Je m'approchais vers une d'elle. En m'approchant, des souvenirs me sont revenuent à l'esprit. Des centainrs images voir des milliers, me passèrent à l'esprit. Elles défilaient trop rapidement pour que je m'en rappel ne serais-ce qu'une seule. Puis mon esprit s'arreta soudain sur l'une d'elle. Cette image me montrait une zone riche en végetation et un batiment sillonait en son milieu. Il ressemblait à un manoir et devant celui-ci il y avait un grand escalier. Ce lieu était si magique, si magnifique ou bien sublime, que je ne voulais plus quitter cette image qui m'inspirait la paix et le bonheur que je ne trouvais plus en ce monde. Malgrè tout mes efforts, pour trouver un lieu où je pourrais retrouver ce dont j'ai perdu et de partager mes sentiments envers d'autres personnes, je ne le trouvais guère. Cette contrée n'était plus que mon dernier espoir. Sur cette image, je vis quelques soldats qui ressemblaient à des mercenaires à coter d'une vieille personne. Cette personne me semblait puissante et il tenait à sa main un bâton. Cette arme me semblait guère dangereuse, mais brillait de mille feux annonçant sa puissance.
Comment pouvait elle faire ca? Et pourquoi ces mercenaires défendaient cet homme? Je me posais ces questions tout au long de ma vie chez les Seigneurs d'Amtenael. J'en avais parlé à personne pour éviter que l'on me prenne pour un fou où un idiot, que sais je?
Puis un henissement de mon cheval me fit reprendre conscience. Malgrè ceci je repris ce que j'étais entrain d'effectuer. Je continuais à m'approcher et des images apparurent sans cesse. J'avais du mal à rester concentrer sur ces ruines. Je trouvais ces ruines assez étranges, pas seulement pour le fait de voir des visions mais je ressentais une force, une envie de la connaitre d'avantage, de connaitre ses moindres détails. En cherchant, en inspectant, je ne trouvais rien d'anormale. Mon cheval semblait creuser à un endroit près d'une pierre à moitié enfouis. Je me rapprochais et vis des écritures. Elles avaient l'air d'être ancienne, elle avait une belle forme d'écriture. Le gros probleme c'est que je ne comprenais pas ce que cela vouler dire. Ne trouvant rien de plus sur ce fameux langage, je continuais ma route vers l'ouest.
En traversant cette forêt de toute part, en explorant d'autres ruines, je vis une ruine ressemblant à ma vision. Je voyais au loin un grand escalier et une stele. N'appercevant aucun danger autour, je me mis en chemin vers cette ruine. D'autres visions plus intenses, plus précises que celles d'avant, me fit m'arrêter dans ma marche. Ce ne fut pas cette fois-ci des images mais des souvenirs, dans celles-ci je parlais à quelques personnes, des mercenaires gardant ce lieu. Je cherchais de l'aide à trouver un certain Hairios, d'après mon dialogue envers ces hommes d'armes. Ils me montrèrent le chemin qui était tout simplement l'entrée du manoir. J'ouvris la grande porte et je vis une immense salle ou etait disposé en sont centre un tapis grandiose. Il avait en sont centre un symbole en forme de trois cercle. Cette salle était dominée par le bleu d'un turquoise étrange semblable à une forte puissance magique. En plein milieu une stèle brillait et ne semblait jamais perdre son éclat. Puis soudain un archimage apparut, ce fut la même personne que dans l'autre vision. Il s'approcha de moi et me parla dans une langue inconnue. Pourtant je lui répondais dans le même langage. Il me montra son manoir en ne cessant jamais de me parler. Il devait être l'homme le plus riche de toute sa contrée. malgrè ceci, il ne possedais pas grand chose ayant de la valeur.
Soudain un homme m'interpela et me demanda le chemin vers le port. Je lui indica la direction à prendre, puis je me remis en marche vers la stèle. Je sentais des vibrations en m'approchant. Elles n'étaient guères douloureuses mais elles étaient continues et ne s'arretaient pas. Malgrè ceci, je réussi à être à côté de celle ci. Je la contemplais comme si c'était mon fils. J'éspairais sans doute qu'elle me donnerait les réponses à mes questions. C'était qu'une pierre, une simple pierre. J'en avais vu d'autre dans ma campagne pour le Graal. Je vis encore les mêmes inscriptions que la ruine d'avant. Puis soudain, je revis les mêmes visions. Elles étaient plus clairs mais cela ne m'aidait pas dans ma tâche. La nuit faisait apparition, il était temps de revenir en ville afin d'y me reposer.
