Le Gouffre d'Arithorne, l'histoire.
Le Gouffre d'Arithorne, l'histoire.
scribe etant le meilleur conaisseur d'Oréthornien va vous raconter l'origine des Albaroth sur amtenael.
La stratégie est la science de l’emploi du temps et de l’espace. Je suis, pour mon compte, moins avare de l’espace que du temps : pour l’espace, nous pouvons toujours le regagner. Le temps perdu, jamais.
les premiers Albaroth sur Amtenael
Beaucoup ont tendance à croire à défaut que les premiers Albaroths sur Amtenael sont des rescapés de la guerre de Carn, ce qui n'est pas tout à fait vrai comme je vais vous le raconter.
A une époque assez reculée, quand le peuple d'Orethorne était à l'apogée de son existence, celui ci était dirigé par le roi Arithorne, dit aussi le roi navigateur, car sous son règne la marine Orethorniene était telle qu'il n'en existe plus aujourd'hui.
En effet les ports du continent grouillés de navires en tout genre, le plus souvent commerciale venant et allant de terres reculées pour y amener marchandise précieuse, en particulier les épices qui était a l'époque une denrée très rare.
Se promener sur un de ces ports revenait à voir ceci, une foule de négociants jugeant le prix de la marchandise et la qualité du produit au capitaine des vaisseaux , des dockers transportant tout cela dans d'immense chariot, soit tiré par des chevaux ou par des hommes se poussant les uns aux autres et hurlant si quelqu’un avait le malheur de toucher le précieux convois. La poussière, la foule, le bruit intense, voila de quoi faire tourner la tête à n'importe qu'elle homme, mais pourtant cela était monnaie courante dans les ports Orethorniens.
Des vaisseaux gigantesques étaient affrétés, pouvant contenir 1500 hommes et cela pendant une période de 6 mois voir plus si il le fallait, le vent gonflait leur voile de toile brune conçu spécialement dans les villes du sud pour leur donner une grande légereté et résistance.
Des vaisseaux de bois spécialement coupés dans les forêts des montagnes blanches, là ou ont trouvait les arbres les plus résistants permettant de résister à n'importe quelle tempête sans ce fendre.
Les Orethornien avaient développé un art de construction de navire que même les charpentiers Elfes ne peuvent égaler.
Ces navires étaient tout simplement magnifique, magnifique par leur élégance, comme si ils furent tout simplement taillé dans un bloc de bois brut, magnifique par leur puissance leur préture, une navire comme le peuple d'Orethorne demandé un travaille intense d'une génération d'homme moindre, mais à la fin qu'elle spectacle, ils bâtirent des navires comme les hommes bâtirent des cathédrales..
L'exploration des mers ne cessait de s'étendre, mais cela n'était toujours pas assez pour Arithorne, il voulait savoir ce qui se trouvait derrière le grand océan bleu, il convoqua un jour un capitaine Albaroth, il lui donna un navire Tlisith, c’est à dire un navire de guerre, ne transportant pas des marchandises mais des hommes.
A ce navire il y a affecta une compagnie de 1000 hommes dont parmi eux 200 Albaroths pour assurer la sécurité de l'équipage si le besoin en était.
Apres avoir était bien équipé le capitaine Albaroth et son équipage se dirigea à l'est du continent, car les vents en cet période se dirigeaient toujours vers l'est et cela pendant la moitié de l'année.
Il parti un jour elenes de 5eme lune, il navigua ainsi durant 2 mois, le navire contenait de la nourriture pour l'équipage pour une période de 11 mois vu qu'on avait remplace la marchandise des navires marchands par de la nourriture.
Une tempête ce déclare, telle que les hommes en virent, le tonnerre gronda et les éclairs fulgurèrent sur les flots, la mer était en grand courroux, tandis que les vagues sauvages se ruaient contre la coque du navire, la violence de la tempête ébranlait jusqu'aux mats du navire, et il sembla au capitaine que le vent était parcouru de gémissements sauvages et de lamentations.
Le navire tient bon durant 3 jours et puis une nuit, un grand choc ce fit ressentir sur la paroi du vaisseau, en effet il venait de rencontrer quelque chose.... Une plage, de la terre !
