrik était sortis de son trou pour s'occuper des soldats lui-même! Ce fût le chaos et la terreur qui reigna sur les guerriers oréthornien pendant un instant... il y eu des pertes... mais encore une fois, aussi puissant soit le mage maléfique, le nombre d'hommes à combattre aurait raison de lui... C'est après une bataille sanglante que le mage s'effondra au sol...

Mais un phénomène étrange se produisit... le cadavre du mage disparut, ne laissant au sol qu'un chapeau, un baton et une robe semblant se dégonfler comme de la bauderuche... Mais les guerriers, exténués, blessés, n'eurent plus esprit à penser à s'inquieter de celà... il n'était plus là, et c'était tout ce qui importait... qui sait ce qu'il est vraiment arrivé du mage Udrik... qui sait si ce n'est qu'une ruse, ou un quelconque tour de magie... ou si le mage était vraiment humain...

Meme si quelques golems restaient toujours cachés dans la fortin du mage, les albaroths, blessés, avaient bien merité de rentrer au village pour une longue nuit de repos, après tout ce qu'ils ont enduré et accomplis cette journée là...

Mais tant reste à faire...
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

Rapport du garde Skilter concernant le transport de marchandises Oréthorniène au comte Batouka.

De Nalsor à Hibernia :

Non loin des Drakorans, cinq personnes semblaient mouvementées :

- "Bien avant d’aller chercher les coffres, j’aimerais savoir si mon roi vous a tout expliqué." dit le Shar.
- "Personnellement, je n’ais pas bien comprit se qu’on attend de nous." s’éleva une voix.
- "Se qu’on attend de nous est très simple, nous devons amener des coffres à la futur capitale Oréthornienne." répondit un jeune guerrier à grande armure.
- "Elle se situe à Hibernia, dans Atlantis." dit à nouveau le Shar.
- "Atlantis dîtes-vous ? Je ne connais pas cet endroit." dit une jeune femme vêtu de noir.
- "Se n’est pas grave, nous ne ferons le voyage qu’une fois et tous ensemble." redit-il.
- "Oui, maintenant allons devant Camelot, les coffres nous y attend."

Devant Camelot, se trouvaient, des coffres, avec situé un peu plus loin, un chariot attaché à un cheval. Le paladin pris un coffre avec un mage qui ressembla très fort à un arbre mal taillé et le mirent dans le chariot.

- "Hum… toi ! Le Breton ! Aide moi à la porter."
- "Je me nomme Vangelus si cela peut vous servir." dit-il avec un sourire.
- "Excusez moi, je me nomme Skilter. Enchanté."
- "Je m’appelle Fendawien et lui s’est Salro" dit l’arbre en désignent le paladin.
- "Et moi, c’est Solene"

Sur ce, le groupe mis une dizaine de coffres dans le chariot et se dirigea vers Nalsor en passent par les Drakorans.

- "Halte ! Nous sommes dans l’obligation de vous demander se que vous transporter dans votre chariot." cria Davidas de l’Ordre des Croisés d’Avalon.
- "Nous transportons des armes, armures, nourritures et matériels… Nous ne faisons que passer." répondit Skilter.
- "Très bien allez si. Mais en vitesse."

Salro et Skilter ouvrit le pas pendant que Fendawien dirigea le chariot et que Vangelus et Solene se contentèrent de suivre.

Le chariot avança tant de bien que de mal et se rapprocha d’Hibernia, le plus magique et le plus proche de la nature des royaumes.
Malheureusement derrière ses collines émeraude se cache de créatures et de bandits.

- "Nous devrions faire attention, le chemin n’est pas sûr." averti Salro.
- "Tu as raison mon ami, nous ouvrirons l’œil." répondit Skilter.
- "Nous pourrions passer devant Vangelus et moi." conseilla Solene.
- "Bien dans ce cas allez si, prévenez nous." redit-il.

Le reste du groupe souffla un peu et bu un peu d’eau et après un court moment :

- "Regarde là-bas. Je crois que c’est Solene." dit Salro.
- "Bien la voie est libre, allons si doucement." répondit Skilter.

Ils rejoignirent les deux éclaireurs.

- "Juste des petites bêtes, rien de méchant."
- "Je crois que nous pouvons passer sans risques."

Le chariot avança dans l’obscurité de la forêt, jusqu’au moment où Vauglus dit :

- "Il fait calme ici, vous ne craigniez rien de particulier ?"
- "Je crois que nous avons de la visite…"

Devant eux se trouva une vingtaine de bandits armés de couteaux ou d'épées.

- "Laissez votre chariot et courez, il vous sera alors fait aucun mal."

Skilter et Salro sortirent leurs armes en guises de réponse.
Les bandits poussèrent des cris et fonça vers les Oréthorniens.

Les bandits ne tenirent pas longtemps.

- "Continuons ! Le fort n’est plus très loin."


À Hibernia :

- "Nous y voici… Hibernia."
- "Restez ici, je vais voir si on peut rentrer."

Salro parti en direction du fort.
Après un long moment, le groupe se décida quand même d’avancer.
Salro était couvert de sang.
- "Que s’est-il passé ?" demanda Solene.

Salro ne répond pas et s’avança vers Skilter et lui dit à l’oreille :

- "Les guerriers sont là.."

Skilter regarda deux cadavres au sol se baignent dans du sang et resta silencieux.

Ils s’avancèrent devant les portes, un Celte et un Lurikeen se dressaient devant eux.

- "Laissez passer le chariot !" cria Salro.

Le Celte ne bougea pas et regarda la compagnie.

- "Vous êtes sourds ma parole ?" récria-t-il.

Il fini par bouger d’un pas lourd.
Skilter regarda les deux individus et fonça un sourcil.
Juste après être passé la porte, un nouvel obstacle se trouvait devant le chariot.

- "Bougez d’la vous !" dit un guerrier qui ressembla étrangement à Salro mais des couleur noir.
- "Pourquoi donc ? Nous ne faisons que passer." demanda Salro.

Le paladin noir frappa sur le crâne du cheval pour le faire reculer et les trois autres compagnons retentirent le cheval pour qu’il ne parte.

- "Parce que je l’ai décidé !" s’excita le paladin.

Le guerrier noir releva son poing pour frapper à nouveau sur le cheval avant que Skilter le retienne. Il sorti son épée et s’attaqua à Salro. Celui-ci sorti la sienne et commençait à se défendre.
Après un moment le guerrier donna un coup sur le casque de Salro.
Assommé, Salro tomba au sol.

Skilter l’a sorti à son tour et le poussa hors d’atteinte de Salro.
Les coups s’enchaînèrent et se paraient.
Skilter fini par tuer son adversaire.
Fendawien s’était déjà occupé de Salro.

- "Comment va-t-il ? Rien de grave ?"
- "Non rien juste assommé" répondit Fendawien soulagé.


Dans Atlantis :

La nuit était tombée, Skilter et Solene s’endormirent dans la charrette et Fendawien et Salro fit la garde.


