Dix-septième page.
Tu vas payer,
Pour tout ce que tu m’as fait.
Tu vas payer,
Ton amour pourra t’oublier.
Tu vas payer,
Pas de mes mains mais sous mon autorité.
Je regretterais,
De ne pas voir ton sang couler.
Je regretterais,
De ne pas être la dernière a te parler.
Je regretterais,
De ne pas te voir souffrir, supplier.
J’ai aidé ta première mort,
Je serais la cause de la seconde.
Je retrouverais ma vie d’or.
Tu n’es qu’un être immonde.
Ton nom rime avec un instrument.
Ton cœur n’est que haine.
Tu n’es rien, absolument.
J’en suis certaine…
Ton nom, Polycarpe…
Tu es l’inverse de la harpe,
Si douce, si belle…
Tu n’es qu’un criminel !
Recueil de S.F.
Dix-huitième page.
Le feu qui brûle dans mon cœur
Est formé de douceur et de bonheur.
L’eau sèche de mon âme
Changera de visage
Quand je serais ta femme,
Quand je vivrais sur un nuage.
J’étais si malade,
Tu m’as emmené sur cette cascade.
L’eau du bonheur y coulait,
Depuis je suis heureuse,
Depuis je suis émerveillée,
Depuis je suis joyeuse.
Je veux être dans tes bras,
M’allonger sur la grève,
A tes côtés, faire des rêves.
Des rêves où tu seras là.
Tu ne t’imagines pas…
A quel point…
Je voudrais être dans tes bras…
Mais tu es si loin…
Le feu qui brûle dans mon cœur
Est formé de douceur et de bonheur.
L’eau sèche de mon âme
Changera de visage
Quand je serais ta femme,
Quand je vivrais sur un nuage.
J’étais si malade,
Tu m’as emmené sur cette cascade.
L’eau du bonheur y coulait,
Depuis je suis heureuse,
Depuis je suis émerveillée,
Depuis je suis joyeuse.
Je veux être dans tes bras,
M’allonger sur la grève,
A tes côtés, faire des rêves.
Des rêves où tu seras là.
Tu ne t’imagines pas…
A quel point…
Je voudrais être dans tes bras…
Mais tu es si loin…
Je suis un esprit d'un ordre peu commun.
Et je te purgerai si bien de ta grossièreté mortelle que tu iras comme un esprit aérien.
W.S.
Dix-neuvième page.
Pour toi, je ferais n’importe quoi.
Je serais toujours là, pour toi.
Pour toi, je serais hors-la-loi.
Je ferais je n’sais quoi, pour toi.
Sans toi, je ne trouve que le désarroi.
Il n’y a que le froid, sans toi.
Sans toi, je n’ai plus de roi.
Je ne suis plus moi, sans toi.
Pour toi, je franchirais toutes les parois.
Je ferais tout ce que tu me diras, pour toi.
Pour toi, je ferais tous les exploits.
Toute ma joie est pour toi.
Sans toi, je n’ai plus de foi.
Je ne suis qu’un éclat, sans toi.
Sans toi, je ne suis plus moi.
Tout est étroit, sans toi.
Voilà, tu sais tout de moi,
Tout ce que je ressens pour toi.
Pour toi, je ferais n’importe quoi.
Je serais toujours là, pour toi.
Pour toi, je serais hors-la-loi.
Je ferais je n’sais quoi, pour toi.
Sans toi, je ne trouve que le désarroi.
Il n’y a que le froid, sans toi.
Sans toi, je n’ai plus de roi.
Je ne suis plus moi, sans toi.
Pour toi, je franchirais toutes les parois.
Je ferais tout ce que tu me diras, pour toi.
Pour toi, je ferais tous les exploits.
Toute ma joie est pour toi.
Sans toi, je n’ai plus de foi.
Je ne suis qu’un éclat, sans toi.
Sans toi, je ne suis plus moi.
Tout est étroit, sans toi.
Voilà, tu sais tout de moi,
Tout ce que je ressens pour toi.
Je suis un esprit d'un ordre peu commun.
Et je te purgerai si bien de ta grossièreté mortelle que tu iras comme un esprit aérien.
W.S.
Vingtième page.
Si l’amour n’existait pas,
Je l’inventerais pour toi.
Si la beauté n’existait pas…
Cela ne se peut pas…
Tu la représentes parfaitement.
Si la tendresse n’existait pas,
Je la créerais pour toi…
Je t’enlacerais doucement.
Avec des millions de baisers…
Avec des millions de caresses,
Je te ferais connaître l’allégresse.
Ta vie, je l’enchanterais.
J’enchanterais ton cœur.
Je donnerais un sens à ta vie,
Je serais là quelques soit l’heure.
Je pense à toi toutes les nuits.
Si un jour ton cœur se brise,
Je serais là pour le réparer…
Tu ne connaîtras plus la traîtrise.
Je ne vis que pour toi,
Je n’existe que pour toi.
Je te donnerais tant de joie.
Si l’amour n’existait pas,
Je l’inventerais pour toi.
Si la beauté n’existait pas…
Cela ne se peut pas…
Tu la représentes parfaitement.
Si la tendresse n’existait pas,
Je la créerais pour toi…
Je t’enlacerais doucement.
Avec des millions de baisers…
Avec des millions de caresses,
Je te ferais connaître l’allégresse.
Ta vie, je l’enchanterais.
J’enchanterais ton cœur.
Je donnerais un sens à ta vie,
Je serais là quelques soit l’heure.
Je pense à toi toutes les nuits.
Si un jour ton cœur se brise,
Je serais là pour le réparer…
Tu ne connaîtras plus la traîtrise.
Je ne vis que pour toi,
Je n’existe que pour toi.
Je te donnerais tant de joie.
Je suis un esprit d'un ordre peu commun.
Et je te purgerai si bien de ta grossièreté mortelle que tu iras comme un esprit aérien.
W.S.