L’homme d’un pas rapide et sourd rentra dans la vaste salle, les murs de celle ci étaient haut et se fondaient a leur sommet avec les ténèbres du plafond. Pour seul et unique lumière se trouvait un feu, récement ravivé les flammes vacillantes s’élevaient au centre du foyer acompagnés par les crépitements sec du bois.
Au plus profond de l’obscurité auquel ses yeux ne s’étaient pas encore adapté, résonnaient ce bruit, mélange de rires, de palabres et de murmure.
Il mis un certain temps avant d’apercevoir la trentaine d’hommes, et fut heureux de constater que malgres son retard, son habituel place à coté de son habituel voisin n’était pas occupé. Apres avoir brievement salué son ami, il s’assit a sa droite. Il ne reconnut pas le silencieux Albaroth qui se trouvait a sa gauche, un initié invité a la table du seigneur sans doutes, mais aucune importance, il avait Séléniord a porté de main. Il lui plaisait de se retrouver avec celui ci, il tenait a la perfection sa réputation de Drole. Grace a son immortel sourire aux lèvres, sa voix chaude et chaleureuse prompt aux rires il emplissait de joie celui qui l’écoutait, si ta lame était aussi percante que ton humeur Carn serait à nouveau a nous, lui avait on dit une fois.
Me feras tu le plaisir de me gouter cette volaille ? Lui demanda t’il en tendant la moitier de sa carcasse son sourire permanant aux lèvres.
Ne prendant qu’une cuisse il lui répondit : Il ne serait plaisent au seigneur de lui laisser imaginer que nous n’aimions la boustifaille de ses terres, mais prend garde quant a toi, de par ta gourmandise salir de graisses l’emblème de notre maison, ou je sais qui sera de garde ce soir. Apres un rire assez haut , le Drole croqua a pleine dent la carcasse qu’il tendait sous peu, laissant ainsi le jus doré couler sur le poil noir de sa barbe..
Au contraire de son voisin Séléniord, Diemfou n’était pas trop porté sur la boustifaille ce soir la, il avait fort a songer et a penser, il se permis du moins d’observer l’assemblée qui l’entourait.
La majeure partie avait presque finit de manger, et l’hydromel de fin de repas était servis dans les coupes d’acier bleu d’argent. Le spectacle de ses freres d’armes l’intérèsserait toujours.
La bas se trouvait Bamban le musicien, qui tout en accordant son luth sur la table dégagé discuté sur l’entré des nouveaux fiefs. Ici on parlait de récoltes qui semblaient éxèlentes. Dans un coin Galyn et Aleas commentaient le fil d’une lame qui les intriguaient étonament. Inconu en bous de table décrivait un prétendant a l’élite Albaroth qui devait prochainement rencontrer le seigneur ….
Puis, son regard se figea sur la table situé en face de l’entré. Sur celle ci, se trouvait attablé seulement trois hommes, dont celui du milieu richement vétue de son armures de Nivaline et d’or, le seigneur sans aucuns doutes. Le peu d’hommes a la table d’Anathorne le marqua, le seigneur s’entourait de nombreux hommes quand l’humeur l’en prenait .. L’humeur ne doit pas y etre se dit il, affaires importantes sans doutes. Apres un bon moment, il reconnut les deux hommes situé a droite et a gauche du seigneur, a droite se trouvait Yarm le soigneur, l’Elfenes du futur roi qui par sa fidélite sans failles s’était retrouvé la ou il est. A gauche, un homme dont le nom lui était impossible a prononcer, mais toute la maison l’appelait Thorgor dont la rumeur disait qu’il était amenait a diriger au nom de son suzerain les nouveaux fiefs de l’ouest. Ainsi seuls les deux mains du seigneur sont présent .
Début de l'orage.
Début de l'orage.
Raorr - \o/ - thane - \o/ - 6L0
Anathorne plongé dans une profonde réflexion ne prit garde aux yeux qui le scrutait, sa coupe encore pleine reflétait l’image de son visage, grave mais beaucoup plus songeur et ses lèvres sèches avaient à peine toucher à la nourriture trop riche a son goût.
Ce que lui annonçait Yarm ne lui plaisait guerre, plusieurs des vassaux de celui ci étaient tombé face aux adorateurs de Lucifer et ils semblaient dangereusement s’approcher des provinces libre de l’ouest. Que faire ?
Il passa une main aux travers de ses cheveux pour en toucher l’oreille droite, la plaie qui s’y trouvait était affreuse mais bien caché, une cicatrice qui ne se refermerait, résultat des guerres. Son entourage savait décrire ce signe, le silence vint car quand le seigneur se mettait en cette posture une guerre allait éclater.
