[Affiche] Revente des territoires capturés

Unread post by **Cocozico** » 05 Sep 2005, 01:44

Cocozico arrive à Embleme, une affiche à la main, et la place dans un lieu fréquenté de tous.

Sur cette affiche, on peut lire :

Nous, Chevaliers Déchus, revendons les territoires capturés par nos troupes au prix de 3 platines par territoire.

Ces territoires se trouvent à Albion, dans un fort près de la frontière, et à Hibernia, dans un lieu reculé de la foret.

Toute personne voulant acquérir un territoire est priée de nous contacter, une aide militaire lui sera meme proposée pour une durée indéterminée si le marché est conclu !

Unread post by **grouha** » 05 Sep 2005, 02:08

mardi soir a 1 h du matin les adorateur reprendrons le fort d'albion ,que les cd le defendent , ceci est un ultimatum
(cette soir sera placer sur le signe du fair play)

Unread post by **miyakeissey** » 05 Sep 2005, 06:14

grouha wrote:mardi soir a 1 h du matin les adorateur reprendrons le fort d'albion ,que les cd le defendent , ceci est un ultimatum
(cette soir sera placer sur le signe du fair play)

pour vous arranger , on avais changer pour le dimanche 15hoo ce qui paraissait raisonnable , mardi a 1hoo du matin c est du mauvais esprit ....

a moins que la défendiez avec la meute qui ne sort que tres tard dans la nuit

Unread post by **Thorgor** » 05 Sep 2005, 07:21

Ces Chevaliers Déchus sont proprement démoniaques... Ils nout soufflés nos plans sous le nez...

Unread post by **Even** » 05 Sep 2005, 08:43

<Tam se tient debout devant l'affiche>

Hummmm Hibernia....m'semblait pourtant y avoir vu des Brigands rôder...curieux...

Acheter un territoire...? A quoi bon quand il nous suffit d'un claquement de doigts - ceux coupés à nos adversaires - pour nous en emparer. La preuve : Avalon n'est pas tombé, nous avons fait face brillamment...

Inutile tout ça...

<Tam arracha l'affiche et repris sa route>

Unread post by **Lordinaire** » 05 Sep 2005, 09:58

[HRP]Pourquoi vous arrachez toujours les affiches ?

On peut plus les lires apres ! [HRP]

<Lordinaire ramassa l'affiche boueuse qui trainait dans une flaque.>

C'est malin ! Toute l'encre est parti...

<Il froisa la feuille vide et la laissa tomber à ses pieds.>