L'air était froid et le vent violent dans les contrées Hiberniennes. La mort, la rage et la perte d'Hibernia se faisaient ressentir.
L'ordre des Fils de Gaïa était dépassé, croulant sous la masse d'affrontement contre tous les étrangers... Surmenés, dépassés et fatigués, Les Fils de Gaïa se retirèrent d'Hibernia la Verte, la laissant dépérir, ne pouvant plus rien faire pour sauver cette dernière...
Ticlis, l'élu de Gaïa se retira avec sa famille au plus profond de la forêt, la où vivaient ces étranges elfes Sylvains, qu'il avait auparavant rencontré afin de les protéger du mal grandissant sur les sombres terres d'Hibernia. Les premières années furent dures pour Ticlis, l'élu d'abandonner son ordre et laisser Gaïa dépérir lentement. Sa seule occupation était son fils, son fils unique, portant le même nom que son père. L'élu de Gaïa apprit à son fils l'art de manier la faux et de contrôler la nature. C'était un père dur, ne laissant aucun répit et donnant de l'affection que lorsque son fils était prêt à craquer... Le jeune sylvain avait peine à s'entraîner de nombreuses par jours mais sa seule satisfaction était de voir le sourire de son père lorsqu'il arrivait à correctement manier l'arme que portait la mort elle même...
Les années passèrent et L'élu se fit vieux, pensant, nostalgiquement à Gaïa et à Hibernia...
Une nuit paisible, L'élu emmena son fils non loin d'une rivière. Ils étaient debout sur une large falaise surplombent la forêt et la rivière. La lune brillait fortement et il semblait que tous les rayons de celle ci s'étaient dirigés sur les deux sylvains. L'élu dit d'une voix calme et posée à son fils :
Ticlis, sache que Gaïa est là pour t'aider, apprend à me connaître et sois fort, sois le plus fort! Suis le destin que j'avais commencé, mais que je n'ai pu terminer, Maintenant Gaïa me réclame à ces cotés et je dois m'en aller... Adieu fils...
L'élu donna sa faux, son armure, sa cape et ses bijoux à son fils. Ce dernier ne disait mots, regardant son père dans un silence toujours continu. Ticlis s'agenouilla devant son père et le regarda dans les yeux.
L'élu regardait son fils et une larme se mit à couler le long de sa joue. D'un pas décidé et ferme, L'élu se jeta dans le vide, arrivant après quelques secondes au contact de la rivière. Les reflets de la lune dans l'eau se firent plus intense lorsque L'élu percuta l'eau et ensuite un rayon lumineux se dirigea en direction de Ticlis. Une voix retentit dans les airs :
Fils, ait confiance et garde la foi, soit le plus fort et continue ce que j'ai tenter de commencer...
Ait la foi...
L'espoir demeure...
L'espoir demeure...
Ticlis, Faucheur, élu de Gaïa 4X
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L’adieu d’un monde parfait
Ticlis savait dorénavant qu’il a été le fils d’un puissant guerrier servant la cause de la belle et grande Gaïa. C’est tout ce qu’il savait sur ce père, trop de fois absent à ses côtés.
Effectivement L’Elu s’enfermait de longues heures durant dans une pièce excentrée de la maison familiale. C’était une pièce dans laquelle personne n’était autorisé à pénétrer. Personne ne savait ce qu’il se passait dans cette étrange pièce, ornée de bois et de matière précieuse. Seul des lumières vertes jaillissaient constamment par chacune des fissures de la petite pièce.
Maintenant, il n’avait plus de temps à perdre et Ticlis se précipita à sa demeure. Il courut à travers les bois portant tous ce que son père lui avait laissé comme souvenir : Son armure, sa faux ancestrale, ses bijoux. Il lui avait aussi laissé sa plus grande qualité, la détermination…
Arrivé à sa maison, Ticlis regarda sa mère dans les yeux d’un air grave. Après de longues minutes d’un pesant silence. Ticlis dit, enfin :
« Père s’en est allé rejoindre son destin, là ou son cœur et sa foi la mené, chez la déesse Gaïa. Il s’en est allé au-delà des sommets des arbres, aidé par les courants… »
La femme de l’Elu, fit un léger signe de tête et répliqua, posément :
« Tel était son destin, que Gaïa l’aide et le protège au-delà des cieux. »
Ticlis, s’assit au côté de sa mère et reprit :
« Il m’a dit d’aller en Amtenaël, dans ces contrées lointaines, la où l’hypocrisie et les fourberies de toutes sortes sont courantes, Je dois aller là bas, pour essayer de continuer, là ou lui a échoué… Hibernia doit être sauvée et seul moi, aidé de ses anciens alliés, pourra parvenir à reconquérir Hibernia la verte… »
Sa mère le regarda et acquiesça d’un léger mouvement de tête.