Les marins étaient sauvé, mais la tempête demeurait toujours, ils prirent donc l'initiative d'explorer les lieux, ils étaient sur Amtenael mais ils ne le savaient pas, pendant que certain installe un campement pour abriter les hommes d'autres explorèrent plus profondément les lieux.
ils virent d'abord de grand lézards, ils n'étaient pas encore aussi grand que leur descendant d'aujourd'hui mais il arrivait pour les plus petit au niveau des genoux, ils fallaient s'en éloigner car ils pouvaient se montrer dangereux, ils décidèrent donc d'aller plus loin, et là ils virent une énorme falaise brut qui s'offrait à eux.
Elle était rompue en un gouffre étroit, les lézard ne s’en approchaient pas, ils décidèrent donc de monter le campement en ce lieu, ils coupèrent les arbres qui étaient dans les alentours pour leur fournir les matériaux pour fonder de petite hutte de bois, car les marins du navire étaient tous d'excellent charpentier.
Ils s'installèrent donc la pendant que quelques hommes à tour de rôle prenait poste au pied du navire échoué pour éviter toute perte.
La question leur vint, cette île est elle peuplée ?
des éclaireurs furent envoyés dans le but de fouiller montagnes, vallées plaines et forêt à la recherche d'un éventuel peuple, mais leur recherche fut vaine, ils ne trouvèrent aucune culture tel qu'elle soit, rien que quelques bêtes sauvages tel des lynx noirs ou des ours des montagnes.
Une fois assure que aucun peuple ne vivait dans les environs, le jeune capitaine pris les terres en son nom, car étant lui même Albaroth il avait droit de prendre des terres vierges à condition qu'il y fit respecter les lois de son roi et suzerain Arithorne, pour remercier son roi de lui avoir permis de découvrir de nouvelle terre il donna à son domaine le nom de son roi, ainsi débuta le règne du Gouffre d'Arithorne et de son seigneur.
Le petit villages trouva vite amélioreé, les quelques huttes de bois devinrent vite de véritables bâtisses de pierre et de chaume, pour le seigneur on bâtit au centre du village un Aléléguas, un bâtiment forme de plusieurs maison réunit les une au autre et tout cela fortifié par des murailles en pierre et de tours.
La vie commença a ce former, les Albaroth agile en l'art de la chasse apportèrent au tout début du gibier pour nourrir le village en plus des réserves du navire, le gibier fut abondant et le sel permis sa conservation dans le nombreux grenier en bois, ensuite les marins commencèrent à cultiver, car ils remarquèrent que les terres étaient très fertiles, ils adaptèrent les plantes sauvages pour les rendre cultivables, et les trouvèrent succulente de plus la pluie abondante permettait une absence complète d'irrigation qui aurai était coûteuse en force et en temps.
La tempête se termina a la période de la 11 eme lune, car ce fut à ce moment que les vents changèrent de cap, ils ne se dirigeaient plus d'ouest en est mais d'est en ouest, ce qui dissipa la tempête, la majorité de la population désirait rester en ce lieu où la vie était si facile et compagnie de leur nouveau seigneur, mais la majorité préférai rentrer sur leur continent, mais la question ne se posa pas, il fallait donner des nouvelles au roi Arithorne, lui dire que son royaume contenait de nouveau territoire et que ses hommes étaient en vie.
Le seigneur renvoya 150 Albaroths, car en ce lieu de paix leur sécurité n'était plus à assurée, de plus la plupart d'entre eux avaient des seigneurs ou bien avaient eux même leur propre fief, les 50 qui resta était des Albaroth sans terres ni seigneur qui firent allégeance au nouveau seigneur, il renvoya aussi 350 maris qui étaient nécessaire au maniement du navire, avec eux il envoya un message au roi, lui demandant comme seul faveur de lui envoyer 120 tailleurs de pierre au prochain retour du navire sans lui dire la cause.
Une érana de 11eme lune tout les hommes furent demandé pour remettre le navire à flot, celui grâce à un système de corde, de levier et de contrepoids pu être retourné, les hommes désignés montèrent dans le navire à l'aide d'échelle de cordes, des rations constituées de viandes et de légumes sec furent monté à bord, une fois cela terminé, les voiles du navire put être baisser l'entraînant vers le large en direction de l'est, le continent......