C’est injuste dit il en haut Oréthorne. Quoi donc mon seigneur ? Lui répondit Yarm en parlé commun. Il ne rajouta d’autres mots, mais il n’en pensait pas moins . C’était injuste pensa t’il à nouveau, ses vassaux gouttaient enfin la prospérité, ce n’était plus les féroces soldats des guerres d’antan mais bien des hommes, oui des hommes. Les plus fidels avaient leurs terres, y avaient fondés leurs foyers pour y abriter leurs familles… Et, il fallait encore une fois qu’ils enfilent leurs armures et aiguisent leurs lames… Par Oréthorne, pourquoi recommencer ? Combien d’entre eux tomberaient ? Combien de veuves et d’orphelins ? Mais avait il le choix ?
Des souvenirs alors lui revint.. Carn en flammes, ses frères tomber un après un, les viols, les massacres… Du feux dans les ténèbres… La mort.
Il resta plongé dans son silence, observant maintenant la compagnie qui savait se que signifiait ce manque de paroles.. Attendant, il observait, que feront ils ?
Ce que lui annonçait Yarm ne lui plaisait guerre, plusieurs des vassaux de celui ci étaient tombé face aux adorateurs de Lucifer et ils semblaient dangereusement s’approcher des provinces libre de l’ouest. Que faire ?
Il passa une main aux travers de ses cheveux pour en toucher l’oreille droite, la plaie qui s’y trouvait était affreuse mais bien caché, une cicatrice qui ne se refermerait, résultat des guerres. Son entourage savait décrire ce signe, le silence vint car quand le seigneur se mettait en cette posture une guerre allait éclater.
C’est injuste dit il en haut Oréthorne. Quoi donc mon seigneur ? Lui répondit Yarm en parlé commun. Il ne rajouta d’autres mots, mais il n’en pensait pas moins . C’était injuste pensa t’il à nouveau, ses vassaux gouttaient enfin la prospérité, ce n’était plus les féroces soldats des guerres d’antan mais bien des hommes, oui des hommes. Les plus fidels avaient leurs terres, y avaient fondés leurs foyers pour y abriter leurs familles… Et, il fallait encore une fois qu’ils enfilent leurs armures et aiguisent leurs lames… Par Oréthorne, pourquoi recommencer ? Combien d’entre eux tomberaient ? Combien de veuves et d’orphelins ? Mais avait il le choix ?
Des souvenirs alors lui revint.. Carn en flammes, ses frères tomber un après un, les viols, les massacres… Du feux dans les ténèbres… La mort.
Il resta plongé dans son silence, observant maintenant la compagnie qui savait se que signifiait ce manque de paroles.. Attendant, il observait, que feront ils ?
La stratégie est la science de l’emploi du temps et de l’espace. Je suis, pour mon compte, moins avare de l’espace que du temps : pour l’espace, nous pouvons toujours le regagner. Le temps perdu, jamais.
Yarm fixait d’un œil inquiet son seigneur, il savait que toute l’assemblée attendait un signe, mais celui ci semblait vouloir une réaction de ses hommes avant. Anathorne pouvait tomber dans une colère noire quand on le sortait ainsi de ses songes, mais il décida d’etre le premier à rompre le pesant silence.
- Seigneur, hon filitis, que devons nous faire ? Ordonnez et il sera fait.
L’Oréthornien ne répondit pas directement, encore plongé dans le mutisme des songes, il se contenta de lever la tete pour le fixer d’un air froid mais percant qui en disait long. Brusquement, il posa à plat dans le plus grand des bruits sa lame sur le bois de la table. Visible à tous l’acier de Nivaline aux légères teintes verdatre scintillait sous le reflet des flammes du foyer, ceci voulait tout dire. Aussi rapidement que l’objet fut placer, Aleas et Séléniord se rendirent à la table seigneurial car ils possédaient grand nombre de vassaux et de terres, leur role dans la guerre serait sans doutes plus qu’important, car oui, c’était bien une guerre qui se préparait, les signes ne mentaient pas.
Anathorne ne demanda pas que la salle soit vidé, car sans doutes, il voulait que se qui soit dit, parvient aux oreilles de tous. Un silence pesant planait, quand enfin le seigneur se décida à parler.