« Soit fort mon fils, seulement en étant le plus fort, tu arriveras à tes fins, et fait en sorte de bien choisir tes amis. Tes amis seront ta vie… »
Ticlis posa un léger baiser sur le front de sa mère et prit les équipements de son père. Il les mit sur lui. Il sentit un élan de pouvoir et de force dans tout son corps.
Il se dirigea vers la cabane isolée de son père et y pénétra calmement et posément. Il ne vit qu’une grande pièce vide. Seul un mot pendait encore au mur.
Les lettres superbement écrites d’une couleur bleu foncé, disaient :
Revient ici fils quand tu auras gagné la foi et que l’ordre sera rétabli. Et enfin, tu brandiras fièrement son étendard. Sois impartial…
De quel ordre pouvait-il bien s’agir ? La foi envers qui ? Ticlis, ne perdit pas une seconde et se dirigea vers la porte. Il fit un dernier signe de la tête à sa mère et s’en alla en direction des traces de son père, dans ce monde si dangereux : Amtenaël…
Ticlis savait dorénavant qu’il a été le fils d’un puissant guerrier servant la cause de la belle et grande Gaïa. C’est tout ce qu’il savait sur ce père, trop de fois absent à ses côtés.
Effectivement L’Elu s’enfermait de longues heures durant dans une pièce excentrée de la maison familiale. C’était une pièce dans laquelle personne n’était autorisé à pénétrer. Personne ne savait ce qu’il se passait dans cette étrange pièce, ornée de bois et de matière précieuse. Seul des lumières vertes jaillissaient constamment par chacune des fissures de la petite pièce.
Maintenant, il n’avait plus de temps à perdre et Ticlis se précipita à sa demeure. Il courut à travers les bois portant tous ce que son père lui avait laissé comme souvenir : Son armure, sa faux ancestrale, ses bijoux. Il lui avait aussi laissé sa plus grande qualité, la détermination…
Arrivé à sa maison, Ticlis regarda sa mère dans les yeux d’un air grave. Après de longues minutes d’un pesant silence. Ticlis dit, enfin :
« Père s’en est allé rejoindre son destin, là ou son cœur et sa foi la mené, chez la déesse Gaïa. Il s’en est allé au-delà des sommets des arbres, aidé par les courants… »
La femme de l’Elu, fit un léger signe de tête et répliqua, posément :
« Tel était son destin, que Gaïa l’aide et le protège au-delà des cieux. »
Ticlis, s’assit au côté de sa mère et reprit :
« Il m’a dit d’aller en Amtenaël, dans ces contrées lointaines, la où l’hypocrisie et les fourberies de toutes sortes sont courantes, Je dois aller là bas, pour essayer de continuer, là ou lui a échoué… Hibernia doit être sauvée et seul moi, aidé de ses anciens alliés, pourra parvenir à reconquérir Hibernia la verte… »
Sa mère le regarda et acquiesça d’un léger mouvement de tête.
« Soit fort mon fils, seulement en étant le plus fort, tu arriveras à tes fins, et fait en sorte de bien choisir tes amis. Tes amis seront ta vie… »
Ticlis posa un léger baiser sur le front de sa mère et prit les équipements de son père. Il les mit sur lui. Il sentit un élan de pouvoir et de force dans tout son corps.
Il se dirigea vers la cabane isolée de son père et y pénétra calmement et posément. Il ne vit qu’une grande pièce vide. Seul un mot pendait encore au mur.
Les lettres superbement écrites d’une couleur bleu foncé, disaient :
Revient ici fils quand tu auras gagné la foi et que l’ordre sera rétabli. Et enfin, tu brandiras fièrement son étendard. Sois impartial…
De quel ordre pouvait-il bien s’agir ? La foi envers qui ? Ticlis, ne perdit pas une seconde et se dirigea vers la porte. Il fit un dernier signe de la tête à sa mère et s’en alla en direction des traces de son père, dans ce monde si dangereux : Amtenaël…
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Ticlis moonshine
La forêt était dense et les périls nombreux, pour arriver en Amtenaël.
Ticlis courait depuis maintenant 2 jours, en ne s’arrêtant que pour rapidement vider sa gourde et la remplir à la rivière suivante. Des gouttes de sève s’échappèrent de ses écorces tellement sa fatigue était grande et ses muscles travaillaient.
L’allure de son souffle était constante et persistante.
