
Poéme
Je suis tombée amoureuse
Et j'en suis vraiment très heureuse
Pense à mon histoire
Tu dois y croire
Tu l'as beaucoup aimé
Elle va se réaliser
Me serrer dans tes bras
Tu le feras
Nous passerons de merveilleuses nuits
C'est moi qui te le dit
Tu ne me perdras pas
Je serai toujours là
Je ferais ton bonheur
Dans ton coeur
Fais moi confiance
Il faut juste un peu de patience
Et nous serons heureux
Tous les deux
Me réveiller
A tes côtés
J'en ai vraiment très envie
Ce sera notre vie
C'est notre destin
Sois en certain
Tu réaliseras mon rêve ..... nous serons unis pour la vie
Et j'en suis vraiment très heureuse
Pense à mon histoire
Tu dois y croire
Tu l'as beaucoup aimé
Elle va se réaliser
Me serrer dans tes bras
Tu le feras
Nous passerons de merveilleuses nuits
C'est moi qui te le dit
Tu ne me perdras pas
Je serai toujours là
Je ferais ton bonheur
Dans ton coeur
Fais moi confiance
Il faut juste un peu de patience
Et nous serons heureux
Tous les deux
Me réveiller
A tes côtés
J'en ai vraiment très envie
Ce sera notre vie
C'est notre destin
Sois en certain
Tu réaliseras mon rêve ..... nous serons unis pour la vie


Neman
Ok c'est vrai il faut se réveiller ici. Saphalia va reprendre les rennes et elle vas continuer a écrire ses merveilleux poèmes. Encore bravo Saphalia tu assure à chaque nouveau poème. Tu es la plus doué pour ça mon amour. Je t'aime mon bébé et je te comblerai.
Ps : Kassar oui je te préviendrai mon petit Kassar
Ps : Kassar oui je te préviendrai mon petit Kassar

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Pour le dernier, c'est plus une versificatio nqu'autre chose ...
Moi j'uarais çaà montrer ...
Moi j'uarais çaà montrer ...
L'ange déchu et la damnée repentie
Un ange qui rit
une damnée qui pleurt
L'un emblème de la vie
L'autre de ce qui se meurt
Cet ange qui rit, del a seconde s'éprend
Cette damnée qui pleurt, le premier envie
Cet ange qui rit, aux tènèbres se rend
Cette damnée qui pleurt, va à la vie
L'ange plein de bonté
Au contact du mal, de vilennie s'emplit
Tandis que la damnée de cris bercée
Au contact de la bonté, sa cruauté perdit
L'un à la mort se rend
L'autre de la vie s'éprend
Jeune repentie ou ange perdu
Qui va à la vie, qui en est déchu ?
Peuple ! Si à l'un son passé tu ne pardonnes
A l'autre, feu sa bontée tu ne peux oublier
Et de l'ange déchu ou de la repentie
Qui crois tu qui aime la mort, qui aime la vie ?
Malgrès cela, qui est honni
Du peuple mais pas des erudits
Celle qui des enfers, aux berges échu
Ou celui qui des cieux fut déchu ?
Ou y est la justice
En le fait qu'en la repentie
Tu n'y vois que le vice
Quand elle, autant que toi, vit.
Bonheur, malheur
Bonheur, malheur, viles soeurs
Qui telle la nuit et le jour
Marquent le coeur de sensibles réveurs
De leurs espoirs d'amour
Ou est le bonheur
Cette notion si abstraite
Qui de part l'émoi de notre coeur
Nous touche d'une traite
Existe il, ce sentiment si parfait
Cette fille de l'amour, de l'amitié
qui, dans le coeur du réveur
Fait naitre l'espoir et la peur
La crainte que tout change
Que votre bonheur vous échappe
Qui, après vous avoir subjugué
S'envole tel un éphémère ange
Bonheur, malheur, amies de toujours
Opposés unis aux facettes multiples
Telles la nuit et le jour
Marquant le coeur des familles meutries
Le malheur ce vilain
Qu'on rejette sans savoir pourquoi
Cette notion si concrete, ce coquin
Qui succedant au bonheur laisse coi d'effroi
Existe il vraiment ce malheur
Ou est il une façade pour cacher ses erreurs
Sa vie son etre, est ce la faute du malin ?
Mais c'est entre tes mains qu'est ton destin
Se croire affligé du malheur
Pour ne pavoir qu'on a des amis
N'est ce pas de la lacheté
Que de se cacher sa vie
Aussi au bonheur éphémère
Ne faut il point s'attacher
Sous peine que le malheur, ce traitre
Vienne dans son gouffre vous faire tomber.
Indifférence
Cet homme, que me veut il
Je le salut, indifférente
Et j'espère, il partira
Découragé par le froid qui me hante
D'Indifférence est cette glace
Peu m'importe son sort
Car il y en a que trop de cette classe
Dans la cité, qui essaye de m'arracher à la mort
La blessure est trop profonde
Je ne sens pas la vie qui m'appelle
Et son silence, cet homme
Mon masque d'indifférence tombe
Aussi me voila découverte
Il me faut fuir cet etre
Qui peut enfin toute entière me voir
Et m'oppose ainsi un miroir
Et dans mon historie fouille
Pour mon sort me faire accepter
Et d'un vil orgueil me dépouille
Pour qu'enfin vivre sans mon passé
Pour qu'enfin expier mon indifférence
Et du bonheur de la vie, enfin profiter.
L'amour ça court
L'amour ça mort
ça change si vite de décor
ça abîme parfoit sa peinture
A l'encre noire des déchirures
ça plante des épines dans le corps
Mais ça se refflete aussi dans l'eau qui dort
L'amour est un unique abreuvoir
Lui seul peut sauver
Des yeux qui ont peur dans le noir
Des coeurs restés au fond d'un tirroir
L'amour c'est un peu noir ou blanc
Un côté chaud un côté froid
C'est bancal ou bien ça tient droit
ça vole ça fume dans le coeur
ça se pose devant soit ou ailleurs
Il faut parfoit juste ouvrir les yeux
S'envelopper pour être mieux
Et comme les papillons
S'envolent vers d'autres saisons
S'envoler à deux vers la passion ...
L'amour ça mort
ça change si vite de décor
ça abîme parfoit sa peinture
A l'encre noire des déchirures
ça plante des épines dans le corps
Mais ça se refflete aussi dans l'eau qui dort
L'amour est un unique abreuvoir
Lui seul peut sauver
Des yeux qui ont peur dans le noir
Des coeurs restés au fond d'un tirroir
L'amour c'est un peu noir ou blanc
Un côté chaud un côté froid
C'est bancal ou bien ça tient droit
ça vole ça fume dans le coeur
ça se pose devant soit ou ailleurs
Il faut parfoit juste ouvrir les yeux
S'envelopper pour être mieux
Et comme les papillons
S'envolent vers d'autres saisons
S'envoler à deux vers la passion ...