Pendant plusieurs semaines, je cherchais des réponses sur ces lieux, mais rien. Je fis la connaissance de Tarnok lors d'une expedition sur mes recherches. Il était gentil, persuasif et plein de volonté.Ce que j'ai à y marquer est bien plus important et plus inquiétant.
Depuis ce jour le rêve est une chose rare chez moi. C'est à dire que je ne peux plus retrouver mon sommeil sans repenser à ce moment, j'espère la retrouver en marquant cette periode dans ce deuxième livre de mon histoire. Ne sachant pas trop où commencer alors je marquerais ce dont j'ai fait ce jour.
J'étais partis pour élaborer un plan pour, enfin je l'esperais, la base de notre guilde, notre famille. J'étais resté toute la journée. Après avoir eu mon plan en main, la lune commencait à apparaître dans le ciel. Un vent glacial souflait en Atlantide Hibernia. Les oiseaux restèrent muets ou partirent loin de ces terres. Les animaux se cachèrent et le silence régnait.
J'étais là, moi Ogrimaar le Templier et un des chefs des Elus d'Hairios, malgré l'ambience inquiétant. Je pris mon épée et me mis en marche vers l'est. Je présentais un danger, et plus je m'enfonçais dans la forêt plus cette sensation devenait intense. J'avais beau regarder partout, dans les moindres recoins, il n'y avait rien... Malgré ce danger omnipresente, je continuais ma route à travers la forêt. Sachant que mon trajet sera long, je chevaucher mon cheval. Puis soudain, venu de nul part, un vent glacial, plus froid et plus violent que celle présente depuis mon départ.
Je me retourna et une lumière apparut. elle était d'unbleu vif, lje la vis malgré sa petite taille. Je la percevait inofencif. Elle m'inspirait la paix, la joie, tout ce qui fut de meilleur sur cette ile. Je m'approchais d'elle puis elle reculait au fur et à mesure que j'avancais. Elle semblait vouloir me guider vers un lieu, car elle se déplacait à chaque fois de moi vers l'est, la direction de l'ocean. Alors je pris mon cheval d'autant plus vite et suivais la lumière. Seul le bruit incessant de ma chevauché rompait le silence mortel qui m'entourait.
Le trajet fut difficile mais nous nous approchions de l'océan, quand soudain des pas fut entendus au loin. Ils s'approchaient de notre position, ils étaient si nombreux et si violents que la terre tremblait. Puis nous vîmes des ombres puis leurs aspets. C'était des Elyrtris qui fuyaient leurs territoires. Je me mis soudain à me poser des questions dont une me restait sans réponses "Pourquoi ces êtres si cruels et audacieux, n'ayant aucune pitié etn'ayant normalement peur de rien, fuyent leurs terres?". La lumière continuait à s'avancer vers le lieu que les Elyrtris quittaient, je ne rebroussais pas le chemin et je la suivais. En cours de route, je trouva la réponse à ma question. Elle m'apparut soudainement à l'esprit c'était que la seule raison pour laquelle les Elyrtris auraient put quitter leurs endroits, si riches en trésor et en découvertes, n'était autre que par la venue d'un monstre, d'une créature encore plus puissante et immonde qu'eux.
Après plusieurs minutes de chevauchés, nous vîmes l'océan. Un tapis de cadavres recrouvaient la plage. La plutpart d'entre eux furent des Elyrtris et des cadavres, d'une race inconnu jusqu'à là, remplissaient le reste de la plage. Cela ne présageait rien de bon. Je mis à parler à cette lumière qui m'avait guider jusque là.
- Je ne sais pas si tu peux m'entendre ou même me comprendre, mais je vais demander à Bleideurs de venir, s'il te plait.