- Aleas, dit il, tu part vers l’ouest dès ce soir, galope jour et nuit, court, vole, je m’en moque. Tu sera à Fort Emen dans six jours, avec toi tu eménera tout les hommes capable de tenir une arme. Séléniord, une fois sur ton domaine, tu placera la moitier de tes hommes dans le gros de l’armée…. Aleas les ménera ici meme, ensuite avec l’autre moitier tu ira t’installer dans les provinces du sud que tu fortifira car si tu tiens le Sud, les autres provinces n’auront rien à craindre. Quant à toi Yarm, tu reste avec moi, fait envoyer quelques missives pour que le reste de nos forces nous rejoigne ici meme. Une fois vous trois réunis à nouveau avec vos seigneuries, nous reparlons de la guerre qui se montre au loin . Allez maintenant.
Les deux Albaroths sans mots dire se levèrent pour ainsi quitter le château, les quelques vassaux de ces seigneurs présent en firent de meme. Anathorne plongea a nouveau en de bien noirs réfléxions…
- Seigneur, hon filitis, que devons nous faire ? Ordonnez et il sera fait.
L’Oréthornien ne répondit pas directement, encore plongé dans le mutisme des songes, il se contenta de lever la tete pour le fixer d’un air froid mais percant qui en disait long. Brusquement, il posa à plat dans le plus grand des bruits sa lame sur le bois de la table. Visible à tous l’acier de Nivaline aux légères teintes verdatre scintillait sous le reflet des flammes du foyer, ceci voulait tout dire. Aussi rapidement que l’objet fut placer, Aleas et Séléniord se rendirent à la table seigneurial car ils possédaient grand nombre de vassaux et de terres, leur role dans la guerre serait sans doutes plus qu’important, car oui, c’était bien une guerre qui se préparait, les signes ne mentaient pas.
Anathorne ne demanda pas que la salle soit vidé, car sans doutes, il voulait que se qui soit dit, parvient aux oreilles de tous. Un silence pesant planait, quand enfin le seigneur se décida à parler.
- Aleas, dit il, tu part vers l’ouest dès ce soir, galope jour et nuit, court, vole, je m’en moque. Tu sera à Fort Emen dans six jours, avec toi tu eménera tout les hommes capable de tenir une arme. Séléniord, une fois sur ton domaine, tu placera la moitier de tes hommes dans le gros de l’armée…. Aleas les ménera ici meme, ensuite avec l’autre moitier tu ira t’installer dans les provinces du sud que tu fortifira car si tu tiens le Sud, les autres provinces n’auront rien à craindre. Quant à toi Yarm, tu reste avec moi, fait envoyer quelques missives pour que le reste de nos forces nous rejoigne ici meme. Une fois vous trois réunis à nouveau avec vos seigneuries, nous reparlons de la guerre qui se montre au loin . Allez maintenant.
Les deux Albaroths sans mots dire se levèrent pour ainsi quitter le château, les quelques vassaux de ces seigneurs présent en firent de meme. Anathorne plongea a nouveau en de bien noirs réfléxions…
Raorr - \o/ - thane - \o/ - 6L0
Plusieurs jours étaient passés après la morne palabre, et ils n’étaient point bon pour les troupes Albaroth. L’ennemi en masse avait frappé les premiers alors que la majeure des troupes se trouvaient encore sur les terres de l’Ouest. Beaucoup d’hommes étaient tombés, et sans doutes pour rien.
La tristesse s’était mue en colère et haine profonde, en son cœur Anathorne savait qu’il ne devait laisser place à ses sentiments car de ces choses, naissaient des guerres fatalement meurtrière. Mais encore une fois, avait il le choix ?
Il n’était plus au profond de son confortable château, dont la chaleur et les chants emplissait son cœur de joie et de bonheur, non. Il était installé dans une vulgaire tente, dont le tissu gris semblait aussi mince qu’une cape de lin. Le froid le pénétrait dans ce triste abris, et la boue faisant office de sol dégageait une humidité qu’il ne supportait, il refusait de vivre dans un confort plus grand que ses hommes
. Mais il cachait, oui, il camouflait ce désarrois, mais pouvait on le blâmer ? Il était avant tout un homme, et voir ses vassaux, ses fils, mourir un après les autres l’accablait. Mais il était aussi un seigneur, de lui dépendait beaucoup, il ne pouvait se permettre de donner aux troupes l’image d’un seigneur abattus. Alors, il laissa un long et fin soupir sortir de ses lèvres, passa une main sous ses cheveux avant de sortir de la piteuse tente.
Le spectacle qui s’offrit à lui pourtant lui redonna un peu d’espoir, le campement militaire sentait la vie et ceci suffisait. Prêt des réserves d’armements s’entraînaient inlassablement des Albaroths, en de grands bruits d’acier ils duellaient, voulant toujours plus en découdre. Ici, on aiguisait et comparait des lames pour savoir lesquels utiliser. La bas, les plus anciens conseillaient les novices des stratégies a prendre, le mot honneur et bravoure ressortaient beaucoup. Le morale était au plus haut, malgré les morts, la faim et le froid.