Après une bonne nuit, Skilter se réveilla seul près d’eau et d’un bateau.

Il regarda autour de lui et vit Salro et Solene étendus par terre.

Il descendit du chariot avec son épée dans la main et s’avança doucement des corps.
Ils n’étaient pas gravement touchés.

- "Que cherches-tu ?"

Le Celte d’Hibernia se tenait devant lui.

- "Que leurs as-tu fait ? »

- "Ils ne voulaient pas me donner leur chariot."

- "Dit moi où sont les deux autres." dit Skilter les poings serrés.

- "En garde !"

Le Celte sorti son épée et ils se battirent.
Skilter remporta le duel mais quelque chose pensait qu’il y avait encore du monde.

« Le Lurikeen. » se dit-il.

Il regarda autour de lui et vit le petit occupé à brandir son arc face à lui.
Skilter lui lança un pouvoir qui le projeta à trois mètres.
Celui-ci couru se caché dans les bois.

Skilter Chargea au plus vite le bateau avant d’apercevoir Fendawien sortant de nulle part.

- "Salro et Solene !" cria Skilter.
- "Je m’en occupe."

Salro parti à la recherche du Lurikeen tendit que Fendawien, Solene et Skilter montèrent sur le bateau et ramèrent jusqu'à l’île.

Sachant qu’ils étaient suivit, ils traînèrent les coffres dans le camp aidés par les gardes Oréthorniens.

- "Nous sommes à l’abri" soulagea Fendawien.
- "Joli camp" dit Solene essoufflée.

Après avoir rangé et s’être reposé, Solene annonça son départ.

- "Vous êtes sûr de ne pas rester ?"
- "Non j’ai d’autres chose à faire."
- "Tenez prenez ses pièces, vous nous avez été d’une grande utilité."
- "Merci mais je n’ai pas fait grand-chose."
- "Dîtes moi, je vous ai observé pendant le voyage… Que diriez-vous de rejoindre nos rangs ?"
- "Je suis désolé mais je ne suis pas encore assez forte… et le destin ne m’a pas encore montré où aller."
- "Vous savez, même une femme peut changer le destin... Êtes-vous sûr ?"
- "Oui… il me doit de décliner."
- "Très bien, j’espère vous revoir un jour." dit Skilter à contrecœur.
- "J’espère que nous nous reverrons."
- "Aurevoir Solene."

Solene chevaucha sa monture et parti au galop
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

L'histoire d'un Oréthornien du nom de Thorgor.


Du long de sa vie, Thorgor n'avait pu trouver le répit. Il avait vécu en homme déchiré entre ses choix et ses impulsions, entre son passé un temps occulté et la vie qu'il s'était construite. En homme accablé par les épreuves qui lui étaient imposées, toujours plus difficiles, toujours plus cruelles. En homme obsédé, aussi, par la quête d'un idéal qui se niait de lui-même : la sagesse.
La Lune avait offert le repos à Thorgor. Un repos définitif, qu'il avait longtemps souhaité en son for intérieur, sans jamais l'accepter. Thorgor n'était plus. Mais si un être ne peut pas toujours composer avec l'incessante mutation de son existence, obtenir d'entrée le résultat de la somme de tous ces bouleversements est une situation dont nombre rêveraient.
Et c'est ce dont bénéficia Lokräath.

--***--

Lokräath n'avait que neuf ans lorsque la guerre éclata. Elle fut de courte durée, et le patriarche de la tribu de Mæπ fut le dernier des opposants au roi Thorne à rendre les armes, marquant la fin des guerres tribales en outre-Kosh. Restait à prouver la bonne foi des Mæπ et leur allégeance totale au souverain.
Pour ce peuple pastoral, encore sauvage, la plus grande preuve de dévotion s'avéra être la conversion à un mode d'éducation Orethornien. Soucieux de ne rien demander du Roi, les meneurs de la tribu décidèrent d'envoyer l'un de leur αΓmαts à la découverte de la civilisation orethornienne, pour que celui-ci revienne un jour leur enseigner ce qu'il avait appris.
On fit appel au grand prêtre Ishτar, désormais affublé d'un faciès d'aigle, afin de désigner l'enfant. Le jeune Lokräath fut choisi.

C'est ainsi que Lokräath partit à le découverte du monde. A chaque village qu'il traversait, chaque auberge où il séjournait, chaque cité qu'il visitait, son admiration pour ce que le peuple d'Orethorne avait bâti s'accroissait. Et quand, bien longtemps après, il s'en retourna vers les siens, le jeune homme cultivé et maniéré n'avait rien en commun avec l'enfant barbare qu'il avait été.

*

Il prit plus d'une année à Lokräath pour retrouver son peuple. Les Mæπ s'étaient sédentarisés, à des lieues plus au sud de leur territoire d'origine. L'emplacement du nouveau village se situait en bordure des Grandes Montagnes du Nord-Est, celles qu'étant petit, Lokräath avait parcourues maintes fois, lorsqu'il accompagnait son père dans ses échanges avec les villes naines.
De fait, le territoire des Mæπ fut le tout premier endroit à avoir vent de la menace qui pesait sur le royaume. Quand le jeune premier pénétra dans le village, les visages étaient sombres, tendus, effrayés. Lokräath alla trouver son père, Möri¢ke, qui entre temps était devenu le nouveau patriarche de la tribu. Ce dernier s'exprima en ces termes :

"Mon fils. Ne pose pas de question. N'ôte pas tes gants, ne desselle pas ton cheval. Ne va pas visiter ta mère, BrΦ∩e, ni ta soeur Traìhna. Je leur dirai pour toi combien tu les aimes.
Va trouver le roi Thorne. Dis-lui qui tu es et d'où tu viens. Dis-lui que des hordes venues des montagnes marcheront demain sur Carn. Dis-lui tout cela, et prouve-lui ta valeur. Tu es un Mæπ. Montre-le lui en le servant au combat jusqu'à ta mort."

Et ce disant, le vieil homme pointait le menton devant lui avec fierté, peut-être pour dissimuler les larmes qui ruisselaient sur son épaisse barbe.

Lokräath chevaucha à bride abattue pendant des lunes, ne s'accordant de répit ni pour dormir, ni pour boire, ni pour reposer sa monture. Comme prise de frénésie elle aussi, celle-ci ne s'écroula que devant les premières ruines. Il arrivait trop tard.

*

- Héla, jeune fol ! Est-ce la mort que tu attends à genoux ?
- Elle peut bien venir maintenant ! Ces faillis Orcs ont été si rapides... Où allez-vous ?
- Nous gagnons Carn au plus vite. Vois : l'exode de mon peuple a commencé. De partout, l'on va se réfugier là bas... Là bas, où la défense s'organise !
- Carn ? Je dois y rencontrer le seigneur Thorne !
- Je doute qu'il t'écoute, drôle ! Il a fort à faire à cette heure. Mais viens donc avec nous, tu trouveras pitance pour ta route et puis, plus nombreux, nous saurons mieux résister n'est-ce pas ?