9 mois passèrent, le navire revint comme promis, mais cette fois ci l'équipage du bateau put accoster à un port de bois conçu spécialement pour cet évènement mais aussi pour permettre au petit bateau de pêche récemment fabriqué d'y déposer le poisson abondant. Le seigneur fut tout de suite avertis et vint au bord de la mer avant même que l'équipage du bateau pu débarquer, des échelles de cordes, il en descendit de nombreux hommes, qui forma un groupe sur le quai de bois, un se démarque du lot
- Je suis Elsa fils d'Elsi, je suis le capitaine de ce vaisseau, notre roi Arithorne vous fait passer ces sincères félicitations, et vous accorde la suzeraineté de ce lieu, en cadeau il vous accorde ce que vous avez demandé, mais il vous pris de vous hâter de vous rendre son bien avant le départ du prochain navire vers le continent.
Le seigneur vit que de nombreux hommes débarquaient encore du vaisseau, il ne douta pas qu'il s'agissait des tailleurs de pierres, et à la vue de leur blason il s'en réjouis car il était signe qu'il était issue de la maison de Flirios, les meilleurs tailleur de pierre qui soit du royaume, qui selon les légendes auraient su rendre jaloux les nains des montagnes en les battant dans leur art, le seigneur en fut heureux, il ne s'attendait pas à cela.
- Le roi vous fait part aussi de nombreux présents, outils et matériaux nécessaire à la prospérité de votre colonie, ainsi que six forgerons issus de la famille des Irsuth, ils vous seront fidèles jusqu’à leur mort ainsi que leur descendant, ils bâtirons eux-mêmes leur forge en un lieu que vous désignerez.
On fit descendre du navire de nombreux objets, des outils en particulier, poulies, tréteaux, cordes, échafaud.... mais aussi des sacs de graines pour l'agriculture, quelques pieds de vigne, une énorme presse pour tirer vins et liqueurs de différents fruits.... mais bien encore, les femmes de ces hommes ainsi que leur familles descendirent du bateau, ce qui rendit toute la population heureuse mais aussi ce qui assurait la descendance de ce domaine.
Quelque jours plus tard tout fut mis en place, le maître maçon fut convoqué par le seigneur, à la suite de l'entretien celui-ci lui remit les plans qu'il avait longuement travaillé, le plan d'un fort, une fort massif taille dans la pierre protégé d'une haute et large muraille de pierre elle-même défendus par des tours sur le flanc de la montagne.
Le travaille fut dur et laborieux, les maçons et tailleurs de pierre y mirent tout leur savoir, cela fut très long, il fallut arracher d'énormes blocs de pierre de la montagne, et les transporter au lieu du chantier, ensuite les soulever avec l'aide de corde et de poulies, la construction avança lentement mais elle continua. il y eu tout le long du chantier seulement un accident, une corde qui lâche provoqua la mort de quatre personnes écrasées par plusieurs tonnes de pierre.....
Le temps passa et le jour si attendu arriva, le fort fut enfin construit, un magnifique travail, les murailles s'élevaient puissantes et indestructibles barrant toute la largeur du gouffre, et qui voulait passer de l'autre coté ne pouvait échapper à la porte de pierre protégée d'une herse conçue elle-même par les forgerons de la famille des Irsuth....
Le seigneur élut domicile dans les salles du fort, qui élégamment orné de sculptures représentaient les grands faits du royaume, les forgerons reçurent une petite salle dans le fort possédant un système de ventilation et de soufflerie pour forger les meilleurs armes qui soit, mais bien plus tard, l'or et l'argent qui se trouvait au coeur des montagnes. Le règne du gouffre d'Arithorne commença.
Le navire pu repartir à temps au continent avec son équipage, les années et les années passèrent, les générations se succédèrent les unes aux autres, le peuple du gouffre s'accroît et prospéra, sa population était maintenant nombreuse et tous les métiers du continent étaient représentés en ce lieu, voir des navires étaient très fréquents maintenant depuis que le commerce s'était installé, et cela surtout après la découverte d'or et d'argent dans la montagne ce qui rendit le peuple très riche.
