Voilà enfin un petit coin de plage calme .... Pour parler de tout SAUF de DAOC !
Poéme
. C'est que sortir d'une opération, sa fatigue, tes poèmes sont toujours aussi beau et agréable a lire 
A l'encre de mes larmes
Je voudrais écrire ce qui me fait mal
A defaut d'avoir des armes
Je me confie aux étoiles
A m'arracher le coeur
Pour faire couler le poison
A faire saigner mes peurs
Pour toucher la passion
Je veux m'envoler
Parce que je suis touchée
En plein coeur
Comme une flèche qui vient
Se planter dans dans ma chair
Je m'enfonce en pleine terre
Le monde me dévore
Venez pas me sauver
Laisser moi sombrer
L'espoir m'abandonne
La vie m'empoisonne
A hurler plus fort que la mort
Comme si mon heure avait sonné
A force de vivre en dehors
La réalité finit par nous rattraper
A crever les rayons du soleil
Pour un peu de chaleur
Pour ne plus avoir peur
Je veux m'envoler
Parce que je suis touchée
En plein coeur
Comme une flèche qui vient
Se planter dans dans ma chair
Je m'enfonce en pleine terre
Le monde me dévore
Venez pas me sauver
Laisser moi sombrer
L'espoir m'abandonne
La vie m'empoisonne
Je voudrais écrire ce qui me fait mal
A defaut d'avoir des armes
Je me confie aux étoiles
A m'arracher le coeur
Pour faire couler le poison
A faire saigner mes peurs
Pour toucher la passion
Je veux m'envoler
Parce que je suis touchée
En plein coeur
Comme une flèche qui vient
Se planter dans dans ma chair
Je m'enfonce en pleine terre
Le monde me dévore
Venez pas me sauver
Laisser moi sombrer
L'espoir m'abandonne
La vie m'empoisonne
A hurler plus fort que la mort
Comme si mon heure avait sonné
A force de vivre en dehors
La réalité finit par nous rattraper
A crever les rayons du soleil
Pour un peu de chaleur
Pour ne plus avoir peur
Je veux m'envoler
Parce que je suis touchée
En plein coeur
Comme une flèche qui vient
Se planter dans dans ma chair
Je m'enfonce en pleine terre
Le monde me dévore
Venez pas me sauver
Laisser moi sombrer
L'espoir m'abandonne
La vie m'empoisonne
J'ai écrit tous mes doutes et mes peines
La sève de ma vie et le sang de mes veines
J'ai rêvé de puissance, de terres d'asiles
De sensations fortes et parfois fragiles
J'ai puisé à la source de mon âme
Toutes mes joies, toutes mes larmes
J'ai souvent touché les plus hauts sommets
Maquiller le rêve pour un peu de réalité
J'ai souvent cru aux histoires vêtues de bleus
Aux payettes qu'ont peux avoir dans les yeux
J'ai toujours eu ce côté sensible et enfant
Qui rit beaucoup mais qui tremble souvent
J'ai vu des océans où des vagues s'échouaient
Leurs écumes se crevaient aux pointes des rochers
J'ai vu des étoiles s'éteindre et partir en lambeaux
Des hommes et des femmes se battrent pour un drapeau
J'ai vu des visages transis par la peur
Des mains se tenir par le bout de coeur
J'ai vu du sang couler de la terre
Des cendres jaillir de la mer
J'ai vu des bateaux faire naufrage
Des oiseaux prisonnier dans leurs cages
J'ai vu des coulées de boues ravager
Engloutir des villages tout entier
J'ai compris que ce qu'on pouvait construire
Un soir ou un matin pouvais se détruire
J' ai compris qu'ill fallait force et volonté
Pour rennaître et continuer d'exister
J'ai compris que la vie avait un prix
Qu'il fallait se battre pour rester en vie
J'ai compris que pour apprendre à vivre
Il fallait d'abord apprendre à survivre...
La sève de ma vie et le sang de mes veines
J'ai rêvé de puissance, de terres d'asiles
De sensations fortes et parfois fragiles
J'ai puisé à la source de mon âme
Toutes mes joies, toutes mes larmes
J'ai souvent touché les plus hauts sommets
Maquiller le rêve pour un peu de réalité
J'ai souvent cru aux histoires vêtues de bleus
Aux payettes qu'ont peux avoir dans les yeux
J'ai toujours eu ce côté sensible et enfant
Qui rit beaucoup mais qui tremble souvent
J'ai vu des océans où des vagues s'échouaient
Leurs écumes se crevaient aux pointes des rochers
J'ai vu des étoiles s'éteindre et partir en lambeaux
Des hommes et des femmes se battrent pour un drapeau
J'ai vu des visages transis par la peur
Des mains se tenir par le bout de coeur
J'ai vu du sang couler de la terre
Des cendres jaillir de la mer
J'ai vu des bateaux faire naufrage
Des oiseaux prisonnier dans leurs cages
J'ai vu des coulées de boues ravager
Engloutir des villages tout entier
J'ai compris que ce qu'on pouvait construire
Un soir ou un matin pouvais se détruire
J' ai compris qu'ill fallait force et volonté
Pour rennaître et continuer d'exister
J'ai compris que la vie avait un prix
Qu'il fallait se battre pour rester en vie
J'ai compris que pour apprendre à vivre
Il fallait d'abord apprendre à survivre...
Tristesse ...
tu me rend malheureuse
Je veux simplement te rendre heureux
Je crois à notre histoire
Mais il n'y a pas d'amour sans y croire
Chaque jour passsé me rapproche de toi
Mais ce que je vois
C'est que tu me rejettes ....
Ne pas être ensemble sont tes mots
Avec tout l'amour que je te porte
Tu as bléssé mon coeur
Je ne peux cesser de pleurer
Et je dois t'avouer
Ne plus te comprendre
Tout ceci pour te dire ce que je ressens, te dire que je t'aime malgré toutes ces peines tu restes l'homme de ma vie, celui dont je désire et avec lequelle je veux vivre
Je t'aime, ton bébé ...
Je veux simplement te rendre heureux
Je crois à notre histoire
Mais il n'y a pas d'amour sans y croire
Chaque jour passsé me rapproche de toi
Mais ce que je vois
C'est que tu me rejettes ....
Ne pas être ensemble sont tes mots
Avec tout l'amour que je te porte
Tu as bléssé mon coeur
Je ne peux cesser de pleurer
Et je dois t'avouer
Ne plus te comprendre
Tout ceci pour te dire ce que je ressens, te dire que je t'aime malgré toutes ces peines tu restes l'homme de ma vie, celui dont je désire et avec lequelle je veux vivre
Je t'aime, ton bébé ...
Sans toi,
Je suis comme une bougie qui sue ses lames de cire
Comme une lettre que l'on déchire sans même l'avoir lue
Sans toi,
Je suis comme une fleur hors saison
Recouverte de son manteau blanc
Comme une terre sans horizon
Privée de la beauté d'un océan
Une nuit à l'abri de ton corps
J'aimerai reposer le mien
Juste quelques heures sentir la chaleur de tes mains
Et près de toi m'évanouir juste quelques heures
Pour oublier tout autour de moi
Me dire que tout ça n'est pas un leurre
Que je peux exiter au moins une fois
Sans toi,
Je suis comme un soleil prisonnier
Sans sa chaleur et son éclat
Comme une chanson oubliée
Dont tout le monde devient las
Sans toi,
Je suis comme un oiseau mort
Parce que trop fragile
Comme une moitié de corps
Qui ne tient qu' à un fil
Une nuit à l'abri de ton corps
J'aimerai reposer le mien
Juste quelques heures sentir la chaleur de tes mains
Je suis comme une bougie qui sue ses lames de cire
Comme une lettre que l'on déchire sans même l'avoir lue
Sans toi,
Je suis comme une fleur hors saison
Recouverte de son manteau blanc
Comme une terre sans horizon
Privée de la beauté d'un océan
Une nuit à l'abri de ton corps
J'aimerai reposer le mien
Juste quelques heures sentir la chaleur de tes mains
Et près de toi m'évanouir juste quelques heures
Pour oublier tout autour de moi
Me dire que tout ça n'est pas un leurre
Que je peux exiter au moins une fois
Sans toi,
Je suis comme un soleil prisonnier
Sans sa chaleur et son éclat
Comme une chanson oubliée
Dont tout le monde devient las
Sans toi,
Je suis comme un oiseau mort
Parce que trop fragile
Comme une moitié de corps
Qui ne tient qu' à un fil
Une nuit à l'abri de ton corps
J'aimerai reposer le mien
Juste quelques heures sentir la chaleur de tes mains
Je t'ai aimé
On s'est aimé
Je suis parti...
Tu ne m'as pas suivi
Aujourd'hui je t'aime
Mais tu n'est pas là
Demain nous parlerons
Nous nous aimerons
On est loin maintenant
Mais notre amour est tout proche
Serai ce ma faute ?
Tout est pourtant évident
Il me suffit de...
Prendre le premier train pour venir te bercer
Malheuresement je ne peux pas
Mais pourtant je devrais
L'amour virtuel est auditif sont une chose
Mais le toucher est le véritable amour
Ce n'est pas à toi à venir me voir
C'est à moi
On s'est aimé
Je suis parti...
Tu ne m'as pas suivi
Aujourd'hui je t'aime
Mais tu n'est pas là
Demain nous parlerons
Nous nous aimerons
On est loin maintenant
Mais notre amour est tout proche
Serai ce ma faute ?
Tout est pourtant évident
Il me suffit de...
Prendre le premier train pour venir te bercer
Malheuresement je ne peux pas
Mais pourtant je devrais
L'amour virtuel est auditif sont une chose
Mais le toucher est le véritable amour
Ce n'est pas à toi à venir me voir
C'est à moi
Kassar moine hérétique 50
Fola caba gardienne de la légende 50
