Demoiselle en détresse
Posted: 29 Jul 2005, 16:17
Une jeune Celte seule dans la forêt d’hibernia pleure sur une vieille souche.
Une homme passant par la, s’arrête, interloqué par tant de tristesse.
Il s’approche d’elle, touché par des sanglots si profonds.
L’homme : Demoiselle que vous arrive t-il ? Pourquoi tant de tristesse ?
La jeune Celte relève doucement la tête, son visage est baigné de larme, elle aperçoit l’homme et repart en sanglots de plus belle.
L’homme est gêné, il ne sait que faire, elle semble vraiment malheureuse
Il n’ose partir, il ne se sent pas le cœur de la laisser ainsi.
Il s’assoie timidement sur la souche à coté d’elle et tente de nouveau de lui parler.
L’homme : Demoiselle, que vous arrive t-il ? Puis-je faire quelque chose pour vous ?
La jeune Celte relève de nouveau la tête et observe quelques secondes l’homme assis près d’elle. Des larmes continuent de couler sur ses joues, et ses yeux sont rouges d’avoir beaucoup pleuré.
Elle regarde l’homme droit dans les yeux et s’effondre en pleure se blottissant contre lui et inondant son pourpoint de larmes.
L’homme est très gêné, mais satisfait de pouvoir apporter une présence réconfortante à cette jeune Celte désespérée.
Il la serre dans ses bras, espérant lui donner suffisamment de réconfort pour arrêter ce flot ininterrompu de pleures.
La jeune celte, après de longues minutes, finie par se calmer, ces sanglots s’espacent, et elle se calme doucement.
L’homme lui parle a nouveau : Demoiselle j’ignore la nature de vos tourments mais ils ne sont certainement pas digne de tant de souffrance.
La jeune Celte se relève et s’écarte doucement. Son regard est reconnaissant envers l’homme pour lui avoir donné un peu de chaleur dans son cœur meurtri.
La jeune Celte : Merci Messire de m’avoir accordé de votre temps. Veuillez excuser mon laisser aller mais je n’ai pu retenir mes larmes.
Votre présence ma aidée.
L’homme : Je suis heureux d’avoir pu vous aider, vos sanglots étaient si profonds qu’ils m’ont fait chavirer le cœur. Je me suis senti le devoir d’y faire quelque chose, même si je ne savais quoi. Toutefois quelque soit votre aventure ou mésaventure je ne peux croire qu’elle mérite tant de tristesse.
A ses mots, le regard de la jeune Celte se perd dans le vide, et des larmes perlent à nouveau au bord de ces yeux.
Elle se jette dans les bras de l’homme a ses cotés pour y trouver a nouveau du réconfort et raconte son histoire a cet inconnu entre deux sanglots.
Je suis Celte et Druide et je m’appelle Canelle. Depuis que je suis sur ce monde je n’ai aimé qu’un homme. Je n’ai vécu qu’à travers lui et pour lui. J’ai épousé ces convictions et ses croyances, qui sont devenues miennes. Je n’ai connu que lui.
J’ai eu le malheur de m’absenter quelques temps de ce monde, pour rechercher la sérénité et le repos que se doit de posséder tout Druide. Il est vrai que je n’ai prévenu personne.
A mon retour, il m’a rejetée, rejeté nos croyances pour partir avec une autre dans une autre guilde.
Le choc a été terrible et j’avoue avoir abandonné tous les grands endroits de ce monde pour vivre loin de tous dans cette forêt. Il m’a fallu beaucoup de temps pour accepter ce qu’il m’arrivait et puis je suis revenue.
J’ai trouvé ma guilde en guerre contre la sienne.
Bien sur, des le début, j’ai été froide et distante avec lui. Je lui ai clairement dit que je ne voulais plus avoir aucun contact.
Aujourd’hui il se venge, mais de quoi ? il m’a tuée à plusieurs reprise, se moquant de mes croyances et de ma personne. Je pourrais le comprendre au nom de la guerre, mais pourquoi ces paroles si méchantes ?
Après m’avoir humiliée, bafouée, il me traîne plus bas que terre.
Je crie et je hurle ma détresse et mon impuissance.
L’homme : Demoiselle Canelle j’ai quelques facilités pour les écrits et je vais de ce pas transcrire notre rencontre. J’en ferais un récit qui circulera dans Amtenael, et croyez moi, Demoiselle, il existe en ce monde des Chevaliers qui se ferons un devoir de venger votre honneur.
Quel est le nom de se mécréant ?
Canelle : il s’appelle Glorius
La jeune Celte éclate de nouveau en sanglots en prononçant le nom de celui qui la tourmente.