Les Albaroth aidaient le nouveau seigneur à diriger ce lieu d'une main de fer ce qui fit qu'il faisait bon vivre en ce lieu, vivre en une parfaite utopie où la guerre n'avait pas lieu d'être et pourtant....
Plusieurs siècles après l'arrivée des premier Albaroths au gouffre quand un navire leur apporta une missive du nouveau Roi Laussiathorne fils d'Esvlathorne, la guerre avait commencé sur le continent, le nénocromantien était réapparut et sous ses ordre légions de bêtes immonde attaqué le peuple d'Orethorne, Tout les hommes du Gouffre d'Arithorne sans aucune distinction était appelé au continent, comme l'ordre en fut donné tout les hommes s'embarquèrent dans les navires, ainsi que leur familles car il était impensable de les laisser derrière eux en proie à la faim et à la mort, le gouffre d'Arithorne se vida donc complètement de son peuple, seul les bannières flottant dans le ciel rappelé sa vie passée.
La suite sur le continent n'est que massacre et horreur que vous offre la guerre avec son cortège de mort et de désolation, cette guerre dura des siècles et des siècles, les villes tombèrent une à une pour finalement laisser place à la bataille Ultime, la bataille de Carn, la où le roi Thorne rassembla toutes les forces de son peuple, là où la ville tomba, là où tout ce qui restait de la splendeur des Orethorniens tomba dans le néant, mais aussi là où survit encore l'ana, ce qui veut dire espoir en Oréthornien, l'espoir d'un vieu fou qui croyait au prophéties, qui plaça son fils dans le dernier des navires et avec lui les derniers Albaroths qui soit, avec l'espoir de le voir réussir là où il a échoué, l'ana.... l'ana de thorne, ou tout simplement comme l'appelle ce qui croit en lui Anathorne ce qui signifie l'espoir de Thorne.
L'Ana survécut, pas assez nombreux pour diriger le navire les Albaroth ils se laissèrent porter par les vents favorables qui les dirigèrent là où il savait trouver la dernière ville construite de mains d'Oréthorniens. la mer fut calme et paisible comme si les dieux voulaient eux aussi croire en ce qui était impossible, les douces vagues venaient caresser la coque du dernier des navires, malgré cela l'Ana fut silencieux durant tout le voyage, ne disant aucun mot laissant même croire en ses fidèles qu'il avait perdu l'usage de la parole, pour lui les temps était dur, il était le dernier de la lignée d'Orethorne et ainsi le dernier des rois et il le savait, pour lui le voyage ne fut que cauchemar, la nuit des visions de batailles sanglantes, de charniers immondes, de villes en feu et de tueries le tourmentait, si cela était à lui aussi son destin il n'en voulait pas......
Un jour d''élénas de 5eme lune ils débarquèrent sur les plages du Gouffre d'Arithorne, l'imposante forteresse se tenait encore ce lieu, mais villages et ports avaient disparu, réduit à l'état de poussière par l'implacable roue du temps, ils s'installèrent dans les grande salles, elles étaient intactes, ils retrouvèrent tous un peu de nostalgie mais aussi ce bien être de retrouver un chez soi, ou quelque chose qui y ressemblait, mais hélas la mort les attendait, car de la nourriture il n'y en avait plus, Anathorne se tenait sur la forteresse, au loin il vit des choses bouger, elles s'approchèrent de la muraille d'enceinte, c'était des hommes, des êtres humains, le coeur des Albaroth se mis a battre a l'unissons, les hommes s'avancèrent craintivement, ils n'avaient au temps de noblesse depuis fort longtemps, un d'entre eux regarda Anathorne qui se tenait en haut de la muraille entouré de quelque Albaroth, il lui parla, s'était du bas parlé mais Anathorne comprenait.
- Mon seigneur, nous ne vous connaissons point, mais nous savons qu'un jour vous viendriez, je suis Esios, humble homme d'Albion et chef de mon humble famille, le gouffre n'a plus revu son seigneur voilà bien de temps, et nous souhaiterons vous servir, reprenez ce qui vous appartient et acceptez nous en temps que humble serviteur.