Après 5 jours de marche intense, il arrivait enfin aux frontières de cette terre. Il arriva dans le dernier village avant la frontière Amtenaëlienne. Là, il s’assit dans la taverne gardée par un grand firbolg. Après quelques heures de repos, il alla parler à ce grand personnage.
Il apprit, après de longues et diverses discussions, qu’une barrière avait été récemment créée, on ne sait comment. Une barrière magique, dans laquelle seul les Hiberniens, non influencés par ce monde dangereux, pouvaient pénétrer. Cette barrière était gardée par une nouvelle lune conçue depuis peu.
C’est ainsi qu’une des nombreuses lunes, peuplant le monde, éclairait en permanence cette frontière. Rien ne pouvait faire disparaître cette lune, même l’apparition habituelle du soleil. Cette Lune était toujours visible et brillait d’une lueur constante et sombre. Elle reflétait le désespoir.
Ticlis fut émerveillé par cette lune, si étrangement attirante. Le sylvain voulut d’abord en savoir plus sur cette sombre Lune et monta sur le plus au point à proximité de la frontière. Ce point était un arbre millénaire.
Ticlis mit deux longues heures à monter à son sommet malgré son habitude de grimper aux arbres. Arrivé au sommet, il vit un calice, reposant sur la plus haute branche de l’arbre. Celui-ci était parsemé d’or, orné d’ivoire et de pierres précieuses. Il s’en approcha, délicatement et prudemment, avec inquietude. Il n’avait jamais rien vu de tel. Lorsqu’il eut fini d’analyser le contour du vase, il se pencha pour voir ce que celui-ci contenait. Ses yeux se mirent à briller et se fixèrent sur le liquide. Ce liquide était d’apparence violette mais il reflétait la sombre lune, la grossissant fortement, telle une loupe…
Il observa la lune, dans le réceptacle, durant de long moment jusqu'à ce qu’il aperçu son défunt père assis, sur cette lune, il était serein. Son émotion fut sans pareille, il était à la fois émerveillé et à la fois horrifié de voir son père assis sur cette Lune. L’Elu dirigeait cette lune, elle faisait partie de son corps, de son âme. Le jeune sylvain vit son père ouvrir les yeux et lui adresser un léger sourire.
Le liquide changea de couleur et devint vert avec des taches dorée. Ticlis continuait de fixer le contenu du calice.
Des tâches dorées apparaissaient… des lettres se fondant dans le liquide verdâtre. Après quelques instants, on put lire :
Cette barrière était mon grand projet. Maintenant, les Hiberniens ont une base de recul. A toi de la faire avancer afin d’agrandir notre territoire… Mais ne te lance pas trop vite dans ta quête, apprend à mieux me connaître et mieux connaître ce monde…
Bonne chance…
La forêt était dense et les périls nombreux, pour arriver en Amtenaël.
Ticlis courait depuis maintenant 2 jours, en ne s’arrêtant que pour rapidement vider sa gourde et la remplir à la rivière suivante. Des gouttes de sève s’échappèrent de ses écorces tellement sa fatigue était grande et ses muscles travaillaient.
L’allure de son souffle était constante et persistante.
Après 5 jours de marche intense, il arrivait enfin aux frontières de cette terre. Il arriva dans le dernier village avant la frontière Amtenaëlienne. Là, il s’assit dans la taverne gardée par un grand firbolg. Après quelques heures de repos, il alla parler à ce grand personnage.
Il apprit, après de longues et diverses discussions, qu’une barrière avait été récemment créée, on ne sait comment. Une barrière magique, dans laquelle seul les Hiberniens, non influencés par ce monde dangereux, pouvaient pénétrer. Cette barrière était gardée par une nouvelle lune conçue depuis peu.
C’est ainsi qu’une des nombreuses lunes, peuplant le monde, éclairait en permanence cette frontière. Rien ne pouvait faire disparaître cette lune, même l’apparition habituelle du soleil. Cette Lune était toujours visible et brillait d’une lueur constante et sombre. Elle reflétait le désespoir.
Ticlis fut émerveillé par cette lune, si étrangement attirante. Le sylvain voulut d’abord en savoir plus sur cette sombre Lune et monta sur le plus au point à proximité de la frontière. Ce point était un arbre millénaire.