L’homme du encore la consoler.
Une homme passant par la, s’arrête, interloqué par tant de tristesse.
Il s’approche d’elle, touché par des sanglots si profonds.
L’homme : Demoiselle que vous arrive t-il ? Pourquoi tant de tristesse ?
La jeune Celte relève doucement la tête, son visage est baigné de larme, elle aperçoit l’homme et repart en sanglots de plus belle.
L’homme est gêné, il ne sait que faire, elle semble vraiment malheureuse
Il n’ose partir, il ne se sent pas le cœur de la laisser ainsi.
Il s’assoie timidement sur la souche à coté d’elle et tente de nouveau de lui parler.
L’homme : Demoiselle, que vous arrive t-il ? Puis-je faire quelque chose pour vous ?
La jeune Celte relève de nouveau la tête et observe quelques secondes l’homme assis près d’elle. Des larmes continuent de couler sur ses joues, et ses yeux sont rouges d’avoir beaucoup pleuré.
Elle regarde l’homme droit dans les yeux et s’effondre en pleure se blottissant contre lui et inondant son pourpoint de larmes.
L’homme est très gêné, mais satisfait de pouvoir apporter une présence réconfortante à cette jeune Celte désespérée.
Il la serre dans ses bras, espérant lui donner suffisamment de réconfort pour arrêter ce flot ininterrompu de pleures.
La jeune celte, après de longues minutes, finie par se calmer, ces sanglots s’espacent, et elle se calme doucement.
L’homme lui parle a nouveau : Demoiselle j’ignore la nature de vos tourments mais ils ne sont certainement pas digne de tant de souffrance.
La jeune Celte se relève et s’écarte doucement. Son regard est reconnaissant envers l’homme pour lui avoir donné un peu de chaleur dans son cœur meurtri.
La jeune Celte : Merci Messire de m’avoir accordé de votre temps. Veuillez excuser mon laisser aller mais je n’ai pu retenir mes larmes.
Votre présence ma aidée.
L’homme : Je suis heureux d’avoir pu vous aider, vos sanglots étaient si profonds qu’ils m’ont fait chavirer le cœur. Je me suis senti le devoir d’y faire quelque chose, même si je ne savais quoi. Toutefois quelque soit votre aventure ou mésaventure je ne peux croire qu’elle mérite tant de tristesse.
A ses mots, le regard de la jeune Celte se perd dans le vide, et des larmes perlent à nouveau au bord de ces yeux.
Elle se jette dans les bras de l’homme a ses cotés pour y trouver a nouveau du réconfort et raconte son histoire a cet inconnu entre deux sanglots.
Je suis Celte et Druide et je m’appelle Canelle. Depuis que je suis sur ce monde je n’ai aimé qu’un homme. Je n’ai vécu qu’à travers lui et pour lui. J’ai épousé ces convictions et ses croyances, qui sont devenues miennes. Je n’ai connu que lui.
J’ai eu le malheur de m’absenter quelques temps de ce monde, pour rechercher la sérénité et le repos que se doit de posséder tout Druide. Il est vrai que je n’ai prévenu personne.
A mon retour, il m’a rejetée, rejeté nos croyances pour partir avec une autre dans une autre guilde.
Le choc a été terrible et j’avoue avoir abandonné tous les grands endroits de ce monde pour vivre loin de tous dans cette forêt. Il m’a fallu beaucoup de temps pour accepter ce qu’il m’arrivait et puis je suis revenue.
J’ai trouvé ma guilde en guerre contre la sienne.
Bien sur, des le début, j’ai été froide et distante avec lui. Je lui ai clairement dit que je ne voulais plus avoir aucun contact.
Aujourd’hui il se venge, mais de quoi ? il m’a tuée à plusieurs reprise, se moquant de mes croyances et de ma personne. Je pourrais le comprendre au nom de la guerre, mais pourquoi ces paroles si méchantes ?
Après m’avoir humiliée, bafouée, il me traîne plus bas que terre.
Je crie et je hurle ma détresse et mon impuissance.
L’homme : Demoiselle Canelle j’ai quelques facilités pour les écrits et je vais de ce pas transcrire notre rencontre. J’en ferais un récit qui circulera dans Amtenael, et croyez moi, Demoiselle, il existe en ce monde des Chevaliers qui se ferons un devoir de venger votre honneur.
Quel est le nom de se mécréant ?
Canelle : il s’appelle Glorius
La jeune Celte éclate de nouveau en sanglots en prononçant le nom de celui qui la tourmente.
L’homme du encore la consoler.