- Anathorne sourit, cela fit bien longtemps qu'il ne l'avait fait, Je vais faire mieux que cela, vous ne me servirai point en temps que serviteur, mais vous m'aiderez en temps que frère.
- Grand merci mon seigneur.
La mort ne l'attendrait donc pas, pas cette fois ci en tout cas, l'espoir demeure.....
Beaucoup ont tendance à croire à défaut que les premiers Albaroths sur Amtenael sont des rescapés de la guerre de Carn, ce qui n'est pas tout à fait vrai comme je vais vous le raconter.
A une époque assez reculée, quand le peuple d'Orethorne était à l'apogée de son existence, celui ci était dirigé par le roi Arithorne, dit aussi le roi navigateur, car sous son règne la marine Orethorniene était telle qu'il n'en existe plus aujourd'hui.
En effet les ports du continent grouillés de navires en tout genre, le plus souvent commerciale venant et allant de terres reculées pour y amener marchandise précieuse, en particulier les épices qui était a l'époque une denrée très rare.
Se promener sur un de ces ports revenait à voir ceci, une foule de négociants jugeant le prix de la marchandise et la qualité du produit au capitaine des vaisseaux , des dockers transportant tout cela dans d'immense chariot, soit tiré par des chevaux ou par des hommes se poussant les uns aux autres et hurlant si quelqu’un avait le malheur de toucher le précieux convois. La poussière, la foule, le bruit intense, voila de quoi faire tourner la tête à n'importe qu'elle homme, mais pourtant cela était monnaie courante dans les ports Orethorniens.
Des vaisseaux gigantesques étaient affrétés, pouvant contenir 1500 hommes et cela pendant une période de 6 mois voir plus si il le fallait, le vent gonflait leur voile de toile brune conçu spécialement dans les villes du sud pour leur donner une grande légereté et résistance.
Des vaisseaux de bois spécialement coupés dans les forêts des montagnes blanches, là ou ont trouvait les arbres les plus résistants permettant de résister à n'importe quelle tempête sans ce fendre.
Les Orethornien avaient développé un art de construction de navire que même les charpentiers Elfes ne peuvent égaler.
Ces navires étaient tout simplement magnifique, magnifique par leur élégance, comme si ils furent tout simplement taillé dans un bloc de bois brut, magnifique par leur puissance leur préture, une navire comme le peuple d'Orethorne demandé un travaille intense d'une génération d'homme moindre, mais à la fin qu'elle spectacle, ils bâtirent des navires comme les hommes bâtirent des cathédrales..
L'exploration des mers ne cessait de s'étendre, mais cela n'était toujours pas assez pour Arithorne, il voulait savoir ce qui se trouvait derrière le grand océan bleu, il convoqua un jour un capitaine Albaroth, il lui donna un navire Tlisith, c’est à dire un navire de guerre, ne transportant pas des marchandises mais des hommes.
A ce navire il y a affecta une compagnie de 1000 hommes dont parmi eux 200 Albaroths pour assurer la sécurité de l'équipage si le besoin en était.
Apres avoir était bien équipé le capitaine Albaroth et son équipage se dirigea à l'est du continent, car les vents en cet période se dirigeaient toujours vers l'est et cela pendant la moitié de l'année.
Il parti un jour elenes de 5eme lune, il navigua ainsi durant 2 mois, le navire contenait de la nourriture pour l'équipage pour une période de 11 mois vu qu'on avait remplace la marchandise des navires marchands par de la nourriture.
Une tempête ce déclare, telle que les hommes en virent, le tonnerre gronda et les éclairs fulgurèrent sur les flots, la mer était en grand courroux, tandis que les vagues sauvages se ruaient contre la coque du navire, la violence de la tempête ébranlait jusqu'aux mats du navire, et il sembla au capitaine que le vent était parcouru de gémissements sauvages et de lamentations.
Le navire tient bon durant 3 jours et puis une nuit, un grand choc ce fit ressentir sur la paroi du vaisseau, en effet il venait de rencontrer quelque chose.... Une plage, de la terre !
