je precise que sa n'a rien a voir avec amte (c'est pour ca que je le poste ici) et que c'est mon 1er texte qui sort du cadre d'uen redaction scolaire
j'esper qu'il vous plaira
ps: les drow n'ont absolument iren a voir avec ceux d'amte, et les ellipse sont volontaire
Prologue...
Un vent lugubre soufflait sur la montagne depuis maintenant quelques jours, mugissant entre les rocher et décourageant tout voyageur. Cependant, un cavalier noir galopait contre le vent, ne semblant pas subir la force qui le poussait en arrière.
Bientôt arriver au sommet de la pente, le cavalier s'arrêta, puis descendit de sa monture. Il pouvait désormais voir un cratère qui ne figurait pas sur les cartes les plus précises et récentes de la région. Plus il approchait, plus il pouvait ressentir une aura de puissance de plus en plus oppressante.
L'homme posa sa main sur la garde de son épée, puis la sorti lentement de son fourreau. Il n'était pas seul...
Ses yeux se firent durs, et sillonnèrent tout le cratère pour s'arrêter vers une silhouette de l'autre coter.
Un homme de taille imposante se tenait là, portant un long cache poussière et un fusil, braquer sur le cavalier... Une détonation partie du fusil, immédiatement suivie par une seconde, cette foi provenant du cavalier. La balle s'était arrêtée net a deux mètres du cavalier, qui courait maintenant vers le tireur.
Parfaitement calme, il rechargea son arme d'un simple mouvement de la crosse, puis fit feu à nouveau sur la silhouette qui déferlait vers lui. La balle fut encore une foi arrêtée, mais sa cible avait dû s'arrêter. Ils n'étaient plus qu'à quelque mettre lorsque le troisième coup de feu retenti, encore une foi stoppée a deux mètres de la cible... L'homme lâcha son fusil, puis sorti deux revolvers de son cache poussière. L'autre homme s'était arrêté à deux mètres de lui. Il avait pointé ces deux armes vers lui, mais il ne tirait pas, sachant pertinemment que les balles ne le toucheraient pas, ou pire, risquaient de ricocher sur lui...
Il l'observait attentivement, il semblait calme et vigilant, tout comme lui... ces yeux noirs ne le quittaient pas des yeux. Bien qu'on ne pouvait distinguer grand chose dans l'obscurité de la nuit, cet homme se semblai pas humain, tout était sombre en lui, même l'épée qu'il portait : une lame large et assez courte, d'un noir profond.
Le cavalier observait cet homme mystérieux. Forcement un humain, seul les humains utilisaient des armes a feu, et celui si semblait être un excellent tireur: sans son bouclier de protection, il aura fait mouche à chaque tirs... son visage semblait l'observer.
Dans le silence profond, les deux hommes sourirent. L'heure était venue pour le monde de changer, ils le savaient tout deux parfaitement...
...
Les puissants rayons lunaires perçaient la voûte sylvestre. La jeune femme arrêta sa progression pour observer le spectacle. Elle avait voyagée toute la nuit sans s'arrêter; la fatigue l'accablai et bien qu'elle se savait suivie, elle s'autorisa une petite pause. Des l'instant même ou elle avait franchi la lisière de la foret, elle avait remarqué les déplacements furtifs dans les feuillages des arbres centenaires. Les elfes surveillaient tous ceux qui pénétraient leur territoire.
Une odeur de chaire fraîche attira son regard aux pieds d'un arbre. Elle eut un hoquet d'horreur, puis ouvrit immédiatement le sac qu'elle portait en bandoulière, pour un sortir une arbalète a répétition gnome. Trois cadavres d'elfes gisaient non loin de là. Si se n'étaient pas les habitants de la foret; qui pouvait bien la filer depuis deux jours...
Un bruit de branches cassées se fit entendre derrière elle, mais elle ne se retourna pas, elle savait pertinemment que la branche avait été cassée par un projectile pour détourner son attention. Elle tendit attentivement l'oreille, une voix au-dessus d'elle résonnait très doucement et elle pouvait ressentir un léger picotement du a l'invocation d'une force magique...
Pauvre petit ignorant... Un tourbillon d'énergie se format à la l'endroit précis d'où la voix était partie, et un corps tomba avec un bruit flasque au pied de la femme. Elle baissa quelque instant la tête pour l'observer. Un drow carboniser était étalé devant ces pieds. Ainsi, les drows avaient pénétré les forets des elfes... Elle se lança dans une courte traque des autres drows qui pourraient être présent, et les élimina sans difficulté ni remord.
Elle se devait de prévenir les elfes...
…
Dans la pénombre de la chambre, Il pouvait voir là jeune elfe dormir paisiblement. Son visage serein respirait la pureté et la perfection d’un ange. Bien qu’elfe, on l’aurait facilement cru nymphe… Il hésita à replacer une mèche de ses cheveux bruns comme du chêne, il avait peur de la réveiller. Il soupira intérieurement en pensant à son sourire bienveillant et a ces yeux vert émeraude…
Le temps où il la voyait radieuse était maintenant révolu, il ne pourrait plus que la connaître au plus profond de son désespoir et de sa peine maintenant…
Il déposa sur sa table de chevet une clé en obsidienne, puis il traversa la fenêtre pour rejoindre le cœur de la foret
…
La jeune elfe ouvrit péniblement les yeux. La pièce était plongée dans le noir, il faisait encor nuit noire. Troublée par se réveille étrange, elle se leva, s’enveloppant de sa couverture de soie pour cacher son corps parfait de sa nudité.
Son regard balaya la pièce, cherchant un détaille inhabituelle. Ne trouvant rien, elle se déplaça lentement vert la fenêtre. La nuit était étrangement belle ce soir là, et un vent doux soufflait dans les cheveux de la belle elfe.
Sa main courue sur sa table de chevet pour y prendre une carafe d’eau, quand elle rencontra quelque chose de dur et accidentellement froid. Intriguée, elle attrapa l’objet puis l’examina de près. Elle tenait entre ces mains une clé en obsidienne.
Que faisait cette clé ici ? Elle l’ignorait.
Elle défit la couverture qu’elle portait pour passer une robe, puis sortie de sa chambre pour sortir s’aventurer dans la Citée Sylvestre…
Tant de question sans réponses traversait à présent son esprit. La jeune elfe se promit d’aller consulter son père des le jour levé…
…
Et le Monde, encore paisible, attendait la suite… Il allait changer, et les Dieux le savaient…
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(il faudra que tu me donne le nom de ta fiancée 
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