Ticlis mit deux longues heures à monter à son sommet malgré son habitude de grimper aux arbres. Arrivé au sommet, il vit un calice, reposant sur la plus haute branche de l’arbre. Celui-ci était parsemé d’or, orné d’ivoire et de pierres précieuses. Il s’en approcha, délicatement et prudemment, avec inquietude. Il n’avait jamais rien vu de tel. Lorsqu’il eut fini d’analyser le contour du vase, il se pencha pour voir ce que celui-ci contenait. Ses yeux se mirent à briller et se fixèrent sur le liquide. Ce liquide était d’apparence violette mais il reflétait la sombre lune, la grossissant fortement, telle une loupe…
Il observa la lune, dans le réceptacle, durant de long moment jusqu'à ce qu’il aperçu son défunt père assis, sur cette lune, il était serein. Son émotion fut sans pareille, il était à la fois émerveillé et à la fois horrifié de voir son père assis sur cette Lune. L’Elu dirigeait cette lune, elle faisait partie de son corps, de son âme. Le jeune sylvain vit son père ouvrir les yeux et lui adresser un léger sourire.
Le liquide changea de couleur et devint vert avec des taches dorée. Ticlis continuait de fixer le contenu du calice.
Des tâches dorées apparaissaient… des lettres se fondant dans le liquide verdâtre. Après quelques instants, on put lire :
Cette barrière était mon grand projet. Maintenant, les Hiberniens ont une base de recul. A toi de la faire avancer afin d’agrandir notre territoire… Mais ne te lance pas trop vite dans ta quête, apprend à mieux me connaître et mieux connaître ce monde…
Bonne chance…
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L’arrivée en Amtenaël
Ticlis s’assit sur une des branches côtoyant le calice. Un rayon de La Lune, se dirigea vers le sommet de l’arbre éblouissant Ticlis. Le jeune sylvain ferma les yeux et se sentit porté dans les airs. Il descendait de l’arbre, planant gracieusement, porté par les vents. Lorsqu’il rouvrit les yeux, il se retrouva de l’autre côté de la barrière, gardée par son père. Il regarda une dernière fois cette mystérieuse Lune et s’enfonça dans la sombre forêt.
Il marcha durant quelques heures et atteignit enfin le premier village Hibernien. Il regarda autour de lui, il vit de curieuses races. Il put entendre différent noms tels les trolls et bretons… Il fit vite la différence entre la finesse Hibernienne et la nonchalance de ces étrangers.
Il chassa fermement augmentant rapidement sa force et son assiduité au combat. A son vingtième cercle d’entrainement, il vit un celte portant une cape verte ornée d’une fleur. Il fut inconsciemment attiré par cet étrange personnage. Il se dirigea vers lui en engendra la discussion.
Bonjour, noble hibernien. J’observe votre cape depuis un long moment et il me semble n’avoir jamais rien vu de tel. Quel est cet emblème, peu porté?
Le celte sourit brièvement.
Mon emblème signifie ma présence au sein de l’ordre des Fils de Gaïa.
Ticlis sembla surprit:
Mais…mais… Cet ordre est pourtant révolu !
Le celte s’énerva et reprit : Jamais Gaïa et La grande verte ne tomberont tant que je serai encore présent ! Ma vie et ma gloire pour Hibernia et pour sa déesse…
Le jeune sylvain sourit et entreprit quelque peu inquiet et non sur de lui.
Mais en fait, je ne me suis point présenté… Je suis Ticlis, le fils de l’Elu de Gaïa, ancien chef de votre ordre, il me semble…
Le celte n’en revenait pas. Il s’agenouilla devant le jeune sylvain.
Ticlis lui ordonna de se relever au plus vite, gêné. Il lui expliqua durant de longues heures, en se promenant dans la forêt, toutes ses péripéties depuis le décès de Ticlis, l’Elu de Gaïa. Le celte promis de garder contact avec le sylvain.
Le fils de Gaïa lui raconta aussi tous ce qu’il savait sur l’ordre, Gaïa et le père du jeune sylvain.
Ticlis écoutait et buvait les informations laissées par le celte.
Ils se séparèrent mais le celte dis que lorsque l’ordre s’était écrouler, beaucoup de Fils de Gaïa s’étaient réfugié chez les chevaliers déchus.
C’est ainsi que Ticlis, décida de rejoindre cet ordre, afin de connaître les amis de son père, sachant qu’ils lui seront loyaux aussi. Après un entretien avec un lurikien, il rentra dans l’ordre.Il réussi rapidement à reconnaître les amis de son père par leur nostalgie du passé.
Il persévéra dans son entrainement afin d’être le meilleur, comme lui avait demandé son père avant sa mort.