Les marins étaient sauvé, mais la tempête demeurait toujours, ils prirent donc l'initiative d'explorer les lieux, ils étaient sur Amtenael mais ils ne le savaient pas, pendant que certain installe un campement pour abriter les hommes d'autres explorèrent plus profondément les lieux.
ils virent d'abord de grand lézards, ils n'étaient pas encore aussi grand que leur descendant d'aujourd'hui mais il arrivait pour les plus petit au niveau des genoux, ils fallaient s'en éloigner car ils pouvaient se montrer dangereux, ils décidèrent donc d'aller plus loin, et là ils virent une énorme falaise brut qui s'offrait à eux.
Elle était rompue en un gouffre étroit, les lézard ne s’en approchaient pas, ils décidèrent donc de monter le campement en ce lieu, ils coupèrent les arbres qui étaient dans les alentours pour leur fournir les matériaux pour fonder de petite hutte de bois, car les marins du navire étaient tous d'excellent charpentier.
Ils s'installèrent donc la pendant que quelques hommes à tour de rôle prenait poste au pied du navire échoué pour éviter toute perte.
La question leur vint, cette île est elle peuplée ?
des éclaireurs furent envoyés dans le but de fouiller montagnes, vallées plaines et forêt à la recherche d'un éventuel peuple, mais leur recherche fut vaine, ils ne trouvèrent aucune culture tel qu'elle soit, rien que quelques bêtes sauvages tel des lynx noirs ou des ours des montagnes.
Une fois assure que aucun peuple ne vivait dans les environs, le jeune capitaine pris les terres en son nom, car étant lui même Albaroth il avait droit de prendre des terres vierges à condition qu'il y fit respecter les lois de son roi et suzerain Arithorne, pour remercier son roi de lui avoir permis de découvrir de nouvelle terre il donna à son domaine le nom de son roi, ainsi débuta le règne du Gouffre d'Arithorne et de son seigneur.
Le petit villages trouva vite amélioreé, les quelques huttes de bois devinrent vite de véritables bâtisses de pierre et de chaume, pour le seigneur on bâtit au centre du village un Aléléguas, un bâtiment forme de plusieurs maison réunit les une au autre et tout cela fortifié par des murailles en pierre et de tours.
La vie commença a ce former, les Albaroth agile en l'art de la chasse apportèrent au tout début du gibier pour nourrir le village en plus des réserves du navire, le gibier fut abondant et le sel permis sa conservation dans le nombreux grenier en bois, ensuite les marins commencèrent à cultiver, car ils remarquèrent que les terres étaient très fertiles, ils adaptèrent les plantes sauvages pour les rendre cultivables, et les trouvèrent succulente de plus la pluie abondante permettait une absence complète d'irrigation qui aurai était coûteuse en force et en temps.
La tempête se termina a la période de la 11 eme lune, car ce fut à ce moment que les vents changèrent de cap, ils ne se dirigeaient plus d'ouest en est mais d'est en ouest, ce qui dissipa la tempête, la majorité de la population désirait rester en ce lieu où la vie était si facile et compagnie de leur nouveau seigneur, mais la majorité préférai rentrer sur leur continent, mais la question ne se posa pas, il fallait donner des nouvelles au roi Arithorne, lui dire que son royaume contenait de nouveau territoire et que ses hommes étaient en vie.
Le seigneur renvoya 150 Albaroths, car en ce lieu de paix leur sécurité n'était plus à assurée, de plus la plupart d'entre eux avaient des seigneurs ou bien avaient eux même leur propre fief, les 50 qui resta était des Albaroth sans terres ni seigneur qui firent allégeance au nouveau seigneur, il renvoya aussi 350 maris qui étaient nécessaire au maniement du navire, avec eux il envoya un message au roi, lui demandant comme seul faveur de lui envoyer 120 tailleurs de pierre au prochain retour du navire sans lui dire la cause.
Une érana de 11eme lune tout les hommes furent demandé pour remettre le navire à flot, celui grâce à un système de corde, de levier et de contrepoids pu être retourné, les hommes désignés montèrent dans le navire à l'aide d'échelle de cordes, des rations constituées de viandes et de légumes sec furent monté à bord, une fois cela terminé, les voiles du navire put être baisser l'entraînant vers le large en direction de l'est, le continent......