*

- Que veux-tu, pouilleux ? Ne vois-tu pas qu'il s'agit d'un vaisseau militaire ?
- Je suis défenseur de Thorne ! La caravane avec laquelle je voyageais a été massacrée... Je veux fuir là où notre roi fuira.
- Le roi ? Le diable sait s'il est encore en vie aujourd'hui ! Bah, aborde ! Quitte à mourir en mer, autant le faire tous ensemble.
- Qui te parle de mourir, ô marin ?
- Insensé ! Ne vois-tu pas que le tonnage de ce rafiot ne supportera pas le trajet que nous devrons sûrement accomplir, chargés comme on l'est ? Tout bons navigateurs qu'on soit, je ne nous donne pas une chance sur cent !

*

La vague avait submergé le pont un court instant. Déjà, les matelots s'affairaient à pomper l'eau hors du navire.
Jevet'nan fit signe à Lokräath de venir le rejoindre en poupe. Alors que ce dernier s'élançait, le tangage le plaqua au sol. On ne voyait plus rien, et Lokräath fut traversé par l'idée incongrue qu'il devait pleuvoir. Il continua à quatre pattes dans le tumulte des marins paniqués. Parvenu à hauteur de son ami, un second rouleau manqua le faire passer par dessus bord. Jevet'nan, arrimé à la chambre, le saisit par l'aisselle et le tira contre lui.
Lokräath éructa, ses yeux injectés de sang emplis de reconnaissance. Puis le marin lui tendit une corde en hurlant :
"Prends ça ! On risque de perdre le grand hunier !"
Le jeune homme empoigna l'épaisse corde de toutes ses forces, la mâchoire serrée.
"Attention !!"
Lokräath fit volte-face, juste à temps pour voir le gui d'artimon, désanglé par une bourrasque, arriver droit sur lui.

*

"Thorgor, Thorgor, est-ce que ça va ? (...) Oh ! (...) Couvert de sang !"
"Vite (...) Prends (...)"
*pourquoi est-ce qu'elle m'appelle Thorgor ?*
"Il a bougé ! (...) Thorgor ! (...)"

*

- Allons, tu vois bien que ce n'est pas Thorgor !
- On aurait dit... Et puis tout ce sang sur le visage...
- En tout cas, celui-ci nous a quittés.
"LE GRAND MAT ! LE GRAND MAT CEDE !"

--***--

Aujourd’hui, Lokräath était libéré. Bien que souffrant de la morsure du temps, il demeurait un combattant expérimenté, un scribe de talent, un scientifique érudit et un philosophe abouti. Il avait eu l’occasion de se découvrir un sens indéniable des affaires, et même un certain talent pour mener les hommes. Thorne n’était plus. Il n’était de toute manière plus question de rédemption ou de quête de soi-même. Simplement finir ce qui avait été laissé inachevé.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

Origine de Masti le Survivant

« Au temps jadis, avant la création du Royaume d’Amtenaël »

Tout d’abord, il faut savoir que Masti est, sans le savoir, le dernier survivant d’une longue lignée de nobles et valeureux nains, Les Baldurs. Ils étaient disciples de la cinquième dynastie. Au pouvoir d’un pays où la beauté ne cessait d’embellir après toutes ces générations.



Cette famille était très croyante et très gratifiante envers Thor, leur unique dieu. Le seul ancien à détenir son pouvoir était le grand Hernès qui était le plus sage de tous, mais avant tout celui qui a enduré beaucoup plus de souffrance que quiconque sur ces terres.
Ils décidèrent de partir à la quête de pouvoir et d’acquérir des terres à eux.
Les Baldurs décidèrent d’envoyer leurs trois plus puissants guerriers à la conquête du pays, autrement dit : Kernel et Hernès qui sont d'indomptables nains armés de massifs Hache légendaires avides de sang



et accompagné de Krôh leur acolyte doté de pouvoirs de bénédictions mythiques. Certe, ils étaient partit à la quête de terres, mais surtout, ils attendent de Thor une récompense à leur retour.

Ces nains étaient vraiment déchaînés et prit d’assaut plusieurs contrées, et chacune d’elles tombèrent en ruine accompagnée d’un bain de sang. Un beau matin, après quelques semaines de leur périple et ayant tué bon nombre de robustes Ardennais, ils atteignirent Midgard, à bord de leur sombre et fidèles chevaux noir. Kernel était né là-bas et y avait une amourette d’enfance. Il décida donc de prendre congé de sa quête et de laisser son Seigneur Hernès et Krôh l’acolyte pour aller rejoindre sa petite naine qui est encore plus belle qu’au par avant et il passa la nuit en sa compagnie et se délesta.

A son retour, tout fût en cendre, il ne resta que des ruines, plus le moindre de ces frères vivaient encore. Il perdit foi en son dieu initiateur, il se retrouva sans force… même pas assez pour prendre sa hache et défier les assaillants. Kernel se laissa tuer par un chevalier de la Légion Noire qui sortait des ruines.
Il était étendu par terre, du sang gisait de partout sur le sol et murmura : « J’ai un fils ! Vous n’avez pas encore gagné cette guerre soldat de la Légion Noire ! » Et le paladin l’acheva de son épée avec un sourire démoniaque.

Chapitre 2
Naissance de Masti le Survivant

« Un cycle s’était écoulé après l’anéantissement de la famille des Baldurs. »

A Midgard se trouvait une jolie petite naine qui souffrait d’une peine inexplicable et incroyablement pénible. Soudain, au crépuscule du matin, la naine n’en pouvait plus et se concentrait jusqu’à en suffoquer. Une onde de lueur divine bleutée entourait son corps et elle se sentait soutenue par une force divine. Elle se mit à pousser de toutes ces forces jusqu’à épuisement jusqu’au soulagement et tomba dans un sommeil profond. La naine fût cependant réveillée par la foudre, elle sortit de sa hutte, Elle sortit et vit par terre, au milieu d’une nuée sombre orageuse, un bébé nain, la foudre retentit à nouveau en plein dans l’œil gauche du nouveau né, sur le choc, la naine s’évanouit et perdit connaissance.
Plus tard dans la journée, une troll se promena avec ces deux fils adoptifs : Cosmo et Xanathon. Elle aperçu un bébé seul et désemparé dans une marre de sang par terre, elle prit pitié, le prit dans ces bras et l’essuya sur sa grande robe verte et décida de l’adopter. Elle couvrit son œil maudit avec une ficelle en cuir et un cache œil qu’elle avait fabriqué de ces mains, et dit : « Bonjour petit nain, je m’appel Isha. Désormais, tu es des nôtres et je te baptise Masti, … viens, rentrons à la maison, je vais te préparer une bonne soupe Midgardienne spécialement fait pour les bébé nain comme toi ».
Masti vécut chez eux et devenu très soudé avec ces nouveaux frères. A quatre ans, il avait l’âge de s’entraîner à l’aide de deux petites haches en bois avec Cosmo et Xanathon qui s’étaient familiarisés avec les épées et les bouclier en bois qu’Isha leurs fabriquait.