Le seigneur du sommet de la colline qui surplombait le camp observait inlassablement ce qu’il protégerait de sa vie s’il le faillait. Quand un bruit sourd le sortit de ses activités. Le son du cor retentit dans la vallée, se répandant comme les flots pour ainsi se fracasser sur la roche. Mais il ne fut point alarmé, au contraire réjouis.
Un régiment arrivait, il apportait des hommes, des vivres, mais plus important.. Des informations. Les forces d’Aleas suivaient, quelques hostilités avaient touché suzerain, mais rien de bien méchant. Bientôt, ils seraient tous prêt pour se lancer à l’encontre de l’ennemi…
La tristesse s’était mue en colère et haine profonde, en son cœur Anathorne savait qu’il ne devait laisser place à ses sentiments car de ces choses, naissaient des guerres fatalement meurtrière. Mais encore une fois, avait il le choix ?
Il n’était plus au profond de son confortable château, dont la chaleur et les chants emplissait son cœur de joie et de bonheur, non. Il était installé dans une vulgaire tente, dont le tissu gris semblait aussi mince qu’une cape de lin. Le froid le pénétrait dans ce triste abris, et la boue faisant office de sol dégageait une humidité qu’il ne supportait, il refusait de vivre dans un confort plus grand que ses hommes
. Mais il cachait, oui, il camouflait ce désarrois, mais pouvait on le blâmer ? Il était avant tout un homme, et voir ses vassaux, ses fils, mourir un après les autres l’accablait. Mais il était aussi un seigneur, de lui dépendait beaucoup, il ne pouvait se permettre de donner aux troupes l’image d’un seigneur abattus. Alors, il laissa un long et fin soupir sortir de ses lèvres, passa une main sous ses cheveux avant de sortir de la piteuse tente.
Le spectacle qui s’offrit à lui pourtant lui redonna un peu d’espoir, le campement militaire sentait la vie et ceci suffisait. Prêt des réserves d’armements s’entraînaient inlassablement des Albaroths, en de grands bruits d’acier ils duellaient, voulant toujours plus en découdre. Ici, on aiguisait et comparait des lames pour savoir lesquels utiliser. La bas, les plus anciens conseillaient les novices des stratégies a prendre, le mot honneur et bravoure ressortaient beaucoup. Le morale était au plus haut, malgré les morts, la faim et le froid.
Le seigneur du sommet de la colline qui surplombait le camp observait inlassablement ce qu’il protégerait de sa vie s’il le faillait. Quand un bruit sourd le sortit de ses activités. Le son du cor retentit dans la vallée, se répandant comme les flots pour ainsi se fracasser sur la roche. Mais il ne fut point alarmé, au contraire réjouis.
Un régiment arrivait, il apportait des hommes, des vivres, mais plus important.. Des informations. Les forces d’Aleas suivaient, quelques hostilités avaient touché suzerain, mais rien de bien méchant. Bientôt, ils seraient tous prêt pour se lancer à l’encontre de l’ennemi…
La stratégie est la science de l’emploi du temps et de l’espace. Je suis, pour mon compte, moins avare de l’espace que du temps : pour l’espace, nous pouvons toujours le regagner. Le temps perdu, jamais.
Le temps avait filé, apportant ses surprises. La guerre faisait rage sur tout le continent, bien que les terres Albaroths étaient sauves, car batailler loin des foyers Oréthorniens était la meilleure solution de retenir l’ennemi en dehors des frontières.
Les temps étaient durs, très durs.. Il fallait mobiliser les forces, tuer ou se faire tuer. Ils étaient seuls face à ce déluge, cette marée humaine qui manquait toujours de les engloutir. La légion noire, horde enragé assoiffée de sang était bien plus nombreuse, mais l’Albaroth avait un avantage non négligeable, une faculté de mouvement et de déplacement quasi militaire. Le system féodal, appliqué même dans l’armée permettait une exelente organisation ce qui remplaçait l’infériorité numérique.
Les combats étaient impitoyables, sanglant, se soldant toujours par de nombreux morts.. Se préparant pour la critique opération, Yarm le Soigneur se remémora les faits de la journée…
- : Mon seigneur, l’aile droite se fait enfoncer ! Agissons au plus vite.
- : Repliez la faction vers le sud est, place les hommes d’Aleas face à l’Est, attendez mon signal pour attaquer !