9 mois passèrent, le navire revint comme promis, mais cette fois ci l'équipage du bateau put accoster à un port de bois conçu spécialement pour cet évènement mais aussi pour permettre au petit bateau de pêche récemment fabriqué d'y déposer le poisson abondant. Le seigneur fut tout de suite avertis et vint au bord de la mer avant même que l'équipage du bateau pu débarquer, des échelles de cordes, il en descendit de nombreux hommes, qui forma un groupe sur le quai de bois, un se démarque du lot
- Je suis Elsa fils d'Elsi, je suis le capitaine de ce vaisseau, notre roi Arithorne vous fait passer ces sincères félicitations, et vous accorde la suzeraineté de ce lieu, en cadeau il vous accorde ce que vous avez demandé, mais il vous pris de vous hâter de vous rendre son bien avant le départ du prochain navire vers le continent.
Le seigneur vit que de nombreux hommes débarquaient encore du vaisseau, il ne douta pas qu'il s'agissait des tailleurs de pierres, et à la vue de leur blason il s'en réjouis car il était signe qu'il était issue de la maison de Flirios, les meilleurs tailleur de pierre qui soit du royaume, qui selon les légendes auraient su rendre jaloux les nains des montagnes en les battant dans leur art, le seigneur en fut heureux, il ne s'attendait pas à cela.
- Le roi vous fait part aussi de nombreux présents, outils et matériaux nécessaire à la prospérité de votre colonie, ainsi que six forgerons issus de la famille des Irsuth, ils vous seront fidèles jusqu’à leur mort ainsi que leur descendant, ils bâtirons eux-mêmes leur forge en un lieu que vous désignerez.
On fit descendre du navire de nombreux objets, des outils en particulier, poulies, tréteaux, cordes, échafaud.... mais aussi des sacs de graines pour l'agriculture, quelques pieds de vigne, une énorme presse pour tirer vins et liqueurs de différents fruits.... mais bien encore, les femmes de ces hommes ainsi que leur familles descendirent du bateau, ce qui rendit toute la population heureuse mais aussi ce qui assurait la descendance de ce domaine.
Quelque jours plus tard tout fut mis en place, le maître maçon fut convoqué par le seigneur, à la suite de l'entretien celui-ci lui remit les plans qu'il avait longuement travaillé, le plan d'un fort, une fort massif taille dans la pierre protégé d'une haute et large muraille de pierre elle-même défendus par des tours sur le flanc de la montagne.
Le travaille fut dur et laborieux, les maçons et tailleurs de pierre y mirent tout leur savoir, cela fut très long, il fallut arracher d'énormes blocs de pierre de la montagne, et les transporter au lieu du chantier, ensuite les soulever avec l'aide de corde et de poulies, la construction avança lentement mais elle continua. il y eu tout le long du chantier seulement un accident, une corde qui lâche provoqua la mort de quatre personnes écrasées par plusieurs tonnes de pierre.....
Le temps passa et le jour si attendu arriva, le fort fut enfin construit, un magnifique travail, les murailles s'élevaient puissantes et indestructibles barrant toute la largeur du gouffre, et qui voulait passer de l'autre coté ne pouvait échapper à la porte de pierre protégée d'une herse conçue elle-même par les forgerons de la famille des Irsuth....
Le seigneur élut domicile dans les salles du fort, qui élégamment orné de sculptures représentaient les grands faits du royaume, les forgerons reçurent une petite salle dans le fort possédant un système de ventilation et de soufflerie pour forger les meilleurs armes qui soit, mais bien plus tard, l'or et l'argent qui se trouvait au coeur des montagnes. Le règne du gouffre d'Arithorne commença.
Le navire pu repartir à temps au continent avec son équipage, les années et les années passèrent, les générations se succédèrent les unes aux autres, le peuple du gouffre s'accroît et prospéra, sa population était maintenant nombreuse et tous les métiers du continent étaient représentés en ce lieu, voir des navires étaient très fréquents maintenant depuis que le commerce s'était installé, et cela surtout après la découverte d'or et d'argent dans la montagne ce qui rendit le peuple très riche.
Les Albaroth aidaient le nouveau seigneur à diriger ce lieu d'une main de fer ce qui fit qu'il faisait bon vivre en ce lieu, vivre en une parfaite utopie où la guerre n'avait pas lieu d'être et pourtant....