Ensuite, il voyagea à travers tous les mondes, avec un attachement tout particulier pour Hibernia…
Ticlis s’assit sur une des branches côtoyant le calice. Un rayon de La Lune, se dirigea vers le sommet de l’arbre éblouissant Ticlis. Le jeune sylvain ferma les yeux et se sentit porté dans les airs. Il descendait de l’arbre, planant gracieusement, porté par les vents. Lorsqu’il rouvrit les yeux, il se retrouva de l’autre côté de la barrière, gardée par son père. Il regarda une dernière fois cette mystérieuse Lune et s’enfonça dans la sombre forêt.
Il marcha durant quelques heures et atteignit enfin le premier village Hibernien. Il regarda autour de lui, il vit de curieuses races. Il put entendre différent noms tels les trolls et bretons… Il fit vite la différence entre la finesse Hibernienne et la nonchalance de ces étrangers.
Il chassa fermement augmentant rapidement sa force et son assiduité au combat. A son vingtième cercle d’entrainement, il vit un celte portant une cape verte ornée d’une fleur. Il fut inconsciemment attiré par cet étrange personnage. Il se dirigea vers lui en engendra la discussion.
Bonjour, noble hibernien. J’observe votre cape depuis un long moment et il me semble n’avoir jamais rien vu de tel. Quel est cet emblème, peu porté?
Le celte sourit brièvement.
Mon emblème signifie ma présence au sein de l’ordre des Fils de Gaïa.
Ticlis sembla surprit:
Mais…mais… Cet ordre est pourtant révolu !
Le celte s’énerva et reprit : Jamais Gaïa et La grande verte ne tomberont tant que je serai encore présent ! Ma vie et ma gloire pour Hibernia et pour sa déesse…
Le jeune sylvain sourit et entreprit quelque peu inquiet et non sur de lui.
Mais en fait, je ne me suis point présenté… Je suis Ticlis, le fils de l’Elu de Gaïa, ancien chef de votre ordre, il me semble…
Le celte n’en revenait pas. Il s’agenouilla devant le jeune sylvain.
Ticlis lui ordonna de se relever au plus vite, gêné. Il lui expliqua durant de longues heures, en se promenant dans la forêt, toutes ses péripéties depuis le décès de Ticlis, l’Elu de Gaïa. Le celte promis de garder contact avec le sylvain.
Le fils de Gaïa lui raconta aussi tous ce qu’il savait sur l’ordre, Gaïa et le père du jeune sylvain.
Ticlis écoutait et buvait les informations laissées par le celte.
Ils se séparèrent mais le celte dis que lorsque l’ordre s’était écrouler, beaucoup de Fils de Gaïa s’étaient réfugié chez les chevaliers déchus.
C’est ainsi que Ticlis, décida de rejoindre cet ordre, afin de connaître les amis de son père, sachant qu’ils lui seront loyaux aussi. Après un entretien avec un lurikien, il rentra dans l’ordre.Il réussi rapidement à reconnaître les amis de son père par leur nostalgie du passé.
Il persévéra dans son entrainement afin d’être le meilleur, comme lui avait demandé son père avant sa mort.
Ensuite, il voyagea à travers tous les mondes, avec un attachement tout particulier pour Hibernia…
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La forêt de Gaïa était sombre et les morts jonchaient le sol. Seuls des Midgardiens et des Albionnais agonisaient dans cette ambiance morbide. Ticlis se promenant non loin, se rapprocha d’un albionnais blessé et lui demanda :
"Que s’est il passé ici, pourquoi avez-vous été attaqués, et par qui ?"
L’albionnais tenta de se relever et posa son dos contre un arbre. Il lâcha sa large épée et posa sa main sur son torse, percé d’une flèche.
"Ce sont… Argh… Les Fils de Gaïa… Argh… Leur dernier endroit…"
L’albionnais gémit une dernière fois avant de expirer son dernier souffle sur cette terre.
Il s’affala contre l’arbre centenaire, inerte.
Ticlis lui ferma délicatement les paupières. IL se redressa mais déjà une lame vint se poser sous sa gorge. Ticlis resta calme et posé.
Le lurikien commença :
"Qui es tu et que fais tu dans cette région ?"
Je vient me renseigner sur mon père, en ces vertes contrées. Mon père se nommait Ticlis, et c’était l’Elu de Gaïa ? Vous êtes un des fils de Gaïa ?
L’Hibernien resta sans mot dires durant de longs instants. Il ôta sa lame du coup du jeune Sylvain et observa celui ci. Il l’emmena au dernier endroit que les Fils de Gaïa contrôlaient encore : Un village où réside une vieille église dans la noble forêt.
