Forum Amtenaël

Sur un arbre...

C'est une lumière vive qui brûle le spectre hideux,
C'est la dernière digue contre le cours du temps,
C'est un joyau de neige, resplendissant de feu,
C'est le chant pur du monde, strié de vif-argent.

C'est une partition de cristal achevé,
C'est le miroir changeant de l'aurore éternelle,
C'est l'assemblage parfait de toutes les vérités,
C'est l'immense perchoir des belles hirondelles.

Printemps, été, automne, hiver, quatre saisons,
Mêlées. Union des contraires, contrairement
Unies. Passé, présent, futur, nette vision,
D'infini, encore et toujours en mouvement.

Un millier de branches, éclatantes et dressées,
Nouées, entrelacées, formant le nœud de l'être,
Abritant dans son tronc une infinie rareté :
Cantique du monde vivant, caché au cœur de l'hêtre.

Et pour répondre à Mélodie, ce sont bien mes poèmes. ^^

Vi tres mignon

La quantité ne fais pas la qualité.

Bravo Elfae! Vraiment bluffant!

Je tenais tous à vous féliciter pour ces très jolis poèmes, tous dans des syles différents... GG

Tre mimi celui de Elfae .

Le tien Ekane est bien aussi .

J'aimerais de nouveau sourire
Essayé de continuer à vivre

Se retrouver loin de ceux qu'ont aime
Remplit mon coeur d'une immense peine

J'aimerais tellement être dans tes bras
Malheureusement ce moment n'est pas encore là

Des larmes coulent sur mon visage
Je m'enferme peu à peu dans une cage

On se parle de moins en moins
Cela me cause tant de chagrin

Mon amour pour toi grandit
Mais je l'emporterais sûrement au paradis

Je t'aime comme je n ai jamais aimé
Tu es mon adorable petit bébé...

Sa fait un moment que je veux poster mais j'ose pas voilas un pti mot


Perdue dans les abîmes de mon esprit en fragments
Criant,Hurlant,Espérant
Un signe,un regard,un enchantement.
Démon de mon coeur,tes mots sont puissants,
Toi,maître de mes tourments,
Je ne souhaite pas de toi un amour evanescent,
Seulement de l'affection et de la reconnaissance,
Pour un être qui jour après jour souffre en t'aimant

[Les cavaliers]
D'en haut ils sont venus.
D'armure tous vétus.
Cavaliers ils se disaient.
Car à cheval on les trouvait.
L'un derrière l'autres avançant.
Quelque soit le temps.
Toujours au galop.
Toujours fièrs et beaux.
Mais avant la charge que l'on sonnait.
Tous en ligne ils se dressaient.
Le chef levant les armes.
L'unité criant.
Du plus profond de leur âme.
Chair et sang.
Puis sur le chemin du retour.
Dans un silence de sourd.
Tous sanglotaient.
Car maudits ils étaient.
A charger ce village.
Et à voir ces visages.
Ceux de leurs enfants.
Qu'ils massacraient inconciemment.

[Un survivant du village]

Préservant l'élue de tes espoirs passés...pour qui tu m'a sacrifié
Préservant de la vie de ton double que jamais ses ailes ne soit froissées
Tu tes servi de moi pour y'arriver...pour continuer à avancer
Avancer vers demain..pour elles..pour y veiller
Mais dans tes pensées ne ma tu pas trop vite entérré..?
Lorsque tes larmescoulent encore et que tu voudrais crier..
Ne crois tu pas que tu ne peux lutter..que sous mes coup ton armure devra ceder..
Cela te hante..car tout cela tu le sais..
La vie te la appris....et dans ta chair l'a gravé
Mias tu ne peux plus reculer...ni te detourner
Tu dois l'affronter,faire face sans pleurer...meme assailli de tout cotés..
Tu ne sais pas pourquoi tu dois le sentir encore saigner..
Mais tu crois en ton étoile..en toi...en moicela et ta fierté
Tu crois en demain et tu te bat pour ne plus en douter..
Meme si maintenant tu le sais..moi ton coeur..je suis décédé à jamais....
Dream's

Voila une de mes p'tites créations, c'est pas très ''poétique'', c'est surtout pour faire réfléchir

Le temps presse!

Le temps presse! L’humanité périt
L’espoir de s’en sortir rétrécie!
Nous devons agir rapidement
Car l’avenir en dépend!

Le temps presse! Les minutes s’écoulant
Engloutissent les moments
L’immensité de l’espace se nourrit
Des terres les plus arides!

Le temps presse! L’origine se déracine
Le ciel tombe en ruine
L’infini se nourrit du néant
Créé par cet incessant courant!

Le temps presse! La lame s’enfonce
Submergeant la terre sanglante
Noyée sous les onces
D’actions résultantes!

Le temps presse! Il est trop tard
S’effondre cet empire de lards
Qui pensait dominer
Mais sous leurs yeux le temps a filé!

Et voici un poème que j'aime beaucoup, ce n'est pas moi qui l'a écris mais bien Arthur Rimbaud, un poète français du 19e siècle.

Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Liberté

Le soleil brille de toutes ses couleurs fruitées
La chaleur m’ensorcelle, je m’endors sans bruit
Je rêve d’un ciel bleu, et d’un grand lac doré
Où les étoiles scintillent à l’infini

Le sable bleu laisse place à la mer troublée
Cocotiers et palmiers virevoltent dans le vent
Bercée par le ressac des vagues agitées
Je me laisse emporter par leur doux sifflement

Lys et fleurs d’orangé parfument l’air d’été
Je m’enivre de ce paradis mélodieux
Où mille oiseaux d’or s’accordent pour chanter

Suis-je en train de rêver ou est-ce ma destinée
Mon esprit vagabond divague dans ces lieux
Un souffle de liberté, mon seul bien-aimé

Nous nous sommes rencontrés
Et je me suis confiée

Je serais toujours là pour toi....
Ce sont les mots que tu as prononcé pour moi

Nous nous sommes rapprochés
Puis tu t'es éloigné

Me laisser dans l'ignorance
Et surtout dans la souffrance

Je suis tellement sensible
A ce jour, devenue fragile

Tu ne peux même pas t'imaginer
A quel point tu me fais pleurer

Tu ne peux savoir ce que je ressens...
Tout comme toi j'ai un coeur et des sentiments

M'avoir dit tout ceci
Et partir ainsi....

Me cause un immense chagrin

ooh lol que des poetes sur amte on en apprend tout les jours ^^

bravo pour vos poemes ils sont tres jolies ^^