Les troupes cédaient du terrain, l’ennemi voyant l’adversaire reculé augmentait leur pression sur le régiment en déroute, tout chez les Albaroths semblaient désorganisé quand tout d’un coup : Attaquez !!
Le régiment s’aretta nette, le choc fut terriblement chaotique. Sortant de derrière la colline, les troupes d’Aleas prirent à revers l’assaillant. Yarm observait les hommes tomber, jonchant le sol qui prenait des teintes rouges. Il détourna la tète pour attendre les instruction d’Anathorne, mais, à sa grande surprise celui ci s’était lancé en direction de l’action. Quel fous ! Se dit il, si il meurt, tout nos espoirs s’écroulent.
- : Protégez le Seigneur ! Cria t’il à ses hommes. Le seigneur semblait atteint d’une grande folie, et pour cause ! Un de ces hommes les plus cher, Galyn, en grande difficulté risqué à tout moment de se faire massacrer.
Vaesh Oréthorne ! Hurla Anathorne l’arme en main.
En quelques enjambés, Yarm fut aux cotés de son suzerain qui déjà se lancé dans le combat, l’insouciant ne vit pas qu’un ennemi s’apprêtait à lever sa lame sur lui.. Il n’eu le temps de toucher Anathorne que Yarm lui transperça la poitrine. Heureusement pour le chef, la bataille prenait fin, se soldant enfin par une victoire..
Mais, aussi vif que l’éclair, une flèche atteint en pleine poitrine le leader. Il tomba en arrière… Tandis qu’on poursuivait l’archer, on transporta Anathorne loin des dangers. Par Oréthorne ! Si il mourait, tout prenait fin.. Ce fut, les yeux pleins de larmes que Yarm accoura à la tente seigneuriale, là où toute sa science déciderait du sort du dernier descendant des Rois de Carn.
Les temps étaient durs, très durs.. Il fallait mobiliser les forces, tuer ou se faire tuer. Ils étaient seuls face à ce déluge, cette marée humaine qui manquait toujours de les engloutir. La légion noire, horde enragé assoiffée de sang était bien plus nombreuse, mais l’Albaroth avait un avantage non négligeable, une faculté de mouvement et de déplacement quasi militaire. Le system féodal, appliqué même dans l’armée permettait une exelente organisation ce qui remplaçait l’infériorité numérique.
Les combats étaient impitoyables, sanglant, se soldant toujours par de nombreux morts.. Se préparant pour la critique opération, Yarm le Soigneur se remémora les faits de la journée…
- : Mon seigneur, l’aile droite se fait enfoncer ! Agissons au plus vite.
- : Repliez la faction vers le sud est, place les hommes d’Aleas face à l’Est, attendez mon signal pour attaquer !
Les troupes cédaient du terrain, l’ennemi voyant l’adversaire reculé augmentait leur pression sur le régiment en déroute, tout chez les Albaroths semblaient désorganisé quand tout d’un coup : Attaquez !!
Le régiment s’aretta nette, le choc fut terriblement chaotique. Sortant de derrière la colline, les troupes d’Aleas prirent à revers l’assaillant. Yarm observait les hommes tomber, jonchant le sol qui prenait des teintes rouges. Il détourna la tète pour attendre les instruction d’Anathorne, mais, à sa grande surprise celui ci s’était lancé en direction de l’action. Quel fous ! Se dit il, si il meurt, tout nos espoirs s’écroulent.
- : Protégez le Seigneur ! Cria t’il à ses hommes. Le seigneur semblait atteint d’une grande folie, et pour cause ! Un de ces hommes les plus cher, Galyn, en grande difficulté risqué à tout moment de se faire massacrer.
Vaesh Oréthorne ! Hurla Anathorne l’arme en main.
En quelques enjambés, Yarm fut aux cotés de son suzerain qui déjà se lancé dans le combat, l’insouciant ne vit pas qu’un ennemi s’apprêtait à lever sa lame sur lui.. Il n’eu le temps de toucher Anathorne que Yarm lui transperça la poitrine. Heureusement pour le chef, la bataille prenait fin, se soldant enfin par une victoire..
Mais, aussi vif que l’éclair, une flèche atteint en pleine poitrine le leader. Il tomba en arrière… Tandis qu’on poursuivait l’archer, on transporta Anathorne loin des dangers. Par Oréthorne ! Si il mourait, tout prenait fin.. Ce fut, les yeux pleins de larmes que Yarm accoura à la tente seigneuriale, là où toute sa science déciderait du sort du dernier descendant des Rois de Carn.
Raorr - \o/ - thane - \o/ - 6L0