Là Ticlis fit connaissances des amis les plus fidèles de son père, se vouant encore à son auguste culte. Il resta là de nombreux mois apprenant tous sur son père et sur le culte et l’histoire de Gaïa. Ticlis fut attiré par ces gens si loyaux en son père et désirais les rejoindre dans leur quête. Il envoya une lettre expliquant qu’il a trouvé ce qu’il cherchait et qu’il remerciait les chevaliers déchus de leur amitié et de leur aide.
Le soir de la cérémonie d’intronisation du nouveau membre appartenant à l’ordre. Un évènement extraordinaire se passa. La nouvelle Lune qui brillait dans le ciel étoilé Hibernien amplifia sa luminosité. Deux spectres verdâtres apparurent dans le feu cérémonial central.
On put reconnaître une femme, superbe et à ces côtés un sylvain au visage sombre et décidé.
Le spectre sylvain commença :
"Je vois Fils que tu as maintenant fait la connaissance de tous ce que tu devais savoir. Félicitation."
Ticlis, reconnut son père et le salua noblement.
La noble femme spectrale regarda le jeune sylvain et lui dit :
« Je suis celle pour qui ton père a sacrifié sa vie, je suis fière que tu sois à nos côtés. Maintenant ta mission n’est pas finie, loin de là…
Tu devras remonter l’ordre ! Pepin t’aidera, grâce à sa sagesse et sa force. »
Le jeune sylvain acquiesça d’un simple mouvement de tête, s’inclinant en signe de respect devant ses aînés.
L’esprit spectral de Gaïa se retourna vers la petite assemblées, émerveillée et dit :
« Mes Fils, nous avons trop souffert de ces étrangers, il est tant maintenant de passé à la grande extermination ! Vos familles anéanties, vos maisons brûlées et vos filles violées, cela ne suffit t’ils pas pour causer la morts de ces étrangers ?! Prenez vos armes, aiguisez les et marchez droit vers la victoire, mené par votre haine ! Les étrangers ont vaincu l’ordre, il y’a de cela quelques lunes, mais faisons comme le phénix, renaissons de nos cendres !
Obéissez à vos nouveaux chefs, Faîtes renaître l’ordre ! Faites en sortes que nos noms soient synonymes de sang et de douleurs ! Nous n’acceptons plus cette soumission ! Battez vous pour la gloire D’Hibernia, jusqu ‘a la mort ! Seul l’extermination de ces êtres inférieurs pourra nous apporter la quiétude que nous recherchons !
Soyez fort mes fils, je vous protège… »
Les deux spectres commencent à s’élever dans les airs, rejoignant les cieux se tordant et s’entremêlant, ne formant plus qu’un…
L’assemblée les regardes s’élever et ensuite, ils s’observent.
Le jeune sylvain sait qu’il s’agit de son heure. Il dit :
« Mes frères maintenant nous savons ce que nous devons faire, unissons nous pour vaincre ces envahisseurs ! Prenons nos armes, unissons nous et ne faisons confiance qu’a nous même. Il faudra de toute façon les éliminer, tous… »
D’un seul cri, la petite assemblée acclame le jeune sylvain et le réclame comme chef de l’ordre. Ce qu’il accepta, si on lui donnait de l’aide, ce qu’on fit…
Il est donc temps maintenant pour vous étrangers de quitter les forêts Hibernienness et de retourner dans vos sales contrées, si vous ne voulez pas périr dans d’atroces souffrances…
----------------hrp------------------------------
Nous redonnons un nouvel aspect aux fdg, proposant un rp plus agressif et nettement plus susceptible.
But : les Fils de Gaïa sont devenus plus agressif et plus sanguinaires. Leur but est d’exterminer le plus d’albionnais et de midgardiens possibles, d’unir les Hiberniens contre les autres peuples et rendre la gloire à leur royaume, tant de fois maltraité.
Rang :
Rang 0 : Elu de Gaïa : dispose de tout pouvoir et mène ces troupes au combats
Rang1 : Sage de Gaïa : Aide le(s) Elu(s) et le(s) remplace en cas d’absence.