Plusieurs siècles après l'arrivée des premier Albaroths au gouffre quand un navire leur apporta une missive du nouveau Roi Laussiathorne fils d'Esvlathorne, la guerre avait commencé sur le continent, le nénocromantien était réapparut et sous ses ordre légions de bêtes immonde attaqué le peuple d'Orethorne, Tout les hommes du Gouffre d'Arithorne sans aucune distinction était appelé au continent, comme l'ordre en fut donné tout les hommes s'embarquèrent dans les navires, ainsi que leur familles car il était impensable de les laisser derrière eux en proie à la faim et à la mort, le gouffre d'Arithorne se vida donc complètement de son peuple, seul les bannières flottant dans le ciel rappelé sa vie passée.
La suite sur le continent n'est que massacre et horreur que vous offre la guerre avec son cortège de mort et de désolation, cette guerre dura des siècles et des siècles, les villes tombèrent une à une pour finalement laisser place à la bataille Ultime, la bataille de Carn, la où le roi Thorne rassembla toutes les forces de son peuple, là où la ville tomba, là où tout ce qui restait de la splendeur des Orethorniens tomba dans le néant, mais aussi là où survit encore l'ana, ce qui veut dire espoir en Oréthornien, l'espoir d'un vieu fou qui croyait au prophéties, qui plaça son fils dans le dernier des navires et avec lui les derniers Albaroths qui soit, avec l'espoir de le voir réussir là où il a échoué, l'ana.... l'ana de thorne, ou tout simplement comme l'appelle ce qui croit en lui Anathorne ce qui signifie l'espoir de Thorne.
L'Ana survécut, pas assez nombreux pour diriger le navire les Albaroth ils se laissèrent porter par les vents favorables qui les dirigèrent là où il savait trouver la dernière ville construite de mains d'Oréthorniens. la mer fut calme et paisible comme si les dieux voulaient eux aussi croire en ce qui était impossible, les douces vagues venaient caresser la coque du dernier des navires, malgré cela l'Ana fut silencieux durant tout le voyage, ne disant aucun mot laissant même croire en ses fidèles qu'il avait perdu l'usage de la parole, pour lui les temps était dur, il était le dernier de la lignée d'Orethorne et ainsi le dernier des rois et il le savait, pour lui le voyage ne fut que cauchemar, la nuit des visions de batailles sanglantes, de charniers immondes, de villes en feu et de tueries le tourmentait, si cela était à lui aussi son destin il n'en voulait pas......
Un jour d''élénas de 5eme lune ils débarquèrent sur les plages du Gouffre d'Arithorne, l'imposante forteresse se tenait encore ce lieu, mais villages et ports avaient disparu, réduit à l'état de poussière par l'implacable roue du temps, ils s'installèrent dans les grande salles, elles étaient intactes, ils retrouvèrent tous un peu de nostalgie mais aussi ce bien être de retrouver un chez soi, ou quelque chose qui y ressemblait, mais hélas la mort les attendait, car de la nourriture il n'y en avait plus, Anathorne se tenait sur la forteresse, au loin il vit des choses bouger, elles s'approchèrent de la muraille d'enceinte, c'était des hommes, des êtres humains, le coeur des Albaroth se mis a battre a l'unissons, les hommes s'avancèrent craintivement, ils n'avaient au temps de noblesse depuis fort longtemps, un d'entre eux regarda Anathorne qui se tenait en haut de la muraille entouré de quelque Albaroth, il lui parla, s'était du bas parlé mais Anathorne comprenait.
- Mon seigneur, nous ne vous connaissons point, mais nous savons qu'un jour vous viendriez, je suis Esios, humble homme d'Albion et chef de mon humble famille, le gouffre n'a plus revu son seigneur voilà bien de temps, et nous souhaiterons vous servir, reprenez ce qui vous appartient et acceptez nous en temps que humble serviteur.
- Anathorne sourit, cela fit bien longtemps qu'il ne l'avait fait, Je vais faire mieux que cela, vous ne me servirai point en temps que serviteur, mais vous m'aiderez en temps que frère.
- Grand merci mon seigneur.
La mort ne l'attendrait donc pas, pas cette fois ci en tout cas, l'espoir demeure.....