Chapitre 3
L’Epreuve de Masti le Survivant

« Deux cycles plus tard »

Un soir d’hiver, une troupe de la Légion Noire défonça la porte d’entrée du logis de cette famille de rescapés. Des hommes de noir et de rouge vêtu armés comme de véritable Légionnaires apparaissait sous les yeux innocents d’Isha et de ces fils. Le chef de leur unité décocha une flèche en plein cœur sur Isha, elle n’eût même pas le temps de dire le moindre mot. Les Légionnaires pillèrent tout objets de valeur dans l’enceinte du foyer, ils épargnèrent cependant Cosmo et Xanathon qui prirent la fuite à Krondon pendant que Masti resta caché longtemps sous une table, il était fou de rage et son œil ne pouvait s’empêcher de briller.
Il était rouge de colère, sortit de sa cachette lorsque les agresseurs l’aperçu. L’enfant se laissa guider par la rage de son vécu et l’œil lui faisait tellement mal, que la foudre en sortit de ces yeux et tua les légionnaires autour de lui sans vraiment le faire exprès et s’exclama : « Que justice soit faite sur terre, vous allez comprendre la raison de mon existence ! Je me vengerais de l’éradication de la cinquième dynastie de mes ancêtres les Baldurs ». Ces paroles n’étaient pas contrôlées par Masti, mais de son père qui lui dictait ces mots.

Chapitre 4
Un nouveau départ pour le jeune Masti

« Deux jours après la mort d’Isha »

Masti s’adressa à Febur, un brave forgeur qui est spécialisé en armures de mailles de haute qualité au fort de Midgard.

- B’jour m’sieur l’forgeron ! J’voudrais savoir si v’zavez une armure en maill’ pour moé par hasard ?

- Et je suppose que tu n’as pas d’argent… hm… je m’en doutais. Et puis de la maille coûte cher tu sais ! Es tu assez fort pour porter une telle armure ? Et qu’est-ce qui pousse un jeune nain comme toi à vouloir te battre ?

- J’aime pas répondre à trop d’questions à la fois ! J’ai perdu ma mère adoptive ‘cause d’méchants légionnaires, et j’ai nulle part où aller ! Faut bien que j’me défende !

- Oui je comprend, normalement je fais payer mes clients tu sais…

*Masti n'ayant pas d'argent commence à s'enerver intérieurement et son oeil se mit à briller*
*Febur senti le sol trembler et commença à craigner le nain*

- Tiens ! Hum… sa me fait penser que j’avais justement mis de côté une armure cloutée spécialement fait pour les nains de ton âge !

*Febur donne ce qu'il avait gardé en réserve dans son sac*

*Masti prend l'armature et son oeil se calme*

- Hé hé, c’est just’ment c’qu’y m’fallait ! Merci brav’ viking d’m’avoir écouté et compris ! dit Masti.

*Febur se senti gêné et roulé dans la farine*

- Oh ce n’est rien, ne me remercie pas ! dit-il d’un air agacé.

- Ben j’vais pas vous déranger longtemps m’sieur Febur !

Masti se décida à partir en excursion afin de se dénicher une hache de valeur, autrefois, Isha lui avait parlé de Gobelin Sombre tout prêt du village des déchus et il apprit qu’il y avait des haches qui se portent à deux mains dont la double lame est possédée par un esprit obscur. Il partit à la quête de cette mystérieuse arme et vit un gobelin. Il essaya donc de se concentrer et regarda profondément son ennemi, son œil se mit à briller lorsque qu’un troll l’arrêta et de sa voix imposante et autoritaire il dit:

- Urgh… toi avoir courage, mais toi pas encore assez fort, troll Hulgarr te protéger des monstres maintenant !

- Euh… merci bien l’troll, moi c’est Masti l’Survivant,… héhé, j’suis content d’faire ta connaissance Hulgarr !

- Hm… jeune nain courageux venir ici pour hache ?

- Oui, j’suis à la r’cherche d’une hache sombre esprit !

- Arme trop lourde pour toi, troll Hulgarr te la donner mais Masti la garder dans sac, Hulgarr te donner hache moins lourde… ça être bonne hache !

*Hulgarr tend une hache à Masti*

- Hé hé, merci bien Hulgarr, avec ça j’vais p’voir m’défendre !

- Toi pas partir comme ça. Toi venir habiter maison pour manger. Maman troll toujours dire : « Petit troll Hulgarr pas partir chasser avec ventre vide ! »

Masti accepta et Hulgarr lui apprit que son œil était possédé par la bénédiction de Thor et l’entraîna à maîtriser son pouvoir. Masti portait des haches pour adultes dès l’âge de 6ans, deux ans plus tard, il n’avait plus besoin d’aide de quiconque. A 12 ans il était déjà vu comme un homme, ni preux ni courtois, mais un nain avant tout. Il erra dans les alentours de Midgard et se fit craindre par ces ennemis à cause de la légende de son œil contre la troupe de la Légion Noire.

Huit ans plus tard, Masti prit conscience de ces actes, a gagné en maturité, a canalisé sa rage, se mit à parler comme un gentilhomme et réussit à s’assagir d’avantage. Il est devenu un nain respectueux par tous les habitants de Midgard et remboursa sa dette envers Febur et Hulgarr. Il pu enfin sortir sa Hache Sombre Esprit et enfila une armure de maille qu’il avait payé par son dur labeur.
Il alla se promener dans les quartiers résidentiels du centre ville de Camelot, le sourire aux lèvres et ces poches remplis de pièces d’or, et se permit d’acheter un cheval… il était noir et lui rappela des souvenir sans avoir jamais vu ce cheval. Et soudain des voix lui passait par sa tête : « J’ai un fils ! Vous n’avez pas encore gagné cette guerre soldat de la Légion Noire ! » Masti se rendit compte que c’était Kernel qui murmurait en lui. Il en conclu que tout homme de la Légion Noire serait son ennemis et sera tué sans pitié.

Masti se secoua afin de revenir sur Terre, et donna l’argent au palefrenier pour son cheval et une robe verte pour le couvrir du froid et de la pluie. Il était très fier de sa monture, le baptisa « Kabi », le monta et se tenait droit au milieu de la chaussée commerciale jusqu’à ce qu’il rencontre un mystérieux personnage dont il ne connaissait pas la race. Cet homme était vêtu de vert et d’or, Masti vit en lui de l’espoir et lui fit un signe de la main.

*Masti descendit de son destrier et salua courtoisement le firbolg*

- Bonjour Sire, quelle belle journée n’est-ce pas ? Vous portez de bien belles couleurs ! Le vert signifie que vous êtes bon et le doré que vous êtes preux et courtois.