Rang 2 : Ambassadeur Hibernien : S’occupe de tout les fait diplomatique entre guilde et organise les GvG et Guerre
Rang 3 : Haut garde Hibernien : Personne renommée et connu d’amtenaël pour être un grand et puissant guerrier. Il dirige les groupes lors des combats
Rang 4 : Fanatique de Gaïa : Adorateurs extrême de Gaïa. Il est vraiment encré dans la guilde et remplace les Hauts gardes en cas d’absence
Rang5 : Assassin de Gaïa : rang particulier charger de venger les Fils de Gaïa si il y’a eut un affront et d’assassiner les personnes gênantes
Rang6 : Garde Hibernien : Personne depuis longtemps dans la guilde qui a atteint toutes les objectifs d’un bon guerrier (Rp exellent et qui contrôle bien son art)
Rang7 : Guerrier Hibernien : Habitué de la maison qui a déjà fait plusieurs batailles
Rang8 : Adorateur de Gaïa : chaque personne ayant fini sa période d’essais et étant certains de vouloir rester dans la guilde
Rang9 : Novice de Gaïa : toutes personnes désirant rentrées dans la guildes. Elle doit confirmer ou refuser son entrée dans la guilde après 1 ou 2 semaines d’essais
Règles :
• Suivre les règles de bases du serveur
• Disposer d’un bon Rp
• Toujours Rp avant un combat
• Porter toujours sa cape (avec l’emblème…
)
• Etre minimum level 15 et être hibernien
• Obéir très précisément aux ordres
• Jurer fidélité à la guilde et accepter ces règles par la phrase :
"Moi, <nom>, <classe> jure de protéger et de me sacrifier si il le faut pour le bien être d’Hibernia et de Gaïa. De plus, je m'engage à toujours obéir à mes supérieurs et d'être impartiale avec les ennemis de Gaïa"
"Que s’est il passé ici, pourquoi avez-vous été attaqués, et par qui ?"
L’albionnais tenta de se relever et posa son dos contre un arbre. Il lâcha sa large épée et posa sa main sur son torse, percé d’une flèche.
"Ce sont… Argh… Les Fils de Gaïa… Argh… Leur dernier endroit…"
L’albionnais gémit une dernière fois avant de expirer son dernier souffle sur cette terre.
Il s’affala contre l’arbre centenaire, inerte.
Ticlis lui ferma délicatement les paupières. IL se redressa mais déjà une lame vint se poser sous sa gorge. Ticlis resta calme et posé.
Le lurikien commença :
"Qui es tu et que fais tu dans cette région ?"
Je vient me renseigner sur mon père, en ces vertes contrées. Mon père se nommait Ticlis, et c’était l’Elu de Gaïa ? Vous êtes un des fils de Gaïa ?
L’Hibernien resta sans mot dires durant de longs instants. Il ôta sa lame du coup du jeune Sylvain et observa celui ci. Il l’emmena au dernier endroit que les Fils de Gaïa contrôlaient encore : Un village où réside une vieille église dans la noble forêt.
Là Ticlis fit connaissances des amis les plus fidèles de son père, se vouant encore à son auguste culte. Il resta là de nombreux mois apprenant tous sur son père et sur le culte et l’histoire de Gaïa. Ticlis fut attiré par ces gens si loyaux en son père et désirais les rejoindre dans leur quête. Il envoya une lettre expliquant qu’il a trouvé ce qu’il cherchait et qu’il remerciait les chevaliers déchus de leur amitié et de leur aide.
Le soir de la cérémonie d’intronisation du nouveau membre appartenant à l’ordre. Un évènement extraordinaire se passa. La nouvelle Lune qui brillait dans le ciel étoilé Hibernien amplifia sa luminosité. Deux spectres verdâtres apparurent dans le feu cérémonial central.
On put reconnaître une femme, superbe et à ces côtés un sylvain au visage sombre et décidé.
Le spectre sylvain commença :
"Je vois Fils que tu as maintenant fait la connaissance de tous ce que tu devais savoir. Félicitation."
Ticlis, reconnut son père et le salua noblement.
La noble femme spectrale regarda le jeune sylvain et lui dit :
« Je suis celle pour qui ton père a sacrifié sa vie, je suis fière que tu sois à nos côtés. Maintenant ta mission n’est pas finie, loin de là…
Tu devras remonter l’ordre ! Pepin t’aidera, grâce à sa sagesse et sa force. »
Le jeune sylvain acquiesça d’un simple mouvement de tête, s’inclinant en signe de respect devant ses aînés.
L’esprit spectral de Gaïa se retourna vers la petite assemblées, émerveillée et dit :
« Mes Fils, nous avons trop souffert de ces étrangers, il est tant maintenant de passé à la grande extermination ! Vos familles anéanties, vos maisons brûlées et vos filles violées, cela ne suffit t’ils pas pour causer la morts de ces étrangers ?! Prenez vos armes, aiguisez les et marchez droit vers la victoire, mené par votre haine ! Les étrangers ont vaincu l’ordre, il y’a de cela quelques lunes, mais faisons comme le phénix, renaissons de nos cendres !