Je lui décrivis à quoi il ressemblait, mais il n'avait l'air de rien comprendre. Il me restait plus qu'un seul moyen d'appeler de l'aide. Je leva la croix d'hairios vers le ciel où une lumière éblouissante apparue. J'esperais que cette lumière serai assez puissante pour que Bleideurs la voit. Puis je la releva encore une fois afin qu'il comprenne qu'il faut pas simplement notre guilde soit présente mais le plus de monde possible. Après cet appel, je continuait ma route vers le nord. Je voulais absolument voir la cause de tous ces morts. Le nombres de morts était si conséquent que même les morts de toutes les guerres réunies n'auraient pas autant de cadavres. Il y avait des bras, des têtes, des jambes éparpillées, mais quel désastre. Ce fut un jour terrible dans l'histoire. J'arrivais à peine marcher sur ces cadavres et mon cheval eut la même difficulté. Tandis que la lumière restait derrière moi et j'avais le sentiment qu'elle m'observait.
Au loin je vis des créatures semblables sur ceux que je marchais. Ils avaient l'air de transporter du matériel. Ils allaient dans la forêt, alors je les suivais au loin pour éviter de me faire repérer. Ils déposaient, à plus de 10 lieux de la plage, leurs caisses. Un monstre, je dirais plutôt un géant restait à côté d'eux. Il avait l'air d'être leur commandant. Je m'approchais de celui ci quand en décendant la coline où j'étais placé. Mon armure me fit tomber de celle ci et je me retrouvais dans leur campement. Le commandant se retourna et marcha vers moi. Son pas fut lent et bruyant. Je pouvais voir les ondes de choc sur la flaque d'eau à côté de mon arme. Puis il me parla en même temps que ces troupes m'entouraient. Il me dit:

-L'ancien langage n'est qu'une langage parmis tant d'autre que je connais!
Cette langue m'était inconnu jusqu'à maintenant. Mais il faut croire qu'il m'a aidé à m'en souvenir. Il n'était pas au courant de tout à croire qu'il est parti il y a un bon moment. J'en profitais de mon savoir afin de le connaitre et de savoir son but en ces terres.
-Il m'a appris tant de chose que vous ignorez l'existence.
Le monstre lui répondit dans une voix aggressif et grave.
-Cela m'étonnerait, il y a fort longtemps que je le connais et tu n'était pas encore là!
-Alors qu'est ce que je ne sais pas?
-Je vois qu'il ne t'a pas parlé de moi après tous ces batailles, ces confrontations!
Son armée resta muête après tous leurs vacarnes qu'ils ont mis pour m'entourer.
-Mais...
Le démon ce mis à grogner.
-Laisse moi finir petit insolent! Ce n'est pas parce que tu es le petit fils de GRAAL, l'ange qui s'est sacrifié que tu dois couper la parole à un démon! Hairios et moi nous étions les pires enemis depuis qu'il a pris cette forêt sous sa protection. il utilisait les corps de mon armée tombé encombat pour faire ses experiences! Après plusieurs tentatives pour le tuer, il réussi à me téléporter loin, très loin de ces lieux! Je veux que tu me conduis à lui pauvre mercenaire!
-Ca va être difficile puisqu'il est mort.....
Le bruit d'une armée se fit entendre au loin, ce fut l'armée que j'avais demandé à Bleideurs de rassembler. On était bien plus nombreux que ces montres. Bleideurs me rejoigna et notre infanterie restait derrière. Le démon reprit la parole.
-Encore un autre mercenaire! Et que voulez vous faire contre nous?! Seul le pouvoir d'Hairios ou Hairios lui même peut nous faire reculer ou nous tuer! Alors....
-Vous n'êtes pas au courant de ce que nous sommes, loin de là!
-Je t'ai prevenu avant templier! Ne jamais..
-Nous avons une partie du pouvoir d'Hairios en nous!
-Mais....Le démon restait étonner. C'est impossible!
Bleideurs repliqua:
-Impossible pour toi Démon, mais pas pour Hairios.
-Hairios n'était qu'un archimage inconnu dans ce monde et qui nous faisait que nous ralentir dans notre progression. Si vous avez son pouvoir alors je dois vous tuer afin de prendre le pouvoir sur ce monde!