- Bien le bonjour brave nain, vous semblez être un valeureux guerrier vous aussi. J’aime la robe de votre cheval noir vêtu de vert.

- Excusez moi, mais de ma vie, je n’ai point vu d’homme vous ressemblant, quelle est votre race ?

- Et bien je suis un firbolg… nous avons tous été élevé dans les montagnes, c’est pour ça que nous les firbolg avons la peau dure. Mais je suis un Sage avant tout, je combats peu souvent au corps à corps.

- Au faite, je ne me suis pas présenté, je suis Masti le Survivant, quel est votre nom firbolg ?

- Je m’appel Grand ! Et je suis un Albaroth aux services du roi Oréthorne et je suis l’un de ces suzerains à la tête de la maison Viféclair. Une maison qui accueil des hommes avides de savoirs et de culture, mais cela n’empêche pas d’avoir de brave guerriers courageux tel que vous Masti.

*Masti sourit et lui fit un signe de respect*

- Hm… Je suis honoré de vos paroles Grand, et … j’en serais d’avantage si je pouvais devenir un Albaroth chez les Viféclair dans votre maison et ainsi défendre le blason que vous portez. Qu’en dites vous ?

- A vrai dire j’allais vous le proposer… Etes vous prêt à servir les Albaroth jusqu’à votre mort ?

- La mort ne m’effraie pas, ce que je veux c’est de vous être fidèle et de servir un homme de parole. Ma hache vous défendra coûte que coûte jusqu’à ma mort. Je suis également à la quête de me venger contre la Légion Noire qui a éradiqué la famille de mes ancêtres, les Baldurs et Isha ma mère adoptive qui m’a recueilli lorsque je venait de naître.

- Nos lames croisent souvent le fer contre la Légion Noire sur ces terres, vous aurez donc sûrement l’occasion de vous venger. Vous semblez être un nain qui tient parole ! Allons discuter à Nalsor plus tard dans la journée car le devoir m’attend. Je vous y attends pour une entrevue avec vous Masti le Survivant.

Plus tard dans la journée, Masti parla longuement de sa vie à Grand, et il fut satisfait de demander s’il était prêt à devenir un Albaroth. Il fit le serment de porter les couleurs et l’emblème des Albaroth parmi les Viféclair et de leur être fidèle jusqu’à sa mort, il s’agenouilla et Grand l’accepta parmi les siens.
Masti était très fier de porter l’emblème des Albaroth sur sa longue cape flottant dans le vent. Et murmura : « Je suis désormais un Albaroth, au service de Grand, soutenu par mes ancêtres et par Thor,… quel honneur… »

*Ce fier chevalier se lança au galop sur Kabi et dit à voit haute*

« Que la force des Albaroths me guide et Thor m’accompagnera et fera de moi, un nain honorable ! »

Aussitôt dit, aussitôt fait
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

Quand la peste se répend sur le royaume.. Lettre du comte Batouka.

Un parchemin dont le sceau fut rompus par la chute de celui-ci, se trouvait au milieu d’une large route pavé non loin d’Avalon au coté d’une gourde et d’un petit couteau, les premières lignes sont en une langue étrangère mais la suite quant à lui est en langue commune.


La solitude m’a donné goût aux parchemins. Les temps furent rudes et j’en ressens le besoin d’écrire. Mais que dire ? Tant de choses se sont passés, le malheur c’est abattu sur nous et les larmes ne viennent plus tant que nos yeux sont secs. Que dieu ait pitié.
Le royaume d’Oréthorne si beau, si riche semble être tombé dans les ténèbres les plus total. Cette chose que nous avons tué, je suis persuadé qu’un grand mal en est jaillit car depuis ce jour le sort semble s’acharner. La maladie a frappé les provinces centrales avant de se rependre lentement mais mortellement. J’ai vu des familles entières en souffrir, tristes gens que ceux-ci. Couvert de cloques noires, on penserait voir des cadavres. Ils tombent après une longue agonie, la bouche ouverte donnant vue sur une langue d’un vert répugnant.

Ce qui reste de la population de base composé de paysans se tourne pieusement vers la religion. Ils vouent un culte bénéfique mais aveugle et je craints que certains membres du clergé n’en profitent que trop hélas même si cette religion est bonne. Le royaume en est venu lentement à un monothéisme particulier, la lumière qui leur offrit un roi est au centre de cette croyance. On ne nomme plus Belanos par son nom, mais Dieu. Dieu serait l’unique, le véritable père composé de la Lumière, l’Espoir et le Kosh. De plus en plus se rependent des cérémonies à sa gloire, n’est-ce pas Dieu qui mit sur le trône Anathorne ? Si il est capable de faire les Rois, alors son pouvoir et tout puissant. Le blasphème devient répréhensible, j’ai vu un chevalier Oréthornien punir un homme pour avoir osé dire que Dieu n’était pas unique. Mais que faire si c’est le peuple qui le désire ? Le Roi est malade, prit du même mal. Si son sang n’était celui qu’il est, qui sait s’il serait encore en vie ? D’ailleurs, survivra t’il ?

C’est le duc Hakim le bon qui gouverne maintenant, Anathorne le sans fils en fit son héritier légal. Mais ce Dauphin semble fragilisé par la maladie de ce qu’il nomme son père de cœur, il passe bien trop de temps à son lit de mort qu’à régner. La nouvelle religion l’importe peu, il y a trop à faire. Des provinces entières ravagées, de la population, il n’en reste qu’un infime minorité.

Beaucoup sont ceux qui ont fuis, la trahison de Magni fils d’Hakim est amère dans la bouche de tout ceux qui le connaissait. Et si ce coup dur avait fragilisé le roi ? Sa maladie serait alors plus compréhensible.

Pour ma part, j’ai attrapé cette maladie. Je pensais que ma fin serait une question de jour. Quant on me fit part des nouveaux lieux de culte dressé en l’honneur de Dieu, et n’ayant rien à perdre je m’y rendis. Je suis tombé sur un curieux homme, petit et gras sa gentillesse débordait. Il se dit Homme de Dieu, ayant étudier longtemps les écrits il enseignait la parole de l’unique. Cette nouvelle religion comme je l’ais dis n’est pas mauvaise en elle même, au contraire. Elle reprend les principes du culte à la lumière lui donnant un coté plus accessible, ce qui expliquerait son succès face au peuple. C’est une question de valeurs, de morale, et je fus étonné de retrouver en cette dogme mots pour mots les discours de nos chevaliers. Le partage, la fraternité est remis en avant et honoré, la violence prohibé et la tolérance demandé. Je n’ais jamais rencontré de dieux dans ma vie, j’accepte donc l’hypothèse qu’il en existe un seul. Avant tout j’ai peur qu’un clergé tente de prendre le pouvoir que la noblesse à perdu, il me faudra observer cela afin de guider ce courant.