Obéissez à vos nouveaux chefs, Faîtes renaître l’ordre ! Faites en sortes que nos noms soient synonymes de sang et de douleurs ! Nous n’acceptons plus cette soumission ! Battez vous pour la gloire D’Hibernia, jusqu ‘a la mort ! Seul l’extermination de ces êtres inférieurs pourra nous apporter la quiétude que nous recherchons !
Soyez fort mes fils, je vous protège… »
Les deux spectres commencent à s’élever dans les airs, rejoignant les cieux se tordant et s’entremêlant, ne formant plus qu’un…
L’assemblée les regardes s’élever et ensuite, ils s’observent.
Le jeune sylvain sait qu’il s’agit de son heure. Il dit :
« Mes frères maintenant nous savons ce que nous devons faire, unissons nous pour vaincre ces envahisseurs ! Prenons nos armes, unissons nous et ne faisons confiance qu’a nous même. Il faudra de toute façon les éliminer, tous… »
D’un seul cri, la petite assemblée acclame le jeune sylvain et le réclame comme chef de l’ordre. Ce qu’il accepta, si on lui donnait de l’aide, ce qu’on fit…
Il est donc temps maintenant pour vous étrangers de quitter les forêts Hibernienness et de retourner dans vos sales contrées, si vous ne voulez pas périr dans d’atroces souffrances…
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Nous redonnons un nouvel aspect aux fdg, proposant un rp plus agressif et nettement plus susceptible.
But : les Fils de Gaïa sont devenus plus agressif et plus sanguinaires. Leur but est d’exterminer le plus d’albionnais et de midgardiens possibles, d’unir les Hiberniens contre les autres peuples et rendre la gloire à leur royaume, tant de fois maltraité.
Rang :
Rang 0 : Elu de Gaïa : dispose de tout pouvoir et mène ces troupes au combats
Rang1 : Sage de Gaïa : Aide le(s) Elu(s) et le(s) remplace en cas d’absence.
Rang 2 : Ambassadeur Hibernien : S’occupe de tout les fait diplomatique entre guilde et organise les GvG et Guerre
Rang 3 : Haut garde Hibernien : Personne renommée et connu d’amtenaël pour être un grand et puissant guerrier. Il dirige les groupes lors des combats
Rang 4 : Fanatique de Gaïa : Adorateurs extrême de Gaïa. Il est vraiment encré dans la guilde et remplace les Hauts gardes en cas d’absence
Rang5 : Assassin de Gaïa : rang particulier charger de venger les Fils de Gaïa si il y’a eut un affront et d’assassiner les personnes gênantes
Rang6 : Garde Hibernien : Personne depuis longtemps dans la guilde qui a atteint toutes les objectifs d’un bon guerrier (Rp exellent et qui contrôle bien son art)
Rang7 : Guerrier Hibernien : Habitué de la maison qui a déjà fait plusieurs batailles
Rang8 : Adorateur de Gaïa : chaque personne ayant fini sa période d’essais et étant certains de vouloir rester dans la guilde
Rang9 : Novice de Gaïa : toutes personnes désirant rentrées dans la guildes. Elle doit confirmer ou refuser son entrée dans la guilde après 1 ou 2 semaines d’essais
Règles :
• Suivre les règles de bases du serveur
• Disposer d’un bon Rp
• Toujours Rp avant un combat
• Porter toujours sa cape (avec l’emblème…

• Etre minimum level 15 et être hibernien
• Obéir très précisément aux ordres
• Jurer fidélité à la guilde et accepter ces règles par la phrase :
"Moi, <nom>, <classe> jure de protéger et de me sacrifier si il le faut pour le bien être d’Hibernia et de Gaïa. De plus, je m'engage à toujours obéir à mes supérieurs et d'être impartiale avec les ennemis de Gaïa"
Ticlis, Faucheur, élu de Gaïa 4X
Tairi, empathe 3X
Elendilia, Eldritch 2X
Tilca, ranger 1X
Tirius, warden1X
Tairi, empathe 3X
Elendilia, Eldritch 2X
Tilca, ranger 1X
Tirius, warden1X
bien mais les objectifs me font vaguement penser à ceux des ombres de feu...
...Je sens qu'on va pas être copain: les Chevaliers d'Hibernia prône la liberté de passage pour quiconque vient en paix en Hibernia.
...Je sens qu'on va pas être copain: les Chevaliers d'Hibernia prône la liberté de passage pour quiconque vient en paix en Hibernia.
Fenrys, CdA, Grand maître ALCHIMISTE (1100+) ; Ryfens, CdA ; Fidin, CdA ; Arnoor, Faucheur indépendant, Ent farouche défenseur des plantes