Le démon ordonna à son armée de se tenir prêt à attaquer et nous fîmes de même.
-Mais je voudrais connaître votre nom démon.
-Mon nom?! Il ricana tellement fort que les feuilles tombaient des arbres. Rare sont les personne qui ont pu survivre après m'avoir vu. Je suis Diatofer! Ton grand père Graal avait combatus contre moi et mon armée.
-NON! Alors cette prophétie était réelle! Je vengerai tous ces morts inocentes et la mort de ma famille!
Bleideurs esseya de me calmer mais sans succés.
-Ah! Ah! Vous ne pourrez rien contre nous, vous êtes si faible.
-Faible peut être mais nombreux!
-Cela reste à voir!
Il ordonna à son armée de lancer l'offensive, d'autres sortirent de la forêt. Ils étaient à nos yeux des cibles faciles. Nous avons eu peu de mal à décimer le reste de son armée. Diatofer énervé, se chargea lui même de nous tuer. Ce fut difficile, nous faisont aucune blessure sur lui et notre armée commenca à diminuer. La lumière nous regarda nous faire massacrer. Elle se déplaca devant Diatofer et lanca des sorts. Les effets étaient tels qu'elles pouvaient nous rendre aveugle. Le démon agonisa et nous dit:
-Tu es encore làààààààààààààààààà! Je reviendrais....encore plus fort...et...je vous détruirais....tous en réunissant son pouvoir! les...survivants seront...mes esclaves!
-Nous serons là et nous te détruirons comme nous l'avons fait aujourd'hui.
Diatofer se téléporta, tandis que la lumière, affaiblie, partit dans la forêt. nous étions content que certains avaient survecu. je regardais fixement Bleideurs et les autres elus present. Et je pris la parole:
-Le démon est vaincu cette fois mais il reviendra surement. Il parlait d'un certain pouvoir d'Hairios. La plupart d'entre vous ne la connais pas. Ce pouvoir est le bien le plus précieux d'Hairios, notre ancien archimage. Il est mort et il nous a donné une partie de celui-ci. Il nous envoya dans diverse contrée afin de le proteger. Bien plus tard Tarnok ici present, fils d'Hairios, trouva un livre expliquant notre histoire. Il est dit les noms de chaques elus et leurs histoires. Mais aussi ce que le pouvoir réunit peut causer. Cela ne servirai à rien si je vous montre les écrits car seul les elus peuvent le lire. C'est le seul moyen de prouver qu'il est un élu. Certaines personnes nous ont donné leurs pouvoirs car il ne voulait plus faire partie de la guilde, de notre culte pour diverses raisons. Nous ne sommes plus aussi nombreux qu'avant, ce que vous voyez ce sont les seuls les seuls encore present.
Je regardais les seuls membres qui restaient et je les presentais.
-Il reste encore plein d'autres elus que nous n'avons aucunes nouvelles. Nous ferons, malgré notre nombre, tout de même nos bus. Celui de protéger les pouvoir pour éviter qu'il soit un jour réuni, chercher ceux qu'ils sont cachés et de trouver un moyen de détruire ce démon, Diatofer, une fois pour toute. Nous avons fais plusieurs traités à l'odre des chevaliers d'Hibernia, les seigneurs d'amtenael, à la horde du Wahlala qui nous sommes encore en attente d'une réponse. Nous sommes alliés de la rivière pourpre, mais cela ne suffit pas pour anéantir ce démon..
Je reprit mon soufle tandis que Bleideurs reprit la parole.
-Nous avons beaucoups de contraintes mais nous abondonnerons pas pour que la vie puisse continuer sur ce monde. Et je tiens vous remercier d'être venus nombreux pour protéger ces terres et d'avoir mis de côté tous nos differents. Nous avons encore beaucoups de choses à faire et à continuer nos recherches. Vous pouvez désormais retourner à vos occupations.
Je terminerai par cette phrase pour mon deuxième livre:
L'armée cria victoire et fit demi tour....
Le reste ne doit pas être divilgué, des informations utiles et importantes n'engagent que nous. Je pus retrouver le sommeil et mes rêves. Est ce que j'écrirai un troisième livre ou est ce mon dernier?