Je ne pense pas que Anathorne repoussera ce monothéisme, je l’ais entendu parlé sur des questions de religions. A part le culte de la lumière, il éprouve pour les autres une méfiance, une tolérance au mieux. Même si notre seigneur à conaissance de la vérité concernant la multiplicité des êtres divins je pense qu’il gardera le silence et laissera faire. Le fait de tenir son pouvoir de Dieu est un avantage qu’il conservera afin de garder main mise sur les troubles de notre temps. Je ne sais si je me trompe en imaginant que le roi lui-même lança ce courant, les valeurs de la dogme sont bien trop proche des siennes pour n’être qu’une coïncidence, peu être à t’il trouvé un moyen d’enseigner au peuple.

Beaucoup sont ceux qui retrouvent les grâces de la couronne. Le chevalier Séléniord ayant encore prouvé sa fidélité semble monté dans l’estime de la noblesse, ainsi que moi même. Mon adoublement il y a peu fut une surprise, j’ais toujours imaginé que le titre se donnait à la naissance et je me suis trompé. J’ai peu être sauvé le Roi, mais je n’étais alors qu’un simple Artisan. J’ai maintenant une petite terre non loin de la futur capital, déboisé l’endroit est parfait pour cultiver mais le seigneur m’a invité à donner à ce domaine une escarcelle. Pourquoi ? Serais-je donc enfin anoblis ? Je dois trouver des hommes bons et fidels, ne serait-ce que pour protéger ma terre.

Batouka.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

CARN LA BLANCHE

La fondation de la citée blanche marqua la fin de l’age sombre chez les Oréthorniens, sa création finalisa également l’unification des peuples Humains.
Comme il est écrit dans les livres du Kosh, Oréthorne vint sur le continent des hommes de Kesh ( Kesh signifie : ceux qui vivent au Kosh ) car sur celui-ci se trouvait le but du Tout. Oréthorne avait trouvé sur ce continent presque vierge ce qui pourquoi il existait, il avait réussit une partie de sa quête, celle de trouver le croisement des rayons, là ou les soutiens de l’univers ne faisaient qu’un pour donner cette amas de puissance que l’on nomma Kosh. ( L’Elfenes fut le symbole de sa réussite, car la ou les rayons formaient le Kosh, poussait la fleur blanche qui plus tard deviendra le sigle de la Maison d’Oréthorne )

Mais la découverte de ce lieu ne concluait pas la quête d’Oréthorne, car le Kosh était vulnérable et toutes créatures malfaisantes qui en avaient le pouvoir tenteraient de s’emparer de ce haut lieu. Ce fut en partie pour cette raison que le peuple Humain fut réunit sous la bannière d’Oréthorne. Quand celui-ci réussit à convaincre les Clans de l’importance de la situation ( par le charisme, ou la force ) il organisa en un premier temps l’unification et la consolidation de ce qui deviendrait les protecteurs du Kosh.. Ils fit relier les villages par de nombreuses routes, développa le commerce tout en révoluant les guerres. Une fois le peuple Humain devenue plus puissant, il commença la ou le Kosh se trouvait la construction de Carn, sa protectrice.

Les premières difficultés vinrent, Le Kosh se croisait précisément sur une île entouré d’une mer intérieur, et Oréthorne refusait de bâtir sa citadelle sur un espace aussi réduit. D’énormes canaux furent creusé, et un fleuve dérivé pour permettre l’assèchement. Puis vint le moment de combler l’énorme fosse ! On dit que de mémoire d’hommes on ne vit pareils travaux, mais le chantier pu enfin commencer.

Le fleuve détourné avait eut deux impacts, de un, il avait permit de faire disparaître la mer alors non alimenté. De deux, il permettait de fournir au chantier tout ce dont les bâtisseurs avaient besoin, des tonnes et des tonnes de pierres. Pour venir à ce stade, les hommes mirent plus de un siècle ( on remarque que Oréthorne était toujours en vie, et très bien conservé, cette longévité est peu être due à du sang Elfique, mais ce n’est qu’une hypothèse ) durant ce temps, la petite nation s’était étendue, et comme l’avait ordonné leur guide, elle formait de talentueux maçons et tailleurs de pierres !

La seconde partie des travaux fut plus courte qu’Oréthorne n’avait pensait, durant ce siècles les hommes s’étaient imprégné du savoir du Kosh et voyaient maintenant l’importance de la tache, ils considéraient l’aide au chantier comme un pèlerinage, les dimensions alors devinrent presque religieuse. Apres un peu plus d’un siècle, le chantier était finit laissant place à la plus grande merveille faites de mains d’hommes.

Carn vue d’en bas semblait être une montagne, mais son architecture recherché et complexe ne pouvait laisser penser à une œuvre de la nature. L’impressionnante muraille ( en fait, ce qu’on pensait être qu’une muraille était un assemblages de plusieurs murs très haut et large, 4 ou 5 pensons nous ) formait un cercle tout le long du Kosh, la ou le rayon du temps venait ( l’ouest ) on avait crée une porte d’acier, l’unique accès de la ville. Le mur d’enceinte était jalousement gardé par de nombreuses tourelles armés, mais ces tourelles ne servaient pas uniquement à la protection de la ville. Car ces bâtiments de pierres blanches servaient en fait de contrefort à d’autres tours plus grande, qui servaient également d’appuie à d’autres tours et ainsi de suite. Les tours reliés entres elles par de multiples ponts s’élevaient encore et encore pour supporter une unique tour ! Encore une fois de mémoire d’homme, on ne fonda jamais une merveille aussi haute ! Car ce prodige ( Emel Ish : Pic d’argent ) à lui seul aurait pu servir de ville pour de nombreuses régions, longtemps on chanta l’Emel Ish qui s’élevait vers les cieux pour percer le ciel. On observera ici l’ingéniosité d’Oréthorne, jamais un tel monstre n’aurait tenue seul ! Mais en partageant le poids sur toute la citée, on pouvait atteindre des tailles déroutante !

Carn avait tout en fait d’une ville suspendue, le peuple avait eu du mal à supporter cette nouvelle altitude, mais devint bien vite familier à tout ses escaliers, tours, et ponts.. Chaque famille possédait une partie de tour qu’elles entretenaient avec soin. Carn devint vite une citée mythique, un lieu fantastique chanté par de nombreux poètes. La voir était peu être le seul moyen d’y croire.

Peu après la création de Carn, Oréthorne fut proclamée Roi de tout le peuple Humain de Kesh, qui alors porta le nom d’Oréthorniens. Carn fut jusqu'à sa prise un millénaire plus tard le symbole de la grandeur du royaume et de la lignée d’Oréthorne. Protectrice du Kosh elle incarnait la raison d’être de tout un peuple. C’est ainsi que le Kosh devint la capital de nouveaux idéaux.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

KESH

Le Kesh fut le continent originel, la ou les Oréthorniens naquirent. La légende raconte qu’au commencent Kesh était unie au reste du monde qui ne formait alors qu’un bloc. Les deux Nécessités qui avait décidé de fixer le lieu de leurs affrontements sur la terre, se livrèrent combat presque directement. Le Choc fut tel qu’une partie de ce bloc se détacha. Dérivant au fil des millénaires il forma Kesh. Un continent fort vaste, mais exilé au reste du monde.

Bien qu’encerclé par un vaste Océan, la vie était sur Kesh. Car avant même la séparation trois peuples vivaient sur le continent. Les Elfes, les Nains, les Hommes.
Les hommes divisés en tribus, clans, et castes différentes bien trop occupés à se faire la guerre mutuellement avaient oublié leurs origines qui venaient de la nuit des temps. Il en fut de même pour le peuple Nain, préférant creuser toujours plus profondément. Seul les Elfes se souvinrent de la grande séparation et ce fut grâce à eux que nous connaissons aujourd’hui l’histoire.

Beaucoup de légendes circulent sur la formation de Kesh, mais celle cité se retrouve dans les prophéties de Carn. D’après elle, Kesh devait tout simplement exister pour permettre l’accès au Kosh, car sans ce continent aucun être vivant n’aurait pu atteindre le Kosh, la ou se déroulerait la bataille ultime entre les deux Nécessités.

Kesh est un continent fort vaste, à la géographie aussi varié que son climat. Au sud les plaines sont vastes, et fertiles, dégagés. Tandis que l’est abrite avant tout d’épaisses forets, un climat plus humide donc. De Hautes et froides montagnes pour le nord.

Le tout étant traversé par un incroyable nombre de fleuves et rivières tels de fines veinures vue du ciel faisant la particularité de ce pays. Au centre se trouvait la mer intérieur, la ou les rayons se croisent pour former le Kosh. Cet mer fut bien plus tard asséchée par les Oréthornien pour ainsi bâtir Carn qui serait alors la défense du Kosh.

La civilisation Oréthorniène se développa au fil des siècles s’étendant par la suite sur presque la totalité du continent. Le peuple Nain disparut de façons énigmatique, mais la date de la disparition des Nains et de la montée en puissance de Trellus coïncide. Les deux éléments sont sans doutes liés.

Avant les guerres de Carn, Le peuple Oréthornien découvrit de nouveaux continent loin à l’ouest. Ils apprirent qu’ils n’étaient pas seul sur ce monde, hélas ils n’eurent le temps de s’étendrent plus que la guerre les rappelèrent vite chez eux. L’échec cuisant à Carn marqua la fin de la civilisation Oréthorniène sur Kesh, mais les débuts sur Avalon.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

KONDRON / LE GOUFFRE D'ARITHORNE

Les Oréthorniens, après s’être étendu sur tout le continent de Kesh ( mise à part les royaumes Nains et Elfes ) arrivèrent à ce que les historiens de Carn nommèrent les temps d’argents ( l’age d’or en quelques sortes ) cette apogée fut avant tout marqué par le règne d’Arithorne dit aussi le Roi navigateur.

Tout le continent originelle était sous la domination du royaume, et pourtant la soif de découverte et d’extension était loin d’être assouvie. C’est donc vers les océans qu’Arithorne se tourna. Il mis un point d’honneur sur l’amélioration de la flotte Oréthorniène, qui à l’époque était bien moindre que part le futur. Les navires Isils marquèrent les débuts des explorations d’Arithorne, car ces bateaux bien plus grands et rapides que leurs ancêtres permettaient de transporter plus d’hommes, de vivres, tout en gardant une vitesse de croisière optimal ( on raconte dans les légendes de Carn que le navire royal d’Arithorne était une véritable forteresse mobile )

Vers l’ouest la flotte pris direction ( Nous pensons, que les prophéties de Carn favorisa ce choix, car dans le futur ceci prendra une importance plus que capital )
Plusieurs mois passèrent ( nous noterons que les Oréthorniens continuèrent leur voyage, alors qu’aucuns d’entre eux n’étaient sur de trouver terre ou accoster, les vouant a une mort plus que probable, nous pensons qu’ils savaient ce qu’ils faisaient ) , quand enfin ils trouvèrent terre. Ils débarquèrent sur une plage de sable fin, se préparant à explorer les lieux.

Le capitaine de la flotte, après avoir transmis ses trouvailles au Roi, fut anoblis et désigné seigneur des nouvelles terres. Il décida avec quelques centaines d’hommes de s’installer en ces lieux. Les campements de vulgaires tentes furent remplacé par des maisons en bois, avant de laisser place à la pierre. La terre était fertile et garantissait la survie du nouveau fief. Ce jeune seigneur aspira bien vite à appuyer sa récente autorité, il décida de fonder dans le gouffre non loin une puissante forteresse qui protégerait son domaine.
Il est écrit dans les registres Oréthorniens que des francs maçons et moult artisans furent envoyé de Carn pour la construction du fort ( ceci, marque l’importance qu’Arithorne place au projet, car il sait que cette expérience marquera la colonisation ou non de tout le nouveau continent ) . Plusieurs années furent nécessaire. Tandis que le chantier avencait le petit bourg à l’est se développait, particulièrement la partie situé à coté du port. On raconte que des Albaroths étaient présent, encore un signe que le Roi en personne désirait le bon déroulement des choses.

Enfin, le chantier fut terminé et le résultat était fort impressionnant. Une haute et épaisse muraille coupé toute la largeur du gouffre, le tout surmontait de puissantes tours, encastré dans la montagne une citadelle fortement protégé, empêchait les éventuelles ennemis de pénétrer à l’intérieur de l’installation. Un nom fut donnait à ce fort, il se nommait désormais le Gouffre d’Arithorne en l’honneur du monarque à l’origine de cela.

Mais le temps passé sur ce fief ne fut pas long, car peu après commencea les guerres de Carn. Trellus le félon avencait en tète d’une gigantesque armée. Il fut ordonné aux habitants du Gouffre d’Arithorne de se rendre immédiatement à Carn pour rejoindre les armées ( cet évènement marque la décadence du royaume d’Oréthorne ) Le bourg privé de sa population, tomba bien vite en poussière. Aujourd’hui, de ce qui était une ville prospère il ne reste plus que le fort tombé en ruine.

Mais le gouffre d’Arithorne eut une grand importance par la suite, car plusieurs générations plus tard, après la chute de Carn, les survivants du massacre savaient qu’il existait à l’ouest une terre connut. C’est donc la bas, que Anathorne le dernier descendant d’Oréthorne se rendit et avec lui les derniers Albaroths.

Le Gouffre leur offrit en un premier temps une protection contre les temps dur, mais à leur grand étonnement, ils se rendirent bien vite compte qu’ils n’étaient pas seul sur ce continent. De ce dernier symbole de la puissance Oréthorniène, ils partirent explorer le vaste monde qui s’offrait à eux mais n’oublièrent jamais qu’ici, c’était chez eux.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

THORNE


Thorne fils d’Evasthore de la ligné d’Oréthorne, figure légendaire de l’histoire Oréthorniene fut le dernier Roi a Carn. Il vint au pouvoir assez jeune après la perte de son père mort à la bataille des Fleuves gris. Plusieurs années après le début de son règne, la grande majorité des territoires Oréthorniens étaient sous l’occupation de l’ennemi, mais la présence Albaroth diriger par son fils Anathorne qu’il installa dans les forets du nord ( déserté par les Elfes Sylvains ) ralentit grandement l’avancé du Nécromancien.

A la vue de l’approche de l’ennemi Thorne prit la décision de rassembler toutes ses armées a Carn et rappela en dernier temps les Albaroths. De mémoire d’Oréthornien jamais aussi grande armée ne fut réunit par un de la ligné d’Oréthorne.

Avant que l’attaque ne débuta, Thorne accéda dans la salle des rayons situé au sommet de la tour des étoiles. Apres avoir vu dans l’œil de Carn, une révélation lui fut faite. Comme les Oréthorniens pourraient vous le dire, Thorne signifie Prophète ( ou prophétie ), Oréthorne ( Père Prophète ) en voyant le premier dans l’œil de Carn prédit que le centième de ses descendants serait celui qui répondrait aux prophéties de Carn, l’homme qui sauverait son peuple et les rayons. Le roi comprit ce soir la, qu’il n’était pas le thorne, l’élue des prophéties. Il comprit également pourquoi ses rêves l’avait tant incité a nommer son fils Anathorne ( Ana : Espoir.. L’espoir des prophéties ) car l’élue c’était bien lui.

Le rôle de Thorne en était pas pour autant finit, il ordonna à l’élite Albaroth par la force d’entraîner son fils loin de Carn et de suivre le rayon du temps ( l’ouest ) que son ancêtre Arithorne avait maintes fois emprunté par les océans pour se rendre sur Avalon ( précisément au gouffre d’Arithorne ). Une fois les ordres donné, comme l’œil de Carn l’avait prédit il se posta devant la porte de la salle des rayons, pendant que des dizaines de milliers de créatures et d'hommes s’entretués, il attendait son destin. Il abattit Trellus grâce a la lame d’Oréthorne lui privant de sa forme matériel ( et lui interdisant ainsi l’accès de la Salle ) avant de mourir a son tour. Ainsi mourra Thorne, aux portes de l’œil de Carn, permettant a son fils Anathorne ( l’Espoir de Thorne ) de partir au loin, la ou il accomplirait a son tour son destin.
On ne sait comment la lame d’Oréthorne revint dans les mains d’Anathorne ( L’œil de Carn aurait il lui même transmis la lame ? ) mais grâce a elle et son possesseur, les prophéties de Carn se réaliseront.

On se souviendra de Thorne, comme le roi qui réussit a ralentir Trellus et lui privant par la suite de sa forme physique. Ainsi le dernier a maintenant un plus long répis pour répondre a son destin.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Batouka
Bon level
Posts: 108
Joined: 04 May 2006, 20:21
Discord:

Unread post by Batouka »

L'OEIL DE CARN

En la plus haute des salles de la capital ( la salle des rayons ) se trouve ce que Oréthorne nomma
L’œil de Carn. L’œil de Carn est en fait le point précis ou les quatre rayons se croisent dans le Kaosh et fusent en une sphère de force. Elle tire sa force du Kaosh( le centre de l’univers pour les Oréthorniens ) et libère une puissance incroyable, c’est aussi un grand canaliseur de volonté qui multiplié par la force des rayons permettent de contrôler les lois de la magie créatrice. A part ce qui fut relaté par les descendants d’Oréthorne ( les seuls a avoir eu droit d’accès a la salle des rayons ) très peu d’informations existent sur l’œil de Carn.

Comme il est écrit plus haut la sphère donnerait a celui qui voit dedans d’étranges facultés, celle de porter sa vision a des lieux se situant a des milliers de kilomètres a la ronde ( plus la volonté du Roi est fort, plus sa vision peut porter loin ) mais aussi d’entendre des choses lointaines, et pour les plus fort la possibilité de voir l’avenir et de parler par l’esprit. On pense que c’est ainsi que les prophéties de Carn furent prédites.

Oréthorne fut tué par Trellus désirant rencontrer l’œil de Carn, mais celui ci fut chassé.. Sa disparition malgré l’œil de Carn fut total ( très peu des descendants d’Oréthorne était aussi doué que lui en ce domaine a part Thorne ) les Oréthorniens furent persuadé au retour de Trellus ( peu avant la mort d’Arithorne ) que celui ci c’était caché en les sous sols des montagnes du nord pour y lever ses armées et ainsi ne pas être vu par l’œil de Carn.

La prise du Kaosh ( l’œil de Carn ) a une importance capital pour Trellus. Les rayons seraient a l’origine de toutes les sortes de magies, qui a le dessein assez noir de vouloir contrôler le Kaosh a donc une emprise sur les rayons.. Et alors la puissance du Nécromancien deviendrait presque infinie.. Mais Thorne durant la bataille de Carn se soldant par la défaite, se trouvait juste devant la porte de la salle des rayons, et avec en sa main droite Flamme verte ( la lame d’Oréthorne ) réussit a faire tomber Trellus avant de mourir a son tour.
Ayant perdu sa forme matériel le nécromancien ne peut plus accéder au pouvoir de l’œil de Carn et personne d’autre a part le dernier descendant d’Oréthorne ne peut maintenant revendiquer son droit sur l’œil. Il est donc condamné a rester sur le seuil de la porte et en sa fureur noir, si il ne peut prendre le pouvoir de l’œil il a une volonté assez puissante pour que aussi proche soit il des rayons il puis les détruire un part un. Avec les années qui passent il y arrivera, alors l’univers ayant perdu ses soutiens sombrera dans le Chaos le plus total.

L’espoir ( Ana en Oréthornien ) réside au fait que le dernier de la ligné d’Oréthorne est considéré comme mort dans son royaume d’origine. Anathorne le dernier de la maison d’Oréthorne, le dernier protecteur du Kaosh. a donc encore un peu de temps pour se préparer son retour a Carn, et part la lame du premier, faire valoir ses droits sur l’œil de Carn.

Sinon : L’œil de Carn n’a jamais été représenté, son image fut tant sacré par les sujets Oréthorniens qu’ils s’interdisaient eux même de le dessiner. Physiquement il est une sorte de boule de matière/magie d’apparence sans cesse en mutation, il repose se trouve en lévitation à quelques centimètres d’un socle de Nivaline pure. Sur le métal vert du socle est gravé le mot Thorne ( Prophétie en Oréthornien ) et au dessus du mot est représenté une fleur d’Elfenes le symbole des rois
.
:arrow: Batouka du Nesth (Paladin)
:arrow: Stadael le Sournois (Ombre)
:arrow: Simas le Voleur (Maitre d'Arme)
:arrow: Ulikt le Serf (Paladin)
Post Reply