Une réponse à la mode Oréthorniène ...

[Batouka]

Batouka laissa un large sourire éclairer son visage. Ses supérieurs s’étaient enfin décidé et il pourrait montrer ses talents de militaires.
Il regarda par-dessus son épaule, observant la petite compagnie qu’il menait. On transportait des armes de sièges démontés. Trébuchets, béliers, balistes. La mort de ses ambassadeurs avait rendu fous de rage le Roi, et il réunissait ses armées à la frontière Nord de son royaume.
Des idées passaient dans la tète du tout récent seigneur Batouka. Midgard d’Atlantide était peu être une région inintéressante pour l’agriculture, bien que le sud pourrait sans doute abriter des ports de pèches et de commerce. Mais ses châteaux, ses forteresses lui faisait rêver. Il pourrait s’illustrer dans ses régions et qui sait, se tailler un domaine sur les futurs terres conquises. Etre Duc des lieux ?

Les ordres étaient clair, il fallait attendre les alliers Hiberniens et autres qui ne devraient tarder à porter main forte. Les coffres Oréthorniens débordaient d’or depuis la dernière guerre contre l’Est, et le Roi montrait la volonté d’employer une bonne partie de celui-ci afin de monter d’incroyables armées. Il désirait une victoire total. Mais si la diplomatie l’emportait ? Combien de semaines s’écouleraient ? Il ne le savait pas.

Il redoutait fortement les espions, car les grosses mobilisations Oréthorniènes faisaient du bruit dans tout le royaume. On fortifiait, formait, levait, stockait. Tout indiquait une prochaine guerre. Mais il n’était pas dupe, et était certain que l’ennemi était au courant de cela.

Les Oréthorniens imposerait la paix, avec l’aide de leurs alliers et prouveraient à tous que la peste n’était qu’une époque résolut. D’ailleurs la nouvelle capitale en serait le symbole.

A la frontière nord se trouvait un cadavre vêtu d’une armure sombre, celui ci pendait à un arbre le visage tourné vers Midgard d’Atlantide, un message adressait à ceux qui sauraient le comprendre.

[Batouka]

Un message fut placardé aux portes de quelques villes et bastions en Midgard Atlantide, des hommes très bien payés les avaient accrochés discrètement, on pouvait y lire ceci .

Moi Batouka, vassal du duc Hakim.

Avec la volonté de mon seigneur, je vous adresse ces quelques mots et vous invite à les considérer avec la plus grande attention.

Durant votre attaque, nombre de mes vassaux sont mort car l’entretien diplomatique entre votre personne et le Roi Anathorne fut protégé par la majorité de mon escarcelle. Vous avez attendu qu’une grande partie de mes hommes se retirent pour attaquer alors que vous avez insisté pour que la réunion se déroule en ce que vous osez apeller territoire neutre.. Ceci est un acte de lâcheté impardonnable. Une chance pour vous que mon Roi s’était alors retiré, les conséquences auraient été plus terrifiantes que la mort elle meme.

Pour ces actes, nous, seigneurs Oréthorniens de petites ou hautes noblesses avons décidé de masser nos vassaux à vos frontières en accord avec les lois de Carn. Notre souverain en sa grande clémence nous retient encore , il ne dépend que de vous pour signer votre perte.

Je vous conseille vivement d’envoyer vos véritables ambassadeurs afin de soumettre vos propositions. Inutile de vous dire que nous refuserons toute présence d’hommes en armes, et que nous les recevrons uniquement en nos citadelles ou nous pourrons contenir votre éventuel traîtrise. Votre estime est tombé bien bas.

Je ne prend pas la peine de vous inciter à présenter des excuses, je sais que votre orgueil et vanité vous l’interdit ce qui causera sans doutes une chute amère.

( la marque d’un sceau est appliqué en bas de ces mots )

[Sokar_09]

A la lecture de cette affiche, un des officiers de l’armée des Ténèbres s’empressa d’aller faire part de ces écrits au Grand Seigneur Sokarus. Celui-ci, après avoir réunit le Haut Conseil des Ténèbres, appela son scribe et lui dicta les paroles suivantes :

A notre dernière rencontre, votre Roi, Anathorne, a osé considérer les Ténèbres comme inutiles à l‘espoir de paix. En plus de cela, vous avez offensé nos hommes, ce qui nous a conduits à cette attaque. Nullement cette attaque a été prémédité, la raison pour laquelle cette réunion s’est terminée en boucherie, est le fait que vous avez profané les Ténèbres, ce qui est un acte impardonnable.
Quoiqu’il en soit, je vous conseille vivement de retirer votre armée de nos frontières, ou nous serons contraints de faire couler votre sang. Si toutefois vous passer outre de notre avertissement, vous subirez de graves conséquences. A partir de ce jour, tout Oréthornien osant se franchir nos frontières sur Volcania sera tué a vu !

[Anathorne]

Un messager pressant sa monture passa en hâte sous l’arche de pierre, il rentra au galop dans la citadelle en écartant le peuple sur son passage. Il finit par se présenter devant Anathorne qui seul songeait.

- La réponse, dit-il en tendant le document à son suzerain.

Anathorne saisit la chose sans dire un mot avant de se plonger dans une longue réflexion. Apres lecture, il fit venir de quoi écrire prit son temps pour écrire ces mots à la lueur de la torche.

Sokarus.

Je viens de recevoir votre lettre qui non sans surprise me contrains à vous déclarer ceci.

Apres mure réflexion, afin de protéger nos terres que vous avez osé menacé de prendre, j’ai ordonné l’invasion de votre contrée. Toute résistance sera éliminée, et la guerre n’aura de cesse tant que votre emprise sur les régions de cendres ne soit mise à bas.
Nous continuerons, tant que votre présence ne soit plus une menace.
Les Oréthorniens n’auront de pitié, et seuls les guerriers ténébreux demandant grâce et reniant votre culte seront épargnés. Quant aux autres, ils connaîtront le même sort.
Les terres seront confisqués, et les forteresses prises. Telle est la punition qui vous attend.

Je le jure devant dieu et la lumière qu’il nous offre. Nous n’aurons de cesse à vous pourchasser.

Anathorne de Carn.

La missive fut renvoyé par le même cavalier, et tandis qu’il galopait les armées blanches se mettaient en marche au delà des frontières.

[Patriote]

À la suite d'une rencontre avec ses supérieurs, Rokensas entrepit une ronde en Midgard Atlantide. Il fut bien surpris d'y trouver tant d'agitation. Une puissante armée semblait s'être massée aux frontières de cette contrée de lave et de ténébreux guerriers arpentaient la terre sacrée d'Odin, terrassant ainsi la paix dans celle-ci.

Suite à ces remarques, Rokensas le valkyn retourna en Midgard d'Avalon, afin de rapporter ces choquantes nouvelles à ses supérieurs.

[Sokar_09]

Une patrouille aperçu et ramena au fort un messager oréthornien. Le Grand Seigneur Sokarus interrogea l'homme et lut la lettre qui lui fut destinée. Après avoir parcouru le message, le Grand Seigneur Sokarus ordonna ceci :

Rassemblez les troupes et soyez prêt au combat... Les Oréthorniens ont dépassés nos frontières. Prévenez nos alliés ! Que les Talyons Arda Atanale se préparent a une invasion oréthornienne.

[Fiona l'hibernienne]

La misssive en main, Syxi convoqua le conseil et ses freres:


"Il suffit, nous n'avons ete que trop patients. Si c'est par les armes que nous devons imposer le respect de notre terre, cela sera"

[Batouka]

Batouka qui tandis que le gros de l’armée allait vers le nord, avait eu pour ordre de faire un détour par Albion, là bas un vassal au Roi, un seigneur Séraphin lui fournirait des navires et des troupes afin de prendre les Guerriers par deux fronts. L’armée principal marchait à une vitesse considérablement réduite, tandis que lui cavalait avec ses hommes les plaines d’Avalon comme si la mort le traquait.

Il finit par approcher les fiefs de son hote, et alors qu’un petit village se dressait devant lui il donna pour ordre de cesser la route. Quelque chose l’intrigué.

Dans des ruines à sa droite, il voyait une étrange lueur provoquait par de nombreux feux. Il décida d’aller voir ce qu’il en était. A peine eurent le temps le temps d’arriver que les hommes s’y trouvant, reconnaissant leurs emblèmes fuyèrent. On ne put les rattraper, mais dans ses ruines se trouvait une male emplie de choses dont des livres. Il se mit à ouvrire un des ouvrages, et tourna les pages.

Les lignes étaient étranges, comme si elles étaient codés. Ca parlait d’un grand pouvoir, de choses cachés un peu partout, d’esprits et de lumière. Il aurait jeté ses idioties s’il n’avait alors reconnut parmi les manuscrits un ouvrage Oréthornien. Il décida de le lire lui aussi, mais il ne le put car la langue était veille et seuls les Carniens la parlaient. Curieux, il envoya le tout à son Roi espérant que cela pouvait servir à la guerre. Les fuyards allaient surement prévenir leurs maitres, la nouvelle se répendrait, il fallait agir vite.