Un coeur brisé...
Posted: 27 Dec 2005, 21:33
Un soir sur le haut de la colline, en compagnie de mon seigneur tout deux dos a l'arbre, nous medittions... Longue sont les heures passer a mediter, a reflechire, a penser... Ces guerres, ce sang, ces massacres...
Le regard vide je m'apeçus que quelqu'un nous observait... Comme tout homme je me leva et salua la jeune dame, sortant de mes penser les plus profondes. Elle me rendit timidement le salue. Puis plus un mots... Je lui proposa plusieurs fois mon aide, mais elle ne repondait pas. Dans le plus grand silence qui soit, j'entendis quelque chiose s'ecraser sur l'herbe verte de la colline, c'etait du sang ! Relevant les yeux sur la dame, je compris son silence... Ainsi j'appliqua avec le plus grand soin la medcine Orethorniene.
Mon seigneur etait juste la, il m'observait...
La douce dame se leça faire, puis apres avoire echangé quelque sourire et quelque mots, elle se retira... J'ai dû me dettachais des douces mains de la dame. L'observant courire, je replongea en mes songes... Mais cette fois different...
Un jour ou comme d'habitude fatigué par le nombre de bataille mené, je m'exila sur la verdure des terres Hiberniennes, cherchant un endroit pesible ou le corps pouvait trouver un repos bien m'eriter... Mais pour le coeur, cela ne siffisait pas... J'etais comme Abbatus... Puis, le silence...
Quelque instants plus tard, me relevant delicatement, je descida d'aller rejoindre les miens, je me dirigea alors pres du palrefnier...
Puis un " Bonjour " interrompie mes mouvement... En me retournant j'appercut une dame me souriant... En repondant au bonjour de la dame je me souvenu de ce visage... Apres quelques paroles ehanger devant le palrefnier, nous partimes pres de la riviere...
Quelques tendres mots... un baiser... D'etranges histoires... Puis un au revoir...
J'etais rester la, le regard diriger vers l'eau mais toujour vide...
Quelques lune suivirent ainsi, des douces paroles, des baiser et des recits encore plus etranges...
Mais cette fille... Elle avait trouver le moyens de guerrire mes soufrances les plus enfouis... Les soufrances d'un coeur meutrie par les guerres, par le sang, par le manque... Ce coeur semblait retrouver vie de jour en jour.
Mais vint le jour ou tout bascula... D'une journé a l'autre, d'une heure a une autres, d'un instant a un autre... Elle avait changé, beaucoup changé... je ne sais pas si le Breton a coter d'elle l'influançait mais je ne voulais plus savoir... Cet homme qui etait censé la proteger...
La regardant une derniere fois dans les yeux, je sentis la douleur repndre mon coeur... Tout les lien qui le maintenais debout etait coupé, par une personne... Baissant la tete en la secouant lentement, mon visage etait ainsi enfoui dans les tenebres de mon capuchon... En me tournant un moment, on pouvait apercevoir lla brillance de mes yeux au contacte des rayons solaire, puis une larme... D'un geste vif je reppris m'on chemin sans me retourné, sans preter intantions aux dernieres paroles de la dame...
En prenant du recule, je me rendit compte que c'etait l'une des rares personne pour qui une larme fut couler... La deuxieme encore vivante...
Puis ma reprit son chemins, comme si rien ne c'etait passer, toujours avec cette meme douleurs que la medcine ordinnair ne pouvait pas guerrire...
Le regard vide je m'apeçus que quelqu'un nous observait... Comme tout homme je me leva et salua la jeune dame, sortant de mes penser les plus profondes. Elle me rendit timidement le salue. Puis plus un mots... Je lui proposa plusieurs fois mon aide, mais elle ne repondait pas. Dans le plus grand silence qui soit, j'entendis quelque chiose s'ecraser sur l'herbe verte de la colline, c'etait du sang ! Relevant les yeux sur la dame, je compris son silence... Ainsi j'appliqua avec le plus grand soin la medcine Orethorniene.
Mon seigneur etait juste la, il m'observait...
La douce dame se leça faire, puis apres avoire echangé quelque sourire et quelque mots, elle se retira... J'ai dû me dettachais des douces mains de la dame. L'observant courire, je replongea en mes songes... Mais cette fois different...
Un jour ou comme d'habitude fatigué par le nombre de bataille mené, je m'exila sur la verdure des terres Hiberniennes, cherchant un endroit pesible ou le corps pouvait trouver un repos bien m'eriter... Mais pour le coeur, cela ne siffisait pas... J'etais comme Abbatus... Puis, le silence...
Quelque instants plus tard, me relevant delicatement, je descida d'aller rejoindre les miens, je me dirigea alors pres du palrefnier...
Puis un " Bonjour " interrompie mes mouvement... En me retournant j'appercut une dame me souriant... En repondant au bonjour de la dame je me souvenu de ce visage... Apres quelques paroles ehanger devant le palrefnier, nous partimes pres de la riviere...
Quelques tendres mots... un baiser... D'etranges histoires... Puis un au revoir...
J'etais rester la, le regard diriger vers l'eau mais toujour vide...
Quelques lune suivirent ainsi, des douces paroles, des baiser et des recits encore plus etranges...
Mais cette fille... Elle avait trouver le moyens de guerrire mes soufrances les plus enfouis... Les soufrances d'un coeur meutrie par les guerres, par le sang, par le manque... Ce coeur semblait retrouver vie de jour en jour.
Mais vint le jour ou tout bascula... D'une journé a l'autre, d'une heure a une autres, d'un instant a un autre... Elle avait changé, beaucoup changé... je ne sais pas si le Breton a coter d'elle l'influançait mais je ne voulais plus savoir... Cet homme qui etait censé la proteger...
La regardant une derniere fois dans les yeux, je sentis la douleur repndre mon coeur... Tout les lien qui le maintenais debout etait coupé, par une personne... Baissant la tete en la secouant lentement, mon visage etait ainsi enfoui dans les tenebres de mon capuchon... En me tournant un moment, on pouvait apercevoir lla brillance de mes yeux au contacte des rayons solaire, puis une larme... D'un geste vif je reppris m'on chemin sans me retourné, sans preter intantions aux dernieres paroles de la dame...
En prenant du recule, je me rendit compte que c'etait l'une des rares personne pour qui une larme fut couler... La deuxieme encore vivante...
Puis ma reprit son chemins, comme si rien ne c'etait passer, toujours avec cette meme douleurs que la medcine ordinnair ne pouvait